Limpulsion n'est pas toujours payante : parfois, il faut s'arrĂȘter un instant et rĂ©flĂ©chir Ă  "et si je fais ou ne fais pas cette chose, quelle pourrait en ĂȘtre la consĂ©quence ? 15 personnes ont vĂ©cu le rĂ©sultat de ne pas avoir pris en compte les consĂ©quences de leurs actes. Il y a ceux qui n'ont pas Ă©valuĂ© la mĂ©tĂ©o, ceux qui n'ont pas vĂ©rifiĂ© les batteries avant de s'aventurer
Qu’est-ce que rĂ©flĂ©chir ? D’aprĂšs les cognitivistes, nous ne rĂ©flĂ©chissons pas trĂšs souvent parce que notre cerveau n’est pas conçu pour rĂ©flĂ©chir mais plutĂŽt pour Ă©viter de le faire. RĂ©flĂ©chir est Ă  la fois difficile et une action lente et peu fiable. Le cerveau est fait pour voir et bouger mais sa capacitĂ© de rĂ©flexion est lente, contraignante, approximative. Daniel T. Willingham, professeur de psychologie cognitive, considĂšre que notre capacitĂ© Ă  voir et Ă  nous dĂ©placer est une prouesse cognitive remarquable ces activitĂ©s demandent plus de travail au cerveau que la seule rĂ©flexion. 3 propriĂ©tĂ©s de la rĂ©flexion demande du temps Notre vision sait assimiler une scĂšne complexe instantanĂ©ment. En un coup d’oeil, nous assimilons l’intĂ©gralitĂ© des dĂ©tails d’une scĂšne pour en avoir une photo globale nous voyons un jardin plutĂŽt qu’un portail, un pelouse, des fleurs et des arbres de maniĂšre isolĂ©e. implique un rĂ©el effort Pour voir de maniĂšre globale et courante, nous n’avons pas besoin de nous concentrer; nous pouvons faire autre chose en mĂȘme temps. Pour rĂ©flĂ©chir, nous avons besoin de nous concentrer; notre cerveau qui rĂ©flĂ©chit ne peut pas faire autre chose en mĂȘme temps. C’est pourquoi la nouveautĂ© d’une action, bien qu’elle puisse ĂȘtre amusante, est Ă©galement Ă©puisante. rĂ©flexion est approximative RĂ©flĂ©chir ne nous offre de pas de garantie les solutions que nous trouvons peuvent ĂȘtre fausses et parfois nous ne trouvons pas de solution. MĂ©moire et rĂ©flexion Daniel T. Willingham affirme que, dĂšs que c’est possible, nous nous reposons sur notre mĂ©moire car elle nous Ă©vite d’avoir Ă  rĂ©flĂ©chir et ainsi nous Ă©conomise. Pour prendre chacune de nos dĂ©cisions et pour agir au quotidien, nous n’avons pas besoin de rĂ©flĂ©chir systĂ©matiquement souvent, nous agissons comme d’habitude. Notre mĂ©moire, comme notre vision, nous permet d’analyser immĂ©diatement et sans effort des problĂšmes complexes. – Daniel T. Willingham La mĂ©moire enregistre des faits, des Ă©vĂ©nements, des visages et des noms mais Ă©galement des techniques, des procĂ©dures. La neuroplasticitĂ© Pour s’économiser et Ă©viter de rĂ©flĂ©chir, la nature nous a dotĂ©s de neuroplasticitĂ©. Le cerveau est capable de changer. A force de rĂ©pĂ©ter des actions complexes qui demandent de la rĂ©flexion, ces actions sont automatisĂ©es. Elles deviennent inconsciente et nous n’avons plus besoin de rĂ©flĂ©chir pour les effectuer. GrĂące Ă  la neuroplasticitĂ©, notre cerveau s’ajuste et s’habitue. Le cerveau est comme une forĂȘt si on marche plusieurs fois dans le mĂȘme sentier, un chemin va progressivement se crĂ©er. Dans le cerveau, il y a crĂ©ation de sentiers de communication entre les neurones. Ces sentiers connexions neuronales deviennent de plus en plus efficaces et mĂšnent Ă  l’automatisation des processus liĂ©s Ă  une certaine tĂąche et donc Ă  la rĂ©solution plus faciles de certains problĂšmes. Apprendre, c’est crĂ©er des connexions entre des neurones. Les choses deviennent plus faciles et on est capable de les faire de mieux en mieux car le chemin est “dĂ©frichĂ©â€, les informations passent plus rapidement d’un neurone Ă  l’autre par ces voies de communication. Plus on utilise le cerveau pour crĂ©er des connexions neuronales, plus on apprend. Ainsi, quand on apprend Ă  faire du vĂ©lo, les gestes sont d’abord conscients et nĂ©cessitent une forte concentration pĂ©daler, maintenir son Ă©quilibre, prendre assez de vitesse, regarder droit devant, freiner
 Penser Ă  toutes ces choses en mĂȘme temps demande de gros efforts. Avec la pratique, des connexions se crĂ©ent entre les neurones sollicitĂ©s pour effectuer cette tĂąche. Les neurones ont créé des chemins pour communiquer entre eux et l’information circule de maniĂšre plus fluide. Mais si on ne marche pas pendant un bon bout de temps dans les sentiers créés par la forĂȘt, la vĂ©gĂ©tation reprend sa place. Les rĂ©seaux de neurones non utilisĂ©s finissent par se dĂ©connecter progressivement. RĂ©flĂ©chir Ă  l’école Ainsi, le cerveau a dĂ©veloppĂ© des stratĂ©gies pour s’économiser et Ă©viter d’avoir Ă  rĂ©flĂ©chir les principales fonctions, la vision et le mouvement, ne demandent pas de rĂ©flexion dans la majoritĂ© des cas, la mĂ©moire remplace la rĂ©flexion pour nous guider dans nos actions la neuroplasticitĂ© permet d’automatiser des actions grĂące Ă  la pratique Si nous ne sommes pas douĂ©s pour rĂ©flĂ©chir et si la mĂ©moire et la pratique nous Ă©vitent d’avoir Ă  le faire, il est facile de comprendre pourquoi les enfants n’aiment pas l’école, un lieu entiĂšrement dĂ©diĂ© Ă  l’apprentissage de la rĂ©flexion. Heureusement, ma dĂ©monstration ne s’arrĂȘte pas Ă  ce constat. Car nous aimons rĂ©flĂ©chir. Nous sommes curieux par nature et nous cherchons les occasions de faire travailler nos neurones. Mais nous abandonnons assez facilement et, pour que notre curiositĂ© soit attisĂ©e, il faut que nous soyons dans les meilleures conditions possibles. – Daniel T. Willingham RĂ©flexion et curiositĂ© Les ĂȘtres humains aiment rĂ©flĂ©chir, ils aiment rĂ©soudre des problĂšmes ! Quand nous trouvons la solution Ă  un problĂšme, notre cerveau s’auto rĂ©compense en sĂ©crĂ©tant une petite dose de dopamine, un neurotransmetteur proche de l’adrĂ©naline. Les neuroscientifiques et les les cognitivistes soupçonnent donc un lien entre apprentissage et plaisir ! Ce plaisir est liĂ© Ă  l’effort que nous fournissons pour rĂ©soudre le problĂšme. Quand nous sommes bloquĂ©s face Ă  un problĂšme, nous sommes frustrĂ©s mais nous ne ressentons pas de plaisir si la rĂ©ponse nous est donnĂ©e. Par ailleurs, tous les raisonnements ne sont pas aussi attrayants les uns que les autres. Le sujet d’un problĂšme au sens large de jeu de l’esprit peut donc attiser la curiositĂ© mais ne suffit pas Ă  la satisfaire. Nous n’aimons rĂ©flĂ©chir que quand nous estimons que notre effort intellectuel sera rĂ©compensĂ© par la satisfaction que suscite la rĂ©solution d’un problĂšme. Il n’est donc pas contradictoire de dire que les ĂȘtres humains Ă©vitent de rĂ©flĂ©chir quand ils le peuvent et, dans le mĂȘme temps, qu’ils sont curieux par nature la curiositĂ© nous pousse Ă  nous intĂ©resser Ă  de nouvelles idĂ©es, Ă  de nouveaux problĂšmes, mais nous Ă©valuons Ă  chaque fois la quantitĂ© d’efforts qu’il nous faudra fournir. – Daniel T. Willingham 4 facteurs d’une rĂ©flexion rĂ©ussie informations fournies par l’environnement L’environnement est constituĂ© de choses Ă  voir, Ă  entendre, de problĂšme Ă  rĂ©soudre
 faits et Ă©vĂ©nement entreposĂ©s dans la mĂ©moire Ă  long terme Toutes les informations contenues dans la mĂ©moire Ă  long terme sont extĂ©rieures Ă  la conscience. C’est comme si elles restaient lĂ  bien sagement en attendant le moment oĂč on en a besoin. A ce moment-lĂ , pour rĂ©pondre Ă  une question par exemple, les informations deviennent conscientes. Les informations pour rĂ©pondre Ă  une question ou un problĂšme peuvent donc soit venir de l’environnement, soit de la mĂ©moire Ă  long terme. La rĂ©flexion consiste Ă  trouver de nouvelles combinaisons entre ces informations et ce processus se situe au sein de la mĂ©moire de travail mĂ©moire Ă  court terme. On comprend alors l’importance de la culture gĂ©nĂ©rale dans le processus de rĂ©flexion et la raison pour laquelle Daniel T. Willingham insiste sur la culture gĂ©nĂ©rale dans un monde connectĂ© mĂȘme si la connaissance est disponible rapidement “à l’extĂ©rieur” du cerveau Peut-on se passer de culture gĂ©nĂ©rale et de mĂ©morisation de faits/connaissances dans un monde connectĂ© ? cheminements mentaux procĂ©dures, techniques mĂ©morisĂ©s dans la mĂ©moire Ă  long terme La mĂ©moire Ă  long terme contient Ă©galement des connaissances procĂ©durales. La connaissance procĂ©durale est comme une liste indiquant quels Ă©lĂ©ments il faut combiner et Ă  quel moment une sorte de recette pour un type de rĂ©flexion particulier. quantitĂ© d’espace disponible dans la mĂ©moire de travail Plus la mĂ©moire de travail mĂ©moire Ă  court terme est remplie, plus il est difficile de rĂ©flĂ©chir. Daniel T. Willingham compare la mĂ©moire de travail Ă  la conscience. La mĂ©moire Ă  court terme est la “petite” mĂ©moire qui permet de stocker des informations temporairement. Aucune information ne peut passer directement de l’environnement extĂ©rieur Ă  notre “boite noire” intĂ©rieure sans passer par la mĂ©moire Ă  court terme. La mĂ©moire Ă  court terme permet de garder une information quelques secondes, pas plus. On ne peut maintenir dans la mĂ©moire Ă  court terme que + ou – 7 Ă©lĂ©ments Ă  la fois. C’est pour cette raison qu’on regroupe les chiffres des numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone pour les retenir par exemple. Un empan est la quantitĂ© d’information le nombre de chiffres par exemple qu’un individu peut mĂ©moriser dans un court laps de temps en moins de 20 secondes. Cette mesure est importante puisqu’elle influence le nombre d’unitĂ©s d’information qui peuvent ĂȘtre mĂ©morisĂ©es en mĂȘme temps. La mĂ©moire Ă  court terme est trĂšs sensible aux distractions, Ă  l’anxiĂ©tĂ©. Selon Daniel T. Willingham, si l’un des facteurs fait dĂ©faut, il y a de fortes chances pour que la rĂ©flexion Ă©choue
 ou qu’elle soit longue, difficile, laborieuse, approximative. D’un point de vue cognitif, un des facteurs fondamentaux pour les apprentissages est celui de savoir si un Ă©lĂšve ressent cette sensation agrĂ©able de satisfaction quand il rĂ©sout un problĂšme. 

























. Source Pourquoi les enfants n’aiment pas l’école ! de Daniel T. Willingham Ă©ditions La librairie des Ecoles. Disponible en mĂ©diathĂšque, en librairie ou sur internet. Commander Pourquoi les enfants n’aiment pas l’école ! sur Amazon, sur Decitre, sur Cultura ou sur la Fnac
Il« réfléchit que l'hiver s'était passé sans trop de malheur et sans trop de souffrance que tu te : sois: réfléchi réfléchie: qu' il se elle se : soit: réfléchi réfléchie: que nous nous : soyons: réfléchis réfléchies: que vous vous : soyez: réfléchis réfléchies: qu' ils se elles se : soient: réfléchis réfléchies: plus-que-parfait ; que je me : fusse: réfléchi
Question sur le CRPE Qu’est-ce que le calcul rĂ©flĂ©chi ? » MathĂ©matiques Didactique – Cycle 2 – Nombres et calculsMon Pass pour le CRPE vous aide Ă  prĂ©parer le concours du CRPE concours de recrutement de professeurs des Ă©colesIl existe diffĂ©rents moyens de calculer le CALCUL AUTOMATISE et le CALCUL REFLECHILe calcul automatisĂ© ne demande pas de rĂ©flexion de la part des Ă©lĂšves. En effet, il met en pratique ses connaissances, des rĂ©sultats mĂ©morisĂ©s, pour effectuer le calcul. Exemple tables de multiplication, d’addition, points d’appuis 
Le calcul rĂ©flĂ©chi arrive avant le calcul automatisĂ©. En effet, l’élĂšve va mettre en place une stratĂ©gie pour pouvoir effectuer le calcul. Une fois les stratĂ©gies et les procĂ©dures acquises, le calcul devient alors DIFFERENTS CALCULS REFLECHIS CALCUL MENTALL’élĂšve n’a pas les informations nĂ©cessaires pour calculer sans rĂ©flĂ©chir exemple les tables d’addition. Il va alors devoir mettre en place des stratĂ©gies pour 28 + 13 = ?20 + 10 = 30 et 8 + 2 = 10 donc 10 + 1 = 30 + 11 = 41CALCUL INSTRUMENTEL’élĂšve va calculer en s’aidant d’outils, d’instruments. L’élĂšve dĂ©veloppe des compĂ©tences spĂ©cifiques comme la prĂ©vision de l’ordre de grandeur d’un rĂ©sultat, l’emploi de raccourcis de calcul, le jugement sur la vraisemblance des chiffres obtenus
Voir fiche Quels outils peuvent ĂȘtre utilisĂ©s dans le calcul instrumentĂ©CALCUL ECRITL’élĂšve va calculer Ă  partir d’un support ne connait pas les techniques opĂ©ratoires, il va donc effectuer le calculer en utilisant d’autres mĂ©thodes. Exemple addition itĂ©rĂ©e, schĂ©ma 
 Voir les fiches TĂ©lĂ©charger les documents Qu’est-ce que le calcul rĂ©flĂ©chi Mon pass pour le crpe pdf Voir plus sur Cequi veut dire que l'argent est vraiment central dans la question qu'on doit se poser.» 400 francs Comme pour les 250 dollars de Dirty Dancing , L'ÉvĂ©nement nous donne un prix prĂ©cis: 400
Par Jingmo, États-Unis J’ai travaillĂ© dans l’Église Ă  composer de la musique pour des vidĂ©os pendant plus de quatre ans. Du fait des besoins du travail de l’Église, les frĂšres et sƓurs qui m’entouraient Ă©taient souvent transfĂ©rĂ©s dans leurs devoirs, certains parce qu’ils n’avaient pas les compĂ©tences requises, alors ils Ă©taient assignĂ©s Ă  d’autres devoirs. Tout ça me semblait trĂšs instable. Je me disais Si je suis transfĂ©rĂ©e un jour, je ne sais pas quel devoir on arrangera pour moi. Si c’est un travail pour lequel je ne suis pas douĂ©e ou si je suis inefficace, je pourrais ĂȘtre de nouveau transfĂ©rĂ©e. Si aucun devoir ne me convient, cela voudra-t-il dire que je serai chassĂ©e et ne pourrai pas ĂȘtre sauvĂ©e ? » Quand j’y pensais, je ne voulais vraiment pas ĂȘtre transfĂ©rĂ©e et j’estimais avoir de la chance que mon devoir soit stable pour le moment. Plus tard, la charge de travail de notre Ă©quipe s’est peu Ă  peu rĂ©duite et certains de mes frĂšres et sƓurs ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s Ă  d’autres devoirs, alors j’ai commencĂ© Ă  m’inquiĂ©ter. J’ai pensĂ© Je n’ai pas les meilleures compĂ©tences professionnelles, je serai peut-ĂȘtre transfĂ©rĂ©e aussi. Je n’ai pas d’autre compĂ©tence particuliĂšre, alors que puis-je faire d’autre que de la composition ? Si je me retrouve sans devoir, n’est-ce pas la mĂȘme chose qu’ĂȘtre chassĂ©e ? » J’ai vĂ©cu dans cet Ă©tat d’inquiĂ©tude et de peur pendant un long moment. Quelles que soient les personnes transfĂ©rĂ©es autour de moi, j’étais trĂšs inquiĂšte pour mon avenir. En juillet dernier, mon dirigeant m’a demandĂ© d’accomplir une tĂąche Ă  temps partiel pendant mon temps libre. AprĂšs m’avoir expliquĂ© le travail, il m’a dit en passant Ce travail va se prolonger, alors prends tes marques et fais-le bien. » ÒȘa m’a rĂ©chauffĂ© le cƓur, parce que ce travail semblait plus stable et plus durable que l’autre. Les membres de cette Ă©quipe semblaient ĂȘtre restĂ©s les mĂȘmes. Certains faisaient ce travail depuis six ou sept ans et n’avaient pas Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s. Ce devoir avait l’air bien mieux ! Je devais m’entraĂźner et le maĂźtriser dĂšs que possible. Comme ça, j’aurais un plan de secours si j’étais transfĂ©rĂ©e un jour. Tant que je m’entraĂźnais bien et ne commettais pas d’erreur grave, je pourrais faire ce travail indĂ©finiment et je n’aurais plus Ă  craindre d’ĂȘtre chassĂ©e si je me retrouvais sans devoir. Cette pensĂ©e Ă©tait trĂšs rassurante et m’a rendue trĂšs heureuse. J’ai eu l’impression que recevoir une si bonne opportunitĂ© Ă©tait vraiment la grĂące de Dieu. DĂšs lors, j’ai accordĂ© beaucoup d’attention Ă  ce travail Ă  temps partiel. Quand j’étais confrontĂ©e Ă  des choses que je ne comprenais pas, j’interrogeais les frĂšres et sƓurs dans l’espoir de vite maĂźtriser le travail. Sans que je m’y attende, j’ai commencĂ© Ă  avoir plus de travail de composition, Ă  peine plus de quinze jours plus tard, alors je n’ai plus eu beaucoup de temps et d’énergie Ă  consacrer Ă  mon travail Ă  temps partiel, mais je voulais quand mĂȘme me concentrer sur lui, parce qu’il Ă©tait trĂšs probable que je perde ce plan de secours si je ne finissais pas la tĂąche qu’on m’avait assignĂ©e. Alors j’ai repoussĂ© mon travail de composition le plus longtemps possible, me disant que quelques jours de retard ne changeraient rien. Mais parce que j’étais pressĂ©e, j’étais souvent sur les nerfs, alors j’ai souvent Ă©tĂ© nĂ©gligente dans mon travail Ă  temps partiel ou commis les mĂȘmes erreurs Ă  rĂ©pĂ©tition. Le dirigeant d’équipe a vu que je consacrais tout mon temps Ă  mon deuxiĂšme travail, ce qui causait des retards dans mon travail principal, et m’a demandĂ© si j’étais capable de gĂ©rer les deux. MĂȘme si je savais que je ne pouvais pas et que ça causait des retards dans le travail de composition, je ne voulais pas l’admettre, parce que je savais que si je disais que ça faisait trop, on ne me laisserait sans doute pas mon travail Ă  temps partiel, ce qui signifiait que je pouvais perdre ce travail stable et durable. Je ne pouvais pas l’accepter, alors j’ai fourni des excuses au dirigeant d’équipe, lui disant que des tĂąches urgentes s’étaient prĂ©sentĂ©es en mĂȘme temps des deux cĂŽtĂ©s, mais que des situations comme celle-ci ne se produisaient qu’occasionnellement, par tout le temps. J’ai ajoutĂ© que j’étais encore une novice dans mon travail Ă  temps partiel, que ça irait mieux quand il me serait plus familier et que j’avais juste besoin d’un peu plus de temps pour prendre le coup. Je lui ai dit qu’en plus, mĂȘme si j’étais plus occupĂ©e qu’avant, ça complĂ©tait mon temps pendant mon devoir. Le dirigeant d’équipe n’a rien rĂ©pondu. Quelques jours plus tard, il m’a de nouveau incitĂ©e Ă  chercher davantage sur le fait d’avoir deux tĂąches et Ă  trouver comment pratiquer en accord avec la volontĂ© de Dieu. Il a aussi dit qu’il voyait bien que je tenais Ă  garder mon travail Ă  temps partiel et m’a poussĂ©e Ă  me demander si j’avais des points de vue ou des intentions incorrectes. Quand il a dit ça, j’ai reconnu que je voulais garder mon travail Ă  temps partiel, mais j’ai dit que j’avais l’impression de bien m’organiser. Je consacrais plus de temps Ă  celui des deux qui Ă©tait le plus urgent, ce qui me semblait ĂȘtre la bonne mĂ©thode. Un peu plus tard, j’ai compris que la volontĂ© de Dieu Ă©tait derriĂšre le rappel Ă  l’ordre du dirigeant d’équipe et que je devais rĂ©flĂ©chir convenablement sur moi-mĂȘme. Je me suis prĂ©sentĂ©e devant Dieu et j’ai priĂ© Ô Dieu, je sais que le rappel Ă  l’ordre du dirigeant d’équipe contient Ta volontĂ©, mais je ne sais pas par oĂč commencer pour rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Je suis un peu triste, alors je Te demande de m’éclairer et de me guider. » AprĂšs ma priĂšre, je me suis demandĂ© pourquoi le dirigeant d’équipe m’avait incitĂ©e Ă  rĂ©flĂ©chir sur mon attitude envers mon devoir. Était-il possible que j’aie de mauvaises intentions dans mon devoir ? Je me suis rendu compte qu’avant d’avoir un travail Ă  temps partiel, je chĂ©rissais mon travail de composition. Je le voyais comme ma seule issue et je craignais de le perdre. Quand j’avais commencĂ© le travail Ă  temps partiel et vu qu’il Ă©tait plus stable et plus durable que mon travail principal, j’avais voulu faire tout mon possible pour le garder. Je m’étais dit qu’avec un devoir stable et durable, si je n’étais pas remplacĂ©e, j’étais sĂ»re d’ĂȘtre sauvĂ©e. Alors j’ai enfin compris que ma performance dans mon devoir Ă©tait altĂ©rĂ©e par mes intentions. La plupart des autres frĂšres et sƓurs qui Ă©taient transfĂ©rĂ©s le gĂ©raient correctement. Pourquoi mes pensĂ©es Ă©taient-elles si compliquĂ©es ? Pourquoi avais-je tant d’inquiĂ©tudes et de peurs ? J’ai continuĂ© Ă  prier Dieu, Ă  chercher et Ă  trouver des passages pertinents de la parole de Dieu Ă  lire. Un passage dans lequel Dieu rĂ©vĂšle le tempĂ©rament des antĂ©christs concernait prĂ©cisĂ©ment mon Ă©tat. Dieu dit Lorsqu’un simple ajustement est apportĂ© Ă  leur devoir, les gens doivent rĂ©agir en adoptant une attitude d’obĂ©issance, en faisant ce que la maison de Dieu leur dit de faire, en faisant ce qu’ils sont capables de faire et, quoi qu’ils fassent, en le faisant aussi bien qu’il est en leur pouvoir, de tout leur cƓur et de toutes leurs forces. Ce que Dieu a fait n’est pas une erreur de Sa part. Une vĂ©ritĂ© aussi simple peut ĂȘtre mise en pratique avec un peu de conscience et de rationalitĂ©, mais voilĂ  qui dĂ©passe les capacitĂ©s des antĂ©christs. Les antĂ©christs n’obĂ©issent jamais aux arrangements de la maison de Dieu, et ils relient toujours Ă©troitement leur devoir, la gloire et le statut Ă  leur espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions et Ă  leur destination future, comme si, quand ils perdent leur rĂ©putation et leur statut, ils n’avaient aucun espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions et des rĂ©compenses, ce qui, pour eux, est comme perdre la vie. Par consĂ©quent, ils se protĂšgent des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu, pour que ces derniers ne gĂąchent pas leur rĂȘve de bĂ©nĂ©dictions. Ils s’accrochent Ă  leur rĂ©putation et Ă  leur statut, parce qu’ils pensent que leur rĂ©putation et leur salut sont leur seul espoir de gagner des bĂ©nĂ©dictions. Un antĂ©christ considĂšre qu’ĂȘtre bĂ©ni, c’est plus magnifique que les cieux eux-mĂȘmes, plus magnifique que la vie, plus important que la poursuite de la vĂ©ritĂ©, le changement de tempĂ©rament, ou le salut personnel, et plus important que de bien faire son devoir et d’ĂȘtre un ĂȘtre créé qui soit Ă  la hauteur des normes. Il pense qu’ĂȘtre un ĂȘtre créé qui soit Ă  la hauteur, bien faire son devoir et ĂȘtre sauvĂ© sont autant de choses dĂ©risoires qui valent Ă  peine d’ĂȘtre mentionnĂ©es, tandis que gagner des bĂ©nĂ©dictions est la seule chose de toute la vie qui ne puisse jamais ĂȘtre oubliĂ©e. Face Ă  tout ce qu’il rencontre, peu importe que ce soit grand ou petit, il est extrĂȘmement prudent et attentif, et il se mĂ©nage toujours une issue » Ils veulent se retirer lorsqu’il n’y a plus de statut ou d’espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions », dans Exposer les antĂ©christs. Mon attitude envers les transferts de devoir correspondait parfaitement Ă  celle des antĂ©christs rĂ©vĂ©lĂ©e par Dieu. Je me creusais la tĂȘte pour essayer de garder mon travail Ă  temps partiel parce que je voulais un devoir stable et durable, afin de rester dans la maison de Dieu et de ne pas ĂȘtre chassĂ©e. Tout ce que je faisais visait Ă  gagner des bĂ©nĂ©dictions. C’était mon seul objectif. En fait, quel que soit le devoir vers lequel une personne est transfĂ©rĂ©e dans l’Église, son transfert est basĂ© sur les besoins du travail et parfaitement normal. Mais les antĂ©christs ont un tempĂ©rament mauvais, alors ils le conçoivent d’une maniĂšre anormale. Ils pensent qu’ils ne peuvent se fier Ă  personne dans la maison de Dieu et que personne ne se soucie d’eux. Ils croient qu’en Ă©tant transfĂ©rĂ©s en tous sens, ils seront chassĂ©s et perdront leur destination s’ils ne sont pas prudents, et qu’ils doivent donc tout planifier soigneusement, ĂȘtre attentifs et avoir un plan de secours. Ils pensent que ça leur garantira une fin et une destination. Pour les antĂ©christs, ĂȘtre bĂ©ni est plus important qu’accompli un devoir ou ĂȘtre sauvĂ©. Mon point de vue n’était-il pas le mĂȘme que celui d’un antĂ©christ ? Je craignais toujours d’ĂȘtre transfĂ©rĂ©e Ă  un autre devoir. Que ferais-je si j’étais transfĂ©rĂ©e ? Et si c’était un travail pour lequel je n’étais pas douĂ©e, si j’étais inefficace et qu’on me transfĂ©rait de nouveau ? Si je me retrouvais un jour sans devoir Ă  accomplir, ne serais-je pas chassĂ©e ? Quand j’y songeais, je commençais Ă  m’inquiĂ©ter. Telle un antĂ©christ, j’avais un esprit trĂšs complexe et mauvais, j’avais peur de me retrouver dans une impasse, alors je voulais m’agripper Ă  un travail que je pensais pouvoir faire un long moment, comme un incroyant qui cherche une place en or ». Je rĂȘvais de faire un devoir assurĂ© pour toujours, de maniĂšre Ă  ĂȘtre sauvĂ©e et Ă  entrer sans encombre dans le royaume des cieux quand l’Ɠuvre de Dieu serait terminĂ©e. Pour atteindre ce but, je m’étais dĂ©menĂ©e dans mon travail Ă  temps partiel, dans l’espoir de le maĂźtriser vite et de m’offrir un plan de secours. MĂȘme si je ne pouvais pas gĂ©rer mes deux tĂąches, je refusais de l’admettre. Quand mon dirigeant d’équipe m’en avait parlĂ©, j’avais tergiversĂ©. Je voulais conserver mon travail Ă  temps partiel mĂȘme si ça retardait l’autre, ce qui avait fini par affecter le travail. Je n’ai vu clairement qu’à ce moment-lĂ  que je faisais mon devoir par souci de mon avenir et de ma destination. Je me servais de mon devoir comme monnaie d’échange pour obtenir ma destination. Tout ce que je faisais visait Ă  gagner des bĂ©nĂ©dictions. N’était-ce pas juste passer un marchĂ© avec Dieu et essayer de Le tromper ? Autrefois, je priais toujours Dieu en disant que je faisais mon devoir pour rendre Son amour Ă  Dieu et vivre une ressemblance humaine, mais quand les faits m’ont rĂ©vĂ©lĂ©e, j’ai vu que c’était un mensonge ! C’était de la tromperie ! J’ai lu un autre passage des paroles de Dieu. En tant qu’ĂȘtre créé, quand on se prĂ©sente devant le CrĂ©ateur, on doit accomplir son devoir. C’est ce qu’il convient de faire et la responsabilitĂ© qui nous incombe. Étant donnĂ© que les ĂȘtres créés accomplissent leurs devoirs, le CrĂ©ateur a rĂ©alisĂ© une plus grande Ɠuvre au sein de l’humanitĂ©. Il a accompli une nouvelle Ă©tape de Son Ɠuvre sur l’humanitĂ©. Or de quelle Ɠuvre s’agit-il ? Il fournit la vĂ©ritĂ© Ă  l’humanitĂ©, lui permettant d’obtenir de Lui la vĂ©ritĂ© dans l’accomplissement de ses devoirs et, ainsi, de se dĂ©barrasser de ses tempĂ©raments corrompus et d’ĂȘtre purifiĂ©e. Les hommes parviennent ainsi Ă  satisfaire la volontĂ© de Dieu et Ă  s’engager sur le bon chemin dans la vie, et finalement, ils sont capables de craindre Dieu et de s’éloigner du mal, d’atteindre le salut complet et de ne plus ĂȘtre soumis aux afflictions de Satan. VoilĂ  l’effet que Dieu voudrait que l’humanitĂ© atteigne en fin de compte en accomplissant son devoir. Par consĂ©quent, au cours de l’accomplissement de ton devoir, Dieu ne te fait pas seulement voir une chose clairement et comprendre un peu de vĂ©ritĂ©, et Il ne te fait pas seulement profiter de la grĂące et des bĂ©nĂ©dictions que tu reçois en accomplissant ton devoir en tant qu’ĂȘtre créé. Au contraire, Il te permet d’ĂȘtre purifiĂ© et sauvĂ© et, finalement, tu arrives Ă  vivre dans la lumiĂšre du visage du CrĂ©ateur. Cette “lumiĂšre du visage du CrĂ©ateur” implique une signification Ă©tendue et un contenu importants ; nous n’aborderons pas cela aujourd’hui. Bien sĂ»r, Dieu ne manquera pas de dĂ©livrer des promesses et des bĂ©nĂ©dictions Ă  des personnes de ce genre, et de faire diffĂ©rentes dĂ©clarations Ă  leur sujet, mais cela, c’est une autre affaire. Pour ce qui est d’ici et de maintenant, que reçoivent de Dieu tous ceux qui se prĂ©sentent devant Lui et accomplissent leur devoir d’ĂȘtres créés ? Ce qu’il y a de plus prĂ©cieux et de plus beau au sein de l’humanitĂ©. Aucun ĂȘtre créé au sein de l’humanitĂ© ne peut recevoir de telles bĂ©nĂ©dictions de la main du CrĂ©ateur par simple hasard. Une chose aussi belle et aussi grande est dĂ©formĂ©e par l’engeance des antĂ©christs et transformĂ©e en une transaction, dans laquelle ils sollicitent des couronnes et des rĂ©compenses de la main du CrĂ©ateur. Une telle transaction fait de quelque chose de trĂšs beau et de trĂšs juste quelque chose de trĂšs laid et de trĂšs mauvais. N’est-ce pas ce que font les antĂ©christs ? À en juger par cela, les antĂ©christs sont-ils malĂ©fiques ? En effet, ils sont trĂšs malĂ©fiques ! Ce n’est lĂ  qu’une manifestation d’un aspect de leur mĂ©chancetĂ© » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie VII », dans Exposer les antĂ©christs. Ces paroles de Dieu m’ont transpercĂ© le cƓur. Je me suis sentie trĂšs endettĂ©e envers Lui. Dieu dit que pouvoir faire un devoir en tant qu’ĂȘtre créé est ce qu’il y a de plus beau dans l’humanitĂ©, que c’est la chose la plus digne et la plus chargĂ©e de sens et que tous les ĂȘtres créés ne peuvent pas obtenir cette bĂ©nĂ©diction. J’ai compris que c’était vrai. Dieu a dĂ©crĂ©tĂ© que moi, parmi toutes les personnes du monde, je naĂźtrais dans les derniers jours, et j’ai la chance de suivre l’Ɠuvre de Dieu dans les derniers jours, d’accomplir mon devoir et de faire l’expĂ©rience de l’Ɠuvre de Dieu. Tous ne reçoivent pas cette bĂ©nĂ©diction. C’est la grĂące et l’amour exceptionnels de Dieu. Accomplir un devoir dans la maison de Dieu, quel qu’il soit, a plus de valeur et de sens que tout ce qu’on peut faire dans le monde, alors je devrais ĂȘtre reconnaissante et le chĂ©rir. De plus, Dieu a toujours donnĂ© gĂ©nĂ©reusement la vĂ©ritĂ© aux gens. Il parle aux gens et les nourrit en personne, leur permettant de comprendre et de gagner la vĂ©ritĂ© en accomplissant leurs devoirs, et de grandir peu Ă  peu dans la vie. Dieu ne demande rien aux gens durant ce processus. Dieu veut seulement que les gens acceptent Son mandat d’un cƓur honnĂȘte et obĂ©issant, fassent de leur mieux pour bien accomplir leur devoir, et finalement gagnent la vĂ©ritĂ©, Ă©chappent Ă  leurs tempĂ©raments corrompus et soient sauvĂ©s par Lui. Et que faisais-je ? Je prenais le fait magnifique d’accomplir mon devoir en tant qu’ĂȘtre créé, je le transformais en transaction et j’essayais d’échanger mon devoir contre des bĂ©nĂ©dictions. J’étais vraiment fourbe, sournoise et je dĂ©goĂ»tais Dieu. AprĂšs ça, j’ai souvent priĂ© Dieu Ă  propos de mon Ă©tat, Lui demandant de m’éclairer et de me guider pour que je comprenne plus clairement mon problĂšme. Un jour, pendant mes dĂ©votions, j’ai lu des paroles de Dieu. Les gens doivent avoir un cƓur honnĂȘte vis-Ă -vis de Dieu, et vis-Ă -vis de leur devoir. Si tel est le cas, ils craindront Dieu. Quel genre d’attitude envers Dieu ont ceux qui ont un cƓur honnĂȘte ? Au minimum, ils ont un cƓur qui craint Dieu, un cƓur qui obĂ©it Ă  Dieu en toutes choses, ils ne demandent ni bĂ©nĂ©dictions ni infortune, ils ne parlent pas de conditions, ils s’en remettent Ă  la merci de Dieu ; ces gens-lĂ  ont un cƓur honnĂȘte. Ont-ils un cƓur honnĂȘte ceux qui, sans cesse, sont sceptiques au sujet de Dieu, Le sondent, essaient de marchander avec Lui ? Non. Qu’est-ce qui habite le cƓur de ces gens-lĂ  ? La ruse et le mal. Ils sont toujours en train de sonder. Et que sondent-ils ? L’attitude de Dieu envers les gens. Ils sont toujours en train de sonder l’attitude de Dieu envers les gens. Quel est le problĂšme ? Et pourquoi sondent-ils Son attitude ? Parce qu’elle concerne leurs intĂ©rĂȘts vitaux. Dans leur cƓur, ils se disent “Dieu a Ă©laborĂ© ces circonstances pour moi, Il a fait en sorte que ça m’arrive. Pourquoi ? Cela n’est pas arrivĂ© Ă  d’autres, pourquoi cela devait-il m’arriver Ă  moi ? Quelles en seront les consĂ©quences par la suite ?” VoilĂ  ce qu’ils sondent ils sondent leurs profits et leurs pertes, leurs bĂ©nĂ©dictions et leurs malheurs. Et tandis qu’ils sondent ces choses, sont-ils capables de pratiquer la vĂ©ritĂ© ? Sont-ils capables d’obĂ©ir Ă  Dieu ? Non. Et que produit leurs ruminations ? Seulement des choses qui leur sont bĂ©nĂ©fiques ; ils ne prĂȘtent attention qu’à leurs propres intĂ©rĂȘts. [
] Et que rĂ©sulte-t-il, au final, de cette inspection menĂ©e par ces gens qui pensent constamment Ă  leurs propres intĂ©rĂȘts ? Ils ne font que dĂ©sobĂ©ir et s’opposer Ă  Dieu. MĂȘme quand ils insistent pour accomplir leur devoir, ils le font nĂ©gligemment et superficiellement, avec un Ă©tat d’esprit nĂ©gatif. Dans leur cƓur, ils ne pensent qu’à la façon dont ils peuvent profiter, ne pas ĂȘtre du cĂŽtĂ© des perdants. Telles sont leurs motivations quand ils accomplissent leur devoir, et en faisant cela, ils essaient de marchander avec Dieu. Quel tempĂ©rament est-ce lĂ  ? C’est de la ruse, un tempĂ©rament diabolique. Il ne s’agit plus d’un tempĂ©rament corrompu ordinaire, mais d’un tempĂ©rament qui a dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© en mĂ©chancetĂ©. Et quand leur cƓur est empli de ce type de tempĂ©rament diabolique, ils sont en conflit avec Dieu ! Vous devriez ĂȘtre au clair sur ce problĂšme. Si les gens sondent Dieu et essaient de marchander en permanence quand ils accomplissent leur devoir, peuvent-ils l’accomplir correctement ? Absolument pas. Ils ne vĂ©nĂšrent pas Dieu avec leur esprit, et de maniĂšre honnĂȘte, ils n’ont pas un cƓur honnĂȘte, ils regardent et attendent, tout en accomplissant leur devoir, se tenant en retrait en permanence. Quel est le rĂ©sultat ? Dieu n’Ɠuvre pas en eux, ils sont dĂ©sorientĂ©s et deviennent confus, ils ne comprennent pas les principes de la vĂ©ritĂ©, ils agissent selon leurs propres inclinations, et ils finissent toujours par mal tourner. Et pourquoi tournent-ils mal ? Parce que leur cƓur manque de beaucoup de clairvoyance, et quand il leur arrive quelque chose, ils ne rĂ©flĂ©chissent pas sur eux-mĂȘmes, ni ne cherchent la vĂ©ritĂ© pour trouver une solution, ils persistent Ă  agir comme bon leur semble, selon leurs propres prĂ©fĂ©rences. RĂ©sultat ils tournent toujours mal quand ils accomplissent leur devoir. Ils ne pensent jamais au travail de l’Église, ni aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, ils conspirent en permanence en faveur de leurs propres intĂ©rĂȘts, de leur propre orgueil et statut. Et non seulement ils accomplissent leur devoir de façon mĂ©diocre, mais ils retardent et entravent aussi le travail de l’Église. N’est-ce pas lĂ  s’égarer, nĂ©gliger leurs devoirs ? Si les gens n’ont toujours en tĂȘte que leurs propres intĂ©rĂȘts et perspectives lorsqu’ils accomplissent leur devoir, et qu’ils n’accordent pas d’attention au travail de l’Église ou aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, alors cela n’est pas accomplir un devoir, car l’essence et la nature de leurs actions ont changĂ©. Et si la nature d’une telle chose est grave, qu’elle devient intrusive et perturbatrice, et qu’elle engendre de graves consĂ©quences, alors la personne impliquĂ©e doit ĂȘtre chassĂ©e » Seule la recherche des principes-vĂ©ritĂ©s permet de bien accomplir son devoir », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu m’ont frappĂ©e. Avant, je comprenais juste qu’ĂȘtre sur mes gardes dans mon devoir et toujours chercher un plan de secours Ă©tait une manifestation de fourberie et de sournoiserie. GrĂące Ă  ce que rĂ©vĂ©laient ces paroles de Dieu, j’ai vu qu’il ne s’agissait pas seulement de fourberie et de sournoiserie, que ça s’élevait au niveau de la malfaisance, parce que je ne dupais pas n’importe qui c’était avec Dieu que j’étais calculatrice. ExtĂ©rieurement, j’accomplissais mon devoir, mais je n’avais aucune sincĂ©ritĂ© dans mon devoir. Je passais mon temps Ă  observer et calculer, en faisant le devoir qui m’était le plus bĂ©nĂ©fique. Quand je faisais mon travail de composition, je le traitais comme le seul moyen de sauver ma vie. Je craignais d’ĂȘtre remplacĂ©e un jour, de ne pas trouver de devoir qui me convenait, de ne pas avoir l’occasion de gagner des bĂ©nĂ©dictions, alors j’avais toujours peur de perdre mon devoir. Plus tard, quand j’avais obtenu mon travail Ă  temps partiel, j’avais pensĂ© qu’il m’offrait une meilleure chance de gagner des bĂ©nĂ©dictions, alors je m’y Ă©tais agrippĂ©e de toutes mes forces. En apparence, j’étais trĂšs dynamique, je posais des questions sur tout ce que je ne comprenais pas, mais en rĂ©alitĂ©, je voulais juste le maĂźtriser vite afin d’occuper une position indispensable dans ce devoir. En mĂȘme temps, j’attendais de voir si je serais transfĂ©rĂ©e de mon travail principal. Si ce n’était pas le cas, j’aurais accompli mes deux devoirs pour avoir une garantie supplĂ©mentaire d’ĂȘtre sauvĂ©e et, si j’étais transfĂ©rĂ©e, je n’aurais pas eu Ă  m’inquiĂ©ter d’ĂȘtre chassĂ©e parce que j’aurais toujours eu mon travail Ă  temps partiel. J’ai compris que mon attitude envers mon devoir ne consistait pas Ă  recevoir un mandat et une responsabilitĂ© de Dieu, et que je n’acceptais pas ces devoirs de Dieu avec un cƓur pur et honnĂȘte. Au lieu de ça, j’avais des intentions sournoises, j’étudiais et calculais mes bĂ©nĂ©fices et mon espoir de recevoir des bĂ©nĂ©dictions. Je n’en reviens pas d’avoir Ă©tĂ© aussi fourbe ! ExtĂ©rieurement, je travaillais beaucoup et j’étais occupĂ©e toute la journĂ©e, ce qui donnait l’impression que j’étais trĂšs responsable dans mon devoir, mais en rĂ©alitĂ©, je ne travaillais que pour mon avenir et ma destination. Quand le dirigeant m’avait incitĂ©e Ă  me demander si je pouvais gĂ©rer les deux devoirs, j’avais eu peur que mon plan tombe Ă  l’eau, alors j’avais trouvĂ© des excuses en disant Je veux mieux remplir mon temps dans mon devoir. » Ce que j’ai dit Ă©tait vraiment trompeur ! Afin de masquer mes intentions honteuses et mĂ©prisables, j’avais employĂ© une rhĂ©torique malhonnĂȘte pour tromper le dirigeant d’équipe. Mon tempĂ©rament Ă©tait vraiment trop mauvais ! J’ai repensĂ© Ă  toutes mes pensĂ©es calculatrices et mes intentions sournoises. Je n’accomplissais pas du tout mes devoirs ! C’était me servir de Dieu et Le tromper ! Je n’avais aucune sincĂ©ritĂ© envers Dieu ! J’étais comme un marchant opportuniste. J’étais trĂšs sournoise, Ă©goĂŻste, mĂ©prisable, intĂ©ressĂ©e et je ne me souciais que du gain. J’étais prĂȘte Ă  utiliser toutes sortes de moyens pour maximiser mes intĂ©rĂȘts. Dieu dit que ceux qui ne se soucient que de leur intĂ©rĂȘt dans leur devoir, pas de ceux de Sa maison, ne produiront jamais de bons rĂ©sultats dans ce qu’ils font. Dans mon travail Ă  temps partiel, mĂȘme si je voulais pratiquer plus, mon intention Ă©tait de trouver un plan de secours. En faisant les choses avec cette intention, je ne rĂ©flĂ©chissais pas soigneusement Ă  la maniĂšre d’agir selon les principes et d’obtenir de bons rĂ©sultats. À la place, je cherchais des succĂšs rapides et n’accomplissais que des tĂąches bien visibles. Pour finir mes tĂąches, je travaillais dans l’urgence, ce qui me faisait oublier des choses et Ă©chouer Ă  saisir les principes, et mon travail Ă©tait toujours plein d’erreurs. Dans mon devoir principal, j’avais dĂ©jĂ  retardĂ© nos progrĂšs, mais je ne m’en souciais pas et ne ressentais aucune urgence. J’ai pensĂ© Ă  la maniĂšre dont j’avais semĂ© le chaos dans chacun de mes devoirs. Si ça continuait, je nuirais Ă©videmment au travail de la maison de Dieu, alors je serais vraiment chassĂ©e ! Quand j’en ai pris conscience, j’ai eu un peu peur, alors j’ai priĂ© Dieu pour Lui dire que je voulais me repentir, changer et inverser mon attitude envers mon devoir. Plus tard, en priant et cherchant, je me suis rendu compte que j’avais toujours eu un point de vue absurde, qui Ă©tait que tant que j’accomplirais un devoir stable et durable dans la maison de Dieu et que je n’étais pas transfĂ©rĂ©e, je pourrais ĂȘtre sauvĂ©e et survivre quand l’Ɠuvre de Dieu s’achĂšverait. Je ne m’étais jamais demandĂ© si mon point de vue Ă©tait conforme Ă  la vĂ©ritĂ© ni quelles Ă©taient prĂ©cisĂ©ment les exigences de Dieu. Alors j’ai cherchĂ© les passages de la parole de Dieu qui concernaient mon Ă©tat et je les ai lus. Dieu dit Il n’y a pas de corrĂ©lation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il soit bĂ©ni ou maudit. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et ne devrait pas dĂ©pendre de la rĂ©compense, des conditions ou des raisons. C’est alors seulement qu’il fait son devoir. Être bĂ©ni, c’est ĂȘtre perfectionnĂ© et jouir des bĂ©nĂ©dictions de Dieu aprĂšs avoir fait l’expĂ©rience du jugement. Être maudit, c’est conserver son tempĂ©rament inchangĂ© aprĂšs avoir fait l’expĂ©rience du chĂątiment et du jugement, c’est ne pas faire l’expĂ©rience d’ĂȘtre perfectionnĂ©, mais ĂȘtre puni. Mais qu’ils soient bĂ©nis ou maudits, les ĂȘtres créés doivent accomplir leur devoir, faire ce qu’ils doivent faire et faire ce qu’ils sont capables de faire. C’est le moins que puisse faire une personne, en tant qu’humain, et qui cherche Dieu » La diffĂ©rence entre le ministĂšre de Dieu incarnĂ© et le devoir de l’homme », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. En fin de compte, que les hommes puissent ou non atteindre le salut ne dĂ©pend pas du devoir qu’ils remplissent, mais du fait qu’ils puissent ou non comprendre et acquĂ©rir la vĂ©ritĂ©, et qu’ils puissent ou non se soumettre entiĂšrement Ă  Dieu Ă  la fin, se mettre Ă  la merci de Ses orchestrations, ne pas envisager leur avenir et leur destinĂ©e, et devenir des ĂȘtres créés qualifiĂ©s. Dieu est juste et saint, et c’est lĂ  la norme qu’Il utilise pour prendre la mesure de toute l’humanitĂ©. Cette norme est immuable, et tu dois t’en souvenir. Grave cette norme dans ton esprit, et ne songe pas Ă  trouver un autre chemin pour poursuivre quelque chose d’irrĂ©el. Les exigences que Dieu a vis-Ă -vis de tous ceux qui veulent atteindre le salut et les normes qu’Il exige d’eux sont constantes Ă  jamais. Elles restent les mĂȘmes, qui que tu sois » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu est trĂšs claire. Les devoirs que les gens accomplissent et le fait qu’ils soient durables et stables ou non n’a rien Ă  voir avec le fait qu’ils soient bĂ©nis ou maudits. En tant qu’ĂȘtre créés, qu’on soit bĂ©nis ou maudits, on doit accomplir nos propres devoirs. C’est la valeur de la vie humaine, ainsi que le devoir et l’obligation des ĂȘtres humains. Aussi, Dieu n’a jamais dit que tant qu’on avait un devoir stable et durable et n’était pas transfĂ©rĂ©, on aurait une bonne destination et pourrait ĂȘtre sauvĂ©s. Dieu a toujours dit que les gens ne pouvaient ĂȘtre sauvĂ©s qu’en recherchant la vĂ©ritĂ©, en Ă©chappant Ă  leurs tempĂ©raments corrompus et en parvenant Ă  une vraie obĂ©issance. Les exigences et les critĂšres de Dieu n’ont jamais changĂ© et Dieu a toujours rappelĂ© Ses exigences. Ce n’était pas comme si je ne connaissais pas ces paroles ou ne les avais pas lues, mais j’étais exactement comme un non-croyant. Je n’avais jamais cru ni acceptĂ© ces paroles, et je n’avais pas compris les bonnes intentions de Dieu pour sauver les gens ni Son tempĂ©rament juste. Je ne comptais que sur mes notions et les fruits de mon imagination, je m’agrippais Ă  mes vues erronĂ©es et je m’étais donnĂ© un but risiblement naĂŻf. Je pensais que tant que je continuais Ă  accomplir un devoir dans la maison de Dieu sans ĂȘtre ajustĂ©e, je survivrais quand l’Ɠuvre de Dieu se conclurait. Quand j’y repense maintenant, ça me paraĂźt absolument ridicule ! Je ne cherchais qu’à avoir un devoir Ă  accomplir et Ă  ne pas ĂȘtre transfĂ©rĂ©e. Je ne m’étais jamais concentrĂ©e sur la recherche de la vĂ©ritĂ© dans mon devoir et je n’avais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme ni rĂ©solu mes tempĂ©raments corrompus. Du coup, je n’avais pas conscience de mes intentions Ă©videntes de gagner des bĂ©nĂ©dictions ni de mon tempĂ©rament corrompu, et j’avais encore moins cherchĂ© la vĂ©ritĂ© pour rĂ©soudre ces choses. MĂȘme si mon devoir avait Ă©tĂ© durable, aurais-je pu garantir que j’aurais pu le faire indĂ©finiment ? Certaines personnes, autour de moi, faisaient leur devoir depuis des annĂ©es sans avoir Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©es, mais parce qu’elles ne cherchaient pas la vĂ©ritĂ© et ne se concentraient pas sur la rĂ©solution de leurs tempĂ©raments corrompus, elles Ă©taient toujours nĂ©gligentes dans leurs devoirs. De ce fait, elles avaient fait leurs devoirs pendant de nombreuses annĂ©es sans rĂ©sultat et avaient fini par ĂȘtre chassĂ©es. D’autres ont travaillĂ© en se basant sur des annĂ©es d’expĂ©rience de leur don, sont devenus de plus en plus arrogants, n’en ont fait qu’à leur tĂȘte, ont gravement perturbĂ© le travail de la maison de Dieu, et ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s et chassĂ©s. Mais certains frĂšres et sƓurs sont simples et honnĂȘtes, ils sont capables d’accepter n’importe quel devoir arrangĂ© pour eux, de se concentrer sur la recherche de la vĂ©ritĂ© et la rĂ©solution de leurs tempĂ©raments corrompus, et quand ils ne comprennent pas quelque chose, ils prient Dieu ou cherchent la vĂ©ritĂ©, ou ils interrogent leurs frĂšres et sƓurs et Ă©changent avec eux. Ils deviennent de plus en plus efficaces dans leurs devoirs, ils grandissent peu Ă  peu dans la vie et ils ont une foi sincĂšre en Dieu. Il y avait de tels cas autour de moi, alors pourquoi ne les voyais-je pas ? De plus, quand des gens sont transfĂ©rĂ©s dans la maison de Dieu, c’est toujours sur la base des besoins du travail de l’Église et de leurs compĂ©tences. Si quelqu’un a une foi sincĂšre en Dieu, la maison de Dieu lui arrangera un devoir qui lui convient. Ce n’est que passer d’une position Ă  une autre, pas se faire dĂ©pouiller de son droit d’éprouver l’Ɠuvre de Dieu et de rechercher la vĂ©ritĂ©, ni ĂȘtre privĂ© de sa chance d’ĂȘtre sauvĂ©. C’est tout Ă  fait appropriĂ©. Pourquoi avais-je toujours considĂ©rĂ© les transferts comme une chose nĂ©gative, mauvaise ? J’ai compris Ă  ce moment-lĂ  que ma croyance dans le fait qu’un devoir stable et durable me garantirait une bonne destination et de ne pas ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et chassĂ©e Ă©tait un point de vue absurde et ridicule. Ce n’était que mes notions et les fruits de mon imagination, et c’était dangereux ! Quand je m’en suis rendu compte, mon cƓur s’est illuminĂ© et je me suis sentie trĂšs soulagĂ©e. AprĂšs ça, dans mon devoir, mon Ă©tat d’esprit Ă©tait bien meilleur. Je ne considĂ©rais plus que l’un de mes devoirs Ă©tait plus important que l’autre. À la place, je sentais que les deux Ă©taient des mandats de Dieu, qu’ils Ă©taient prĂ©cieux, et j’ai voulu faire les deux du mieux possible. Quant Ă  savoir si je continuerais mon travail Ă  temps partiel, j’ai laissĂ© Dieu en dĂ©cider et j’ai Ă©tĂ© prĂȘte Ă  me soumettre Ă  Ses arrangements. Un jour, fin novembre, le superviseur m’a dit que je n’avais plus besoin de faire le travail Ă  temps partiel parce qu’ils avaient quelqu’un d’autre. Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai ressenti quelque chose que je ne peux pas dĂ©crire. J’étais un peu triste et rĂ©ticente Ă  renoncer. Je me suis aperçue que mon Ă©tat Ă©tait mauvais, alors je me suis empressĂ©e de prier Dieu. J’ai pensĂ© aux paroles de Dieu Les gens doivent avoir un cƓur honnĂȘte vis-Ă -vis de Dieu, et vis-Ă -vis de leur devoir. Si tel est le cas, ils craindront Dieu. Quel genre d’attitude envers Dieu ont ceux qui ont un cƓur honnĂȘte ? Au minimum, ils ont un cƓur qui craint Dieu, un cƓur qui obĂ©it Ă  Dieu en toutes choses, ils ne demandent ni bĂ©nĂ©dictions ni infortune, ils ne parlent pas de conditions, ils s’en remettent Ă  la merci de Dieu ; ces gens-lĂ  ont un cƓur honnĂȘte » Seule la recherche des principes-vĂ©ritĂ©s permet de bien accomplir son devoir », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir mĂ©ditĂ© ces paroles de Dieu encore et encore, j’ai compris que Dieu aimait les gens honnĂȘtes, qu’Il voulait que je traite mes devoirs avec un cƓur honnĂȘte, que je sois capable d’obĂ©ir simplement, que je ne me soucie pas des rĂ©sultats, que je ne fasse pas de calcul pour moi-mĂȘme et que je me soumette Ă  Ses orchestrations. Jamais personne n’a gardĂ© sa place dans la maison de Dieu grĂące Ă  des ruses et des calculs. Au contraire, seuls ceux qui sont purs, honnĂȘtes, qui font les choses de maniĂšre terre Ă  terre et qui obĂ©issent Ă  Dieu peuvent tenir bon. À ce moment-lĂ , j’ai compris que Dieu me testait par cette situation. Dieu observait mon attitude. Je ne pouvais plus me montrer sĂ©lective vis-Ă -vis de mon devoir. Je devais obĂ©ir aux arrangements de Dieu du fond du cƓur et chĂ©rir mon devoir actuel. Quelle que soit la durĂ©e de ce devoir et quels que soient les autres devoirs que l’Église arrangerait pour moi Ă  l’avenir, je devais l’accepter et obĂ©ir avec un cƓur pur et honnĂȘte et faire de mon mieux pour bien les accomplir. AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, j’ai brusquement compris que Dieu avait de bonnes intentions en arrangeant ce travail Ă  temps partiel pour moi. Dieu avait arrangĂ© cet environnement pour rĂ©vĂ©ler mon attitude incorrecte envers mon devoir et mon intention bien enracinĂ©e de gagner des bĂ©nĂ©dictions. Sans la rĂ©vĂ©lation des faits, je n’aurais jamais su que ma foi Ă©tait dĂ©naturĂ©e ni quelle attitude envers son devoir est conforme Ă  la volontĂ© de Dieu. Tout ce que Dieu m’avait donnĂ© Ă©tait un trĂ©sor prĂ©cieux. Aussi, ce changement soudain dans mon devoir m’a permis de voir un fait Dieu contrĂŽle tout et le devoir que quelqu’un accomplit est prĂ©dĂ©terminĂ© par Dieu. C’est quelque chose que les gens ne peuvent ni prĂ©voir ni changer. Mais, comme un non-croyant, j’ignorais la souverainetĂ© de Dieu et je voulais prĂ©server mes devoirs par mes propres efforts. J’étais si stupide et ignorante ! Comment pouvais-je espĂ©rer garder un devoir particulier que je voulais accomplir ? Je ne pouvais vivre une vie dĂ©tendue et libĂ©rĂ©e qu’en obĂ©issant aux arrangements de Dieu. AprĂšs quelque temps, l’Église m’a chargĂ©e d’un autre travail Ă  temps partiel, mais je ne me suis plus demandĂ© si ce devoir serait durable. À la place, j’ai juste voulu le faire bien, avec assiduitĂ©, rechercher et pratiquer la vĂ©ritĂ© dans mon devoir, rĂ©soudre mon tempĂ©rament corrompu, m’efforcer de vivre une vraie ressemblance humaine et parvenir Ă  une obĂ©issance et une loyautĂ© sincĂšres envers Dieu.
Quest-ce qui réfléchit sans réfléchir ? Réponse: Un miroir ! sid le 31/08/16. Points : 3. Commentaires Connectez-vous pour ajouter un commentaire. Aucun commentaire. Statistiques détaillées. Statistiques . Nombre de votes au total 23; 13; 10; Dernier vote 08/08/22 à 15:27:53 Blagues similaires . Blague - Petit, blanc et qui fait mal. Qu'est-ce qui est petit, blanc
TLFi AcadĂ©mie9e Ă©dition AcadĂ©mie8e Ă©dition AcadĂ©mie4e Ă©dition BDLPFrancophonie BHVFattestations DMF1330 - 1500 RÉFLÉCHIR, verbeI. − − [ une surface rĂ©flĂ©chissante, lumiĂšre, un objet ou l'image d'un objet] Renvoyer par rĂ©flexion dans la direction d'origine ou dans une autre direction. Les nuages et les vapeurs de l'atmosphĂšre peuvent fort bien rĂ©flĂ©chir les formes et les couleurs des objets terrestres, puisqu'ils rĂ©flĂ©chissent, dans les parĂ©lies, l'image du soleil Bern. de St-P., Harm. nat.,1814, p. 81.Un petit lac rĂ©flĂ©chit l'image des centaines de stalactites qui pendent de la voĂ»te, et l'on croit voir au fond de ce lac les ruines d'une grande ville aperçue d'une hauteur considĂ©rable, car la surface du lac remet Ă  l'endroit ce qui Ă©tait Ă  l'envers Green, Journal,1944, p. 117.Empl. pronom. rĂ©flĂ©chit dans, sur un objet] Un vieux pont dont l'arche unique se rĂ©flĂ©chit harmonieusement dans l'eau tranquille Daniel-Rops, Mort,1934, p. 250.♩ PoĂ©t. ou littĂ©r. Je retrouvai sans cesse l'image de la jeune fille. Ses mains blanches sur les seaux, son beau regard rĂ©flĂ©chissant l'Ă©clat des flammes Toepffer, Nouv. genev.,1839, p. 290.C'Ă©tait une fille ... aux grands yeux d'un bleu sombre, qui semblaient rĂ©flĂ©chir l'azur d'un ciel d'Orient Ponson du Terr., Rocambole,t. 2, 1859, p. 65.Rem. On relĂšve la constr. un objet et image], oĂč rĂ©flĂ©chir a le sens de mirer » J'ai vu des monts voilĂ©s de citrons et d'olives RĂ©flĂ©chir dans les eaux leurs ombres fugitives Lamart., Harm., 1830, p. 392.− P. anal. [ un son] Ici et lĂ  sous l'ombre des sycomores la vibration du bronze au fond d'une pagode rĂ©flĂ©chit l'Ă©cho du monstre qui s'est tu Claudel, Connaiss. Est,1907, p. 70.Au part. passĂ© ou au passif. Les sons amortis semblaient ĂȘtre rĂ©flĂ©chis par un Ă©cho lointain Daniel-Rops, Mort,1934, p. 344.B. − Au fig. ou p. mĂ©taph. ReflĂ©ter, manifester. Dans ce dĂ©veloppement [de l'intelligence] survient le langage qui rĂ©flĂ©chit l'entendement, et le met, pour ainsi dire, en dehors de lui-mĂȘme Cousin, Hist. philos. XVIIIes.,1829, p. 3821. Comment un tel homme [Baudelaire], fait comme pas un autre pour rĂ©flĂ©chir le doute, la haine, le mĂ©pris, le dĂ©goĂ»t, la tristesse, pouvait-il manifester si hautement ses passions et vider le monde de son contenu pour en accuser les beautĂ©s dĂ©faites, les vĂ©ritĂ©s souillĂ©es, mais si soumises, si commodes? Éluard, Donner,1939, p. 107.− Empl. pronom. La crainte de lui avoir dit indirectement une chose dĂ©sagrĂ©able succĂ©da Ă  sa rĂ©pugnance pour le mauvais propos. Ce malheur se rĂ©flĂ©chit vivement dans ses traits si purs et si naĂŻfs Stendhal, Rouge et Noir,1830, p. 94.Je commence Ă  croire que l'ami vraiment, c'est la page blanche oĂč se rĂ©flĂ©chit votre Ăąme Gide, Corresp.[avec ValĂ©ry], 1891, p. 101.Rem. On relĂšve a Dans le sens fig. ou mĂ©taph., la constr. sur un objet, image] Le moi n'a pas encore rĂ©flĂ©chi son image sur le miroir de Narcisse J. Vuillemin, Essai signif. mort, 1949, p. 98. b Un empl. abusif avec un compl. dĂ©signant la chaleur. Synon. rĂ©verbĂ©rer. Il s'endormit sur la paille tiĂšde, dans la chaleur de cette canicule que la Loire rĂ©flĂ©chissait sur Nantes Morand, P. de Saligny, 1947, p. 192. c Un empl. pronom. rĂ©fl. au sens de se replier sur soi-mĂȘme, revenir sur soi-mĂȘme ». Le pĂ©ritoine se rĂ©flĂ©chit sur les parois du petit bassin Lar. Lang. fr..II. A. − Qqn usage de sa rĂ©flexion, exercer sa rĂ©flexion. Agir sans rĂ©flĂ©chir; rĂ©flĂ©chir avant de parler; prendre le temps de rĂ©flĂ©chir; rĂ©flĂ©chir longuement, mĂ»rement, un moment, un peu. RĂ©flĂ©chissez donc un peu. Moi, j'ai beaucoup rĂ©flĂ©chi; je pense toujours Ă  nous Balzac, Langeais,1834, p. 2762. Ces rĂ©flexions, je suis en train de me les faire, aprĂšs coup, pour lĂ©gitimer ma dĂ©cision. En rĂ©alitĂ©, je ne les ai point faites ou du moins je ne les ai point formulĂ©es. S'il fallait rĂ©flĂ©chir ainsi, peser toutes les consĂ©quences de ses actes, avant de sentir leur nĂ©cessitĂ©, je ne serais plus moi-mĂȘme, je ne pourrais plus vivre. H. Bazin, VipĂšre,1948, p. 202.− Locutions♩ Chose qui fait rĂ©flĂ©chir, qui donne Ă  rĂ©flĂ©chir. Chose qui incite Ă  la rĂ©flexion; qui fait modifier un jugement, une dĂ©cision; qui incite Ă  la prudence. Lagache avait conservĂ©, comme preuve de sa victoire, une des dents du crocodile .... Cela fit rĂ©flĂ©chir Robert, qui ... Ă©tait souvent la victime de ses amis Champfl., Souffr. profess. Delteil,1853, p. 125.La premiĂšre chose maintenant c'Ă©tait d'avoir des gĂ©nĂ©raux patriotes, et rien que cette idĂ©e vous donnait Ă  rĂ©flĂ©chir car nous pouvions en avoir d'autres, puisque le roi les choisissait Hist. paysan,t. 1, 1870, p. 456.♩ Je demande Ă  rĂ©flĂ©chir, je rĂ©flĂ©chirai, laissez-moi rĂ©flĂ©chir. [Indique que le locuteur ne veut pas prendre de dĂ©cision immĂ©diate] Costals reconnut dans cette suggestion le gĂ©nie mĂȘme de la haute bourgeoisie. Il demanda Ă  rĂ©flĂ©chir encore un peu Montherl., DĂ©mon bien,1937, p. 1270.B. − Qqn rĂ©flĂ©chit Ă , sur sa pensĂ©e, son attention sur un objet afin d'en avoir une connaissance approfondie, ou afin d'agir avec circonspection. RĂ©flĂ©chir Ă  bien des choses, Ă  ses paroles, Ă  sa situation; rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu'on va dire; rĂ©flĂ©chir sur son avenir, sur le sens de la vie. Je vois bien que vous aimez Lucien, reprit-il d'un air tendrement rĂ©signĂ©, car il faut bien aimer un homme pour ne rĂ©flĂ©chir Ă  rien, pour oublier toutes les convenances Balzac, Illus. perdues,1839, p. 163.En ce temps-lĂ , les critiques musicaux français s'Ă©taient dĂ©cidĂ©s Ă  apprendre la musique. Il y en avait mĂȘme quelques-uns qui la savaient c'Ă©taient des originaux; ils s'Ă©taient donnĂ© la peine de rĂ©flĂ©chir sur leur art et de penser par eux-mĂȘmes Rolland, 1908, p. 684.C. − Qqn rĂ©flĂ©chit Examiner longuement. Attends!... T'as pas tout rĂ©flĂ©chi?... Reste lĂ ! T'as encore cinq minutes! CĂ©line, Mort Ă  crĂ©dit,1936, p. 694.Rem. On ne relĂšve que qq. ex. att. de cet empl. trans. dir. notĂ© comme incorrect par la plupart des grammaires et des dict.− Loc. Tout bien rĂ©flĂ©chi; c'est tout rĂ©flĂ©chi. AprĂšs avoir tout bien examinĂ©. C'est tout rĂ©flĂ©chi, je ne me marie pas, ça n'est pas mon idĂ©e Loti, PĂȘch. Isl.,1886, p. 1033. − Vous allez, une fois encore, m'offrir votre dĂ©mission. Et vous croyez que cela suffit? Non, Monsieur Salavin. Non! Tout bien rĂ©flĂ©chi, je vous garde. Vous m'entendez? Vous me comprenez? Je vous garde. Autrement dit, je ne vous lĂąche pas. Vous ĂȘtes un homme dangereux. Duhamel, Journal Salav., 1927, p. Qqn rĂ©flĂ©chit quea S'apercevoir au cours de ses rĂ©flexions du fait que. Je t'avais Ă©crit toutes mes peines sans rĂ©flĂ©chir que je t'Ă©crivais des choses qui ne peuvent qu'ĂȘtre dites, et dites Ă  toi seule Hugo, Lettres fiancĂ©e,1821, p. 48.Son chocolat lui avait donnĂ© soif. Il rĂ©flĂ©chit qu'il n'avait pas dĂ©jeunĂ© et qu'il avait une alimentation absurde. Puis, brusquement, une idĂ©e saugrenue lui passa par la tĂȘte Ai-je seulement Ă©teint ma lampe Ă  alcool? » Martin du G., Thib.,ÉtĂ© 14, 1936, p. 26.b Juger, estimer aprĂšs rĂ©flexion que. Il rĂ©flĂ©chit que dans un corps Ă  corps il aurait sĂ»rement le dessous Gide, Caves,1914, p. 857.Il avait rĂ©flĂ©chi que les engagements qu'il avait pris lui interdisaient de publier ses Confessions, mais non pas de les lire GuĂ©henno, Jean-Jacques,1952, p. 283.V. allumoir ex. de On relĂšve la constr. rĂ©flĂ©chir si. Il s'arrĂȘta, rĂ©flĂ©chit si toutes les prĂ©cautions Ă©taient prises PĂ©ladan, Vice supr., 1884, p. 272.Prononc. et Orth. [ʀefleʃiʀ], il rĂ©flĂ©chit [-ʃi]. Ac. 1694, 1718 refleschir; dep. 1740 rĂ©flĂ©chir. Étymol. et Hist. 1. 1269-78 reflechir renvoyer par rĂ©flexion » Jean de Meun, Rose, Ă©d. F. Lecoy, 18220; 2. 1314 se reflecir se courber, se replier en revenant sur soi » Chirurgie Henri de Mondeville, Ă©d. A. Bos, n o337, p. 96; 3. 1609 se reflechir revenir sur sa pensĂ©e pour l'approfondir » Prop. d'Epict., p. 647 ds Gdf. Compl.; 1672 rĂ©flĂ©chir penser mĂ»rement » Bossuet, TraitĂ© de la connoissance de Dieu et de soi-mĂȘme ds Livet MoliĂšre t. 3, p. 480; 1701 part. passĂ© adj. Fur., Refleschi les Grammairiens appellent verbes reflechis, ceux qui signifient une action qui retourne sur l'agent qui la produit; 1845-46 subst. Besch.. Adapt. d'apr. flĂ©chir* du lat. reflectere courber en arriĂšre, recourber; ramener », en lat. mĂ©diĂ©v. rĂ©verbĂ©rer d'un miroir » ca 1240 ds Latham, dĂ©r. de flectere flĂ©chir, ployer », prĂ©f. re- marquant le mouvement en arriĂšre. FrĂ©q. abs. littĂ©r. 4 158. FrĂ©q. rel. littĂ©r. xixes. a 5 177, b 4 977; xxes. a 5 527, b 7 subst. de rĂ©flĂ©chir. a [Corresp. Ă  supra I A] RĂ©flĂ©chissement de la lumiĂšre. TrĂŽnant au comptoir de bar parmi les bouteilles dont le rĂ©flĂ©chissement de la glace doublait le nombre, l'hĂŽtelier, avec la dignitĂ© d'un roi jaloux de ses faveurs, refusa net, sans cesser de rincer ses petits verres GuĂšvremont, Survenant,1945, p. 229.b [Corresp. Ă  supra I B] De lĂ , j'imagine, le rĂŽle des tarots, du marc de cafĂ© ou de la baguette du sourcier ... qui permettent ce phĂ©nomĂšne de rĂ©flĂ©chissement, de perception indirecte Huyghe, Dialog. avec visible,1955, p. 380.− [ʀefleʃismɑ ̃]. Ac. 1694, 1718 refleschissement; 1740-1878 rĂ©flĂ©chissement. − 1reattest. ca 1380 Jean LefĂšvre, Vieille, Ă©d. Cocheris, p. 245; dĂ©r. de la forme du part. prĂ©s. de rĂ©flĂ©chir, suff. -ment1*. -euse, rĂ©flĂ©chit supra I A. Le phĂ©nomĂšne acoustique ... ricochet des ondes sonores sur des surfaces rĂ©flĂ©chissantes ... n'est plus d'ordre statique, mais plutĂŽt d'ordre biologique − bouche ou oreille, Ă©metteur, transmetteur, rĂ©flĂ©chisseur Gds cour. pensĂ©e math.,1948, p. 487.Empl. subst. Personne qui rĂ©flĂ©chit supra II. Comme tous les rĂ©flĂ©chisseurs Ă©minents, vous avez deux grands cĂŽtĂ©s par un de ces cĂŽtĂ©s, vous ĂȘtes philosophe; par l'autre, vous ĂȘtes poĂ«te Hugo, Corresp.,1840, p. 569.− [ʀefleʃisĆ“Ê€], fĂ©m. [-Ăžz]. − 1resattest. av. 1686 adj. Chapelle, Epitaphe d'un chien ds LittrĂ©, puis 1870 LittrĂ©, 1731 subst. Du Plessis, Hist. de l'Église de Meaux, t. 1, p. 525; dĂ©r. de la forme du part. prĂ©s. de rĂ©flĂ©chir, suff. -eur2*.BBG. − Gohin 1903, p. 304, 339, 359. − Ieremia E.. Essai d'analyse sĂ©mique. B. de la SociĂ©tĂ© roum. de ling. rom. 1974, t. 10, pp. 23-35.

Surinternet, qu'est ce que les golems achÚtent sans réfléchir ? - Topic Qu'est ce que les golems achÚtent sans réfléchir ? du 18-06-2022 00:45:33 sur les forums de jeuxvideo.com

Parfois, l’Ɠil du journaliste indiscret s’égare. Et se dĂ©tourne, honteux. Sur le bureau de Corinne Van Oost, mĂ©decin en soins palliatifs, dans la clinique d’Ottignies, entre Bruxelles et Namur, on n’a pu s’empĂȘcher de voir cette feuille manuscrite qui dĂ©passait d’une pochette. "Je soussignĂ©, X, demande l’endormissement c'est-Ă -dire l’euthanasie. Je souhaite ĂȘtre incinĂ©rĂ© et que les cendres reviennent Ă  mes proches". Une dĂ©claration vraisemblablement remise par un patient. On n’a pu s’empĂȘcher Ă©galement d’entendre des bribes de conversations dans les couloirs du service "soins palliatifs". La famille d’un ou d’une patiente. Impression de rentrer par effraction dans cette zone interdite, ce tĂȘte-Ă -tĂȘte douloureux et intime avec la mort
 Le tabou ultime Corinne Van Oost est mĂ©decin, catholique, et travaille dans les soins palliatifs. Depuis 2002, date Ă  laquelle l’euthanasie a Ă©tĂ© lĂ©galisĂ©e en Belgique, le mĂ©decin pratique dĂ©sormais ce geste, qui lui semblait ĂȘtre le tabou ultime euthanasier son patient. Dans ce service, Ă  la clinique d’Otttignies, mais aussi au sein de Domus, un rĂ©seau de soins palliatifs Ă  suite aprĂšs la publicitĂ© La moitiĂ© des euthanasies qu’on pratique se passent Ă  domicile les gens veulent mourir chez eux."Corinne Van Oost, catholique, Ă©tait pourtant opposĂ©e Ă  la lĂ©galisation de l’euthanasie. "J'ai pĂ©titionnĂ©. Nous avons demandĂ© Ă  ce qu'on dĂ©veloppe d'abord les soins palliatifs, car je continue Ă  constater que beaucoup de demandes, si la douleur est prise en charge et la souffrance accompagnĂ©e, n'ont plus lieu d'ĂȘtre. Nous avons Ă©tĂ© entendus". La Belgique a en effet parallĂšlement promulguĂ© une loi sur les soins palliatifs, devenue un droit pour tout citoyen. Corinne restait nĂ©anmoins trĂšs partagĂ©e sur ce texte. Elle a changĂ© d’avis. Et contrairement Ă  des confrĂšres qui se refusaient Ă  pratiquer ce geste, elle, elle a fait ce qui longtemps lui semblait impensable. Cela m’a obligĂ© aller encore plus loin dans l'Ă©coute et l'accompagnement du patient.""Se salir les mains" A l’époque, en Belgique, certains confrĂšres lui avaient reprochĂ© de "se salir les mains". "Je n’ai plus jamais ce genre de rĂ©action. Il n’y a plus vraiment d’opposition Ă  cette loi" assure-t-elle. "Officiellement, bien sĂ»r, ce sujet reste ultra tabou pour la hiĂ©rarchie religieuse. Mais, dans les hĂŽpitaux, les aumĂŽniers accompagnent aussi les personnes qui demandent l’euthanasie". Selon la Commission fĂ©dĂ©rale de contrĂŽle et d’évaluation de l’euthanasie en 2013, personnes ont demandĂ© Ă  ĂȘtre euthanasiĂ©es. Un nombre en constante progression, certes, mais Ă  relativiser il ne reprĂ©sente que des dĂ©cĂšs. C’est donc avec Ă©tonnement que le mĂ©decin regarde les dĂ©bats en France sur le sujet. Sortant de sa rĂ©serve, Corinne Van Oost a souhaitĂ© tĂ©moigner via un livre de sa pratique 1 J’en avais assez de voir qu’on se faisait une idĂ©e fausse de ce qui se passe chez nous en Belgique. Nos confrĂšres français sont persuadĂ©s que nous pratiquons l'euthanasie, sans garde fou, bref, en ayant mis notre Ă©thique de cĂŽtĂ©. Mais nous avons une commission de contrĂŽle, trĂšs stricte".Pour les opposants au modĂšle belge, comme le dĂ©putĂ© Jean Leonetti, auteur de la loi Ă©ponyme, qui vient de prĂ©sider une mission parlementaire sur le sujet, la Commission de contrĂŽle n’est qu’un paravent "Il n’y a eu aucune poursuite juridique ! Une transgression attire d’autres transgressions." Corinne, elle, rappelle au contraire, que prĂšs de 20% des euthanasies ont fait l’objet d’un signalement, avec enquĂȘte de la commission "N’est ce pas un Ă©chec que de voir une dĂ©cision mĂ©dicale dĂ©battue en procĂšs ?". Choc des cultures. Chez nous, c’est devant les tribunaux que le dĂ©bat sur l’euthanasie s’enflamme. Des drames humains deviennent tout d’un coup des "Affaires". Affaire Chantal Sebire, Affaire Vincent Humbert, et plus rĂ©cemment, Affaire Bonnemaison, ou affaire Vincent Lambert
 Avec Ă  chaque fois, les mĂȘmes rĂ©actions, extrĂȘmes, binaires, du cĂŽtĂ© des "anti", comme des "pro". En France, Corinne Van Oost a reçu des rĂ©actions violentes face Ă  son suite aprĂšs la publicitĂ© Il y a une radicalisation des catholiques traditionnels trĂšs net en France. Auparavant, nous Ă©tions plusieurs Ă  ĂȘtre invitĂ©s Ă  nous exprimer sur l’euthanasie palliative, dans des cercles de rĂ©flexion. Plus maintenant."Albertine et la mort Comment, en effet, Ă©viter de parler de la mort, dans un service de soins palliatifs ? Ne pas s’y confronter ? Bien avant la lĂ©galisation, Corinne Van Oost a dĂ», une fois, se rĂ©soudre Ă  ce geste d’euthanasie. Elle s’appelait Albertine 2, et de cette jeune femme, au beau visage calme, elle a gardĂ© la photo dans son portefeuille. Albertine Ă©tait atteinte d’une maladie neurodĂ©gĂ©nĂ©rative dramatique, amenant Ă  une paralysie progressive de tous les muscles. Elle a commencĂ© Ă  avoir du mal Ă  avaler, Ă  ne plus pouvoir s’exprimer. Elle rĂ©clamait de mourir. "Cela me heurtait. Je lui proposais alors de l’endormir, pour calmer ses douleurs. Elle refusait. Elle tenait Ă  rester consciente". Au bout de quelques mois, Albertine ne pouvait plus communiquer qu’en clignant des paupiĂšres. Corinne a acceptĂ© de la faire partir. "Je ne pouvais demeurer sur la rive Ă  la regarder. J’ai acceptĂ© de partager sa souffrance. C’est le sens du mot compassion."Car il est douloureux, ce geste, pour le mĂ©decin. CompliquĂ©. "On ne dit pas oui, sans rĂ©flĂ©chir, Ă  une demande d'euthanasie. C’est un cheminement, plein de doutes, dans le dialogue avec le patient, mais aussi avec ses proches." Comment faire par exemple, face Ă  un patient qui rĂ©clame l’euthanasie, et des proches qui y sont opposĂ©s? Comment obtempĂ©rer quand l’épouse, ou les enfants refusent la dĂ©cision de l’ĂȘtre aimĂ© ? Deux visions s’opposent. En Flandre, oĂč la notion d’autonomie est souveraine – et oĂč l’on pratique beaucoup plus l’euthanasie- c’est la volontĂ© du patient qui prime. En Wallonie, c’est plus compliqué  "Personnellement, je rĂ©pugne Ă  pratiquer une euthanasie contre l’avis des proches. Je tente de trouver un consensus. L’euthanasie n’est pas un geste d’urgence, qui se dĂ©cide, comme ça sur un coup de tĂȘte. C’est une dĂ©cision qui se prend dans la paix." En ce moment, dans le service, il y a un patient, justement, qui, rĂ©guliĂšrement "rĂ©clame une piqĂ»re pour mourir".Les enfants sont paniquĂ©s Ă  cette idĂ©e. Lui, impossible de savoir s’il est vraiment rĂ©solu Ă  partir, maintenant, tout de suite il n’a toujours pas fait sa demande par Ă©crit. "C’est la preuve que sa rĂ©solution n'est pas aussi nette que cela." Pour l’instant, pour cet homme, l’équipe attend. EspĂ©rant qu’un consensus se fera. Parfois, il ne se fait pas. Et la mort survient, sur fonds de dĂ©chirement familiaux, laissant ceux qui restent, brisĂ©s. Le dĂ©tenu qui voulait se faire euthanasier Comment Ă©galement traiter la "souffrance psychique", invoquĂ©e par beaucoup de patients, raison suffisante en Belgique pour justifier une demande de mourir? Le mĂ©decin Ă©voque ce vieil homme, qui en parle, souvent, de mourir. Il se sent seul. Son fils est lĂ , pourtant, il l’a mĂȘme fait venir habiter Ă  la maison, mais il travaille, beaucoup. La journĂ©e est longue et le vieil homme suite aprĂšs la publicitĂ© Parfois, certains patients rĂ©clament une euthanasie, seulement parce qu'ils ont peur d'ĂȘtre une charge pour leurs proches. Ce n'est pas une raison suffisante pour moi. L'euthanasie ne doit ĂȘtre pratiquĂ©e que lorsque nous sommes allĂ©es au bout de ce que nous pouvons tenter, pour soulager la souffrance physique et morale".En septembre 2014, l’histoire de ce dĂ©tenu rĂ©clamant une euthanasie car il ne pouvait ĂȘtre transfĂ©rĂ© aux Pays-Bas et recevoir un traitement adĂ©quat a fait scandale. L’homme a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© dans un hĂŽpital, mais son cas continue Ă  agiter la communautĂ© mĂ©dicale mĂȘme Wim Distelmans, pourtant fervent dĂ©fenseur de l’euthanasie, a refusĂ© de pratiquer le geste, considĂ©rant qu’il n'Ă©tait pas justifiĂ© "L’euthanasie ne doit pas servir Ă  combler les failles de notre sociĂ©tĂ©", a-t-il dĂ©clarĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision belge. Les refus sont parfois mal vĂ©cus. Corinne se rappelle ainsi ce couple fusionnel. La femme Ă©tait atteinte de sclĂ©rose, invalidante. Le mari s’en Ă©tait toujours occupĂ©e, avec dĂ©vouement. Mais il est tombĂ© malade. Un cancer. Son Ă©tat s’est dĂ©gradĂ©. Il a alors demandĂ© une euthanasie, Ă  laquelle l’équipe a consenti. "Au dernier moment, sa femme a voulu faire de mĂȘme. J'ai refusĂ©. Beaucoup disent vouloir mourir juste aprĂšs la mort d'un conjoint, par peur d'avoir Ă  affronter le deuil. J’avais l’impression que c’était son cas." Les enfants, eux, soutenaient leur mĂšre. Entre l’équipe mĂ©dicale et eux, la relation est devenue intenable. "Ils ont trouvĂ© un autre confrĂšre pour pratiquer l'acte
" Je veux mourir de ma mort... non de la mort des mĂ©decins. Je veux mourir de la mort de ma vie", disait le poĂšte Rainer Maria qui meurt aujourd’hui "de la mort de sa vie" ? La mission parlementaire conduite par Jean Leonetti et Alain Claeys, va vraisemblablement permettre d’offrir aux patients une "sĂ©dation profonde". Corinne Van Oost s’interroge "C’est comme si on pensait tout rĂ©gler avec ce mot la sĂ©dation. Calmer la souffrance, mourir sans s’en rendre compte. Mais qu’est qu’on sait du sommeil du mourant ? A-t-il des cauchemars ? Se rĂ©veille-t-il, pendant une infime fraction de seconde, au moment de passer de l’autre cĂŽtĂ©. Aujourd'hui, en soins palliatifs, la plupart des gens meurent en dormant. Souvent seuls. C'est la rĂ©alitĂ©. C'est compliquĂ©, dans nos sociĂ©tĂ©s actuelles, de rester au chevet d'un proche pendant longtemps nuit et jour."Pour certains, demander l'euthanasie, programmer leur mort, c'est juste une façon d'ĂȘtre sĂ»rs d'ĂȘtre entourĂ©s, au moment de ce grand passage. Est ce si terrible que de rĂ©clamer cela?" Doan Bui 1 MĂ©decin catholique, pourquoi je pratique l’euthanasie. Corinne Van Oost, avec JosĂ©phine Bataille. Presses de la Renaissance. 2 Le prĂ©nom a Ă©tĂ© changĂ©

BlessĂ©ealors qu’elle tentait d’empĂȘcher Kevin d’achever le pĂšre Krzysztof Ă  Nice dimanche 24 avril, sƓur Marie-Claude raconte la scĂšne Ă  « Nice-Matin ».

Par Yucheng, États-Unis Il y a quelque temps, une cheffe de groupe, SƓur Li, a proposĂ© Wang Mei pour l’abreuvement. L’humanitĂ© de Wang Mei me paraissait assez mĂ©diocre. Toujours nĂ©gligente dans son devoir, elle ne protĂ©geait pas le travail de la maison de Dieu. J’ai donc demandĂ© Ă  SƓur Li son Ă©valuation de Wang Mei pour voir comment elle Ă©tait maintenant. Si elle Ă©tait encore irresponsable dans son devoir, elle ne conviendrait pas pour abreuver les nouveaux arrivants. SƓur Li a dit Wang Mei accorde de l’importance Ă  sa rĂ©putation et Ă  son statut, mais elle a une attitude correcte dans son devoir et je ne vois pas de problĂšmes majeurs. » Je me suis sentie soulagĂ©e d’entendre ça. Si SƓur Li avait examinĂ© la question, Wang Mei devait ĂȘtre la personne qu’il fallait pour abreuver. Quelques jours plus tard, j’avais tout arrangĂ© pour le transfert de rĂŽle et j’avais tout prĂ©parĂ© pour que Wang Mei commence ce travail. C’est alors que SƓur Li m’a dit que Wang Mei, qui s’était montrĂ©e nĂ©gligente et n’acceptait pas la vĂ©ritĂ©, avait Ă©tĂ© dĂ©mise de son devoir. ChoquĂ©e de l’apprendre, j’ai pensĂ© N’as-tu pas dit qu’il n’y avait pas de problĂšmes majeurs quand tu l’as Ă©valuĂ©e il y a quelques jours ? Ça ne fait que quelques jours, comment a-t-elle pu ĂȘtre renvoyĂ©e comme ça ? » Je n’ai pas pu m’empĂȘcher de me plaindre Tu n’es vraiment pas fiable ! Je t’ai demandĂ© de te renseigner sur elle et tu as bĂąclĂ© le travail. Ça montre un sĂ©rieux manque de discernement de ta part. Choisir la mauvaise personne a aussi eu une incidence sur mon devoir. Cela ne va-t-il pas retarder les choses ? Comment peux-tu ĂȘtre cheffe de groupe avec ce calibre ? » Plus j’y pensais, plus j’étais en colĂšre, mais je ne comprenais pas la situation rĂ©elle et je continuais Ă  porter des jugements sur SƓur Li. Sur le coup, j’ai vraiment eu envie de lui envoyer un message pour lui demander ce qui n’allait pas chez elle, si elle avait eu le moindre discernement sur cette personne, pourquoi elle ne s’était pas bien renseignĂ©e et comment elle pouvait ĂȘtre aussi irresponsable. Mais je me suis dit Envoyer un message sous le coup de la colĂšre, ce n’est pas raisonnable. » Je ne l’ai donc pas fait, et on est passĂ© Ă  autre chose. Lors d’une rĂ©union, un frĂšre a Ă©changĂ© sur la maniĂšre dont il se mettait en colĂšre et blĂąmait les gens quand les choses n’allaient pas comme il voulait. Il a cherchĂ© la vĂ©ritĂ©, rĂ©flĂ©chi et appris sur lui-mĂȘme. J’ai eu honte en l’écoutant parler, et je n’ai pu m’empĂȘcher de repenser Ă  ma propre expĂ©rience. Ce frĂšre et moi n’étions-nous pas dans la mĂȘme situation ? Lui a obtenu des rĂ©sultats parce qu’il a cherchĂ© la vĂ©ritĂ© et en a tirĂ© une leçon. Et moi, pourquoi ne tirais-je aucune leçon ? J’ai donc portĂ© cette question devant Dieu dans la priĂšre, en cherchant la leçon Ă  en tirer. Une fois, pendant mes dĂ©votions, j’ai lu la parole de Dieu L’obĂ©issance aux orchestrations et aux arrangements de Dieu est la leçon la plus fondamentale d’obĂ©issance Ă  Dieu. Les orchestrations et les arrangements de Dieu, ce sont les personnes, les Ă©vĂ©nements et les choses – et les diverses situations – que Dieu fait advenir autour de toi. Alors, comment dois-tu rĂ©agir face Ă  ces situations ? Le plus fondamental, c’est l’acceptation de Dieu. Que signifie “l’acceptation de Dieu” ? Se plaindre et rĂ©sister, est-ce l’acceptation de Dieu ? Trouver des excuses et trouver des fautes, est-ce l’acceptation de Dieu ? Non. Alors, comment l’acceptation de Dieu doit-elle ĂȘtre mise en pratique ? Il s’agit d’abord de se dĂ©tendre, de chercher la vĂ©ritĂ© et de pratiquer l’obĂ©issance. Ne pas invoquer des excuses ou des raisons. Ne pas essayer de deviner ni de dĂ©terminer qui a raison et qui a tort. Et ne pas dĂ©terminer quelle erreur est la plus grave et laquelle l’est moins. Toujours analyser ces choses, est-ce une attitude d’acceptation de Dieu ? Est-ce une attitude d’obĂ©issance ? Non. Ce n’est pas l’attitude d’obĂ©issance Ă  Dieu, ce n’est pas l’attitude d’acceptation de Dieu, ce n’est pas l’attitude d’acceptation de la domination et des arrangements de Dieu. L’acceptation de Dieu, c’est un aspect des principes pour pratiquer l’obĂ©issance Ă  Dieu. [
] Ne pas analyser le bien ou le mal, ne pas rationaliser, ne pas critiquer les gens, ne pas couper les cheveux en quatre, ne pas analyser les raisons objectives, et ne pas analyser ni examiner en utilisant l’esprit humain ce sont lĂ  autant de dĂ©tails, et c’est accepter de Dieu. Et la façon de mettre cela en pratique est de commencer par obĂ©ir. MĂȘme si vous avez des notions ou si les choses ne sont pas claires pour vous, obĂ©issez, ne trouvez pas des excuses et ne vous rebellez pas ; et aprĂšs avoir obĂ©i, cherchez la vĂ©ritĂ© priez Dieu et cherchez » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Dieu dit que dans une situation donnĂ©e, que l’on comprenne ou non Sa volontĂ©, on ne doit pas aller Ă  son encontre ou essayer de se justifier. On doit avoir une attitude d’acceptation et d’obĂ©issance envers la situation oĂč Dieu nous met. Ce comportement consiste Ă  accepter les choses comme venant de Dieu. Quand il arrivait quelque chose, je le considĂ©rais toujours de l’extĂ©rieur, analysant le bien et le mal, me plaignant de ceci et de cela. Je pensais toujours que la cheffe de groupe Ă©tait nĂ©gligente et irresponsable dans son devoir, ayant une incidence sur mon travail et me faisant faire beaucoup d’efforts inutiles. Dans cette situation, mon attitude n’a pas Ă©tĂ© d’accepter les choses de Dieu, quelles qu’elles soient. Mon cƓur ne s’est pas apaisĂ© et je n’ai pas cherchĂ© la volontĂ© de Dieu ni rĂ©flĂ©chi aux leçons Ă  en tirer. Au contraire, j’ai reportĂ© mon attention sur la cheffe de groupe. Je voulais me mettre en colĂšre, la reprendre et critiquer ses dĂ©fauts. Ce n’était pas une attitude d’acceptation ou d’obĂ©issance ! Les difficultĂ©s rencontrĂ©es dans le travail Ă  ce moment-lĂ  vraiment la faute des autres ? Certaines n’avaient-elles pas quelque chose Ă  voir avec moi ? J’avais toujours rĂ©sistĂ© aux situations dans lesquelles Dieu me mettait. MĂȘme si, en fin de compte, les problĂšmes Ă©taient entiĂšrement la faute des autres, et que je n’étais pas responsable, les autres pouvaient rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes, en tirer des leçons et grandir. Or moi, qu’est-ce que j’y gagnais, Ă  part une colĂšre refoulĂ©e Ă  l’intĂ©rieur de moi ? C’est Ă  ce moment-lĂ  que j’ai compris que j’étais dans un mauvais Ă©tat. Je ne pouvais pas continuer Ă  analyser et Ă  enquĂȘter, Ă  me demander qui a raison et qui a tort. Je devais me calmer, chercher la vĂ©ritĂ© et en tirer une leçon. Au cours de ma rĂ©flexion, j’ai lu un passage de la parole de Dieu. Si tu ne dĂ©pends pas de Dieu, que tu ne te tournes pas vers Dieu quand tu accomplis ton devoir et que tu fais simplement ce que tu veux, alors tu auras beau ĂȘtre intelligent, il y aura toujours des moments oĂč tu Ă©choueras. Les gens qui sont volontaires sont susceptibles de suivre leurs propres idĂ©es, alors ont-ils un cƓur qui craint Dieu ? Les gens qui sont trop volontaires ont oubliĂ© Dieu, et ils ont oubliĂ© l’obĂ©issance Ă  Dieu ; ce n’est que lorsque des choses arrivent, lorsque ces gens se sont heurtĂ©s Ă  un mur ou n’ont rien accompli, qu’il leur vient Ă  l’esprit qu’ils n’ont pas obĂ©i Ă  Dieu et ne L’ont pas priĂ©. De quoi s’agit-il ? Ils n’ont pas Dieu dans leur cƓur. Leurs actions indiquent que Dieu est absent de leur cƓur, que tout vient d’eux-mĂȘmes. Et donc, que tu fasses du travail dans l’Église, que tu accomplisses un devoir, que tu t’occupes de certaines affaires extĂ©rieures ou que tu traites des affaires dans ta vie personnelle, il faut qu’il y ait des principes dans ton cƓur, il faut qu’il y ait un Ă©tat spirituel. Quel Ă©tat ? “Quoi qu’il en soit, avant que quelque chose ne m’arrive, je dois prier, je dois obĂ©ir Ă  Dieu, je dois obĂ©ir Ă  Sa domination, tout est arrangĂ© par Dieu et quand quelque chose arrive, je dois chercher la volontĂ© de Dieu, je dois avoir cet Ă©tat d’esprit, je ne dois pas faire mes propres plans.” AprĂšs avoir vĂ©cu ainsi pendant un certain temps, les gens verront la domination de Dieu dans de nombreuses choses. Si tu as toujours tes propres plans, tes propres considĂ©rations, tes propres souhaits, tes propres motifs Ă©goĂŻstes et tes propres dĂ©sirs, alors ton cƓur s’éloignera involontairement de Dieu, tu seras aveugle Ă  la façon dont Dieu agit et la plupart du temps, Dieu te sera cachĂ©. N’aimes-tu pas faire les choses selon tes propres idĂ©es ? Ne fais-tu pas tes propres plans ? Tu as un esprit, tu es Ă©duquĂ©, bien informĂ©, tu as la capacitĂ© et la mĂ©thodologie pour faire les choses, tu peux les faire par toi-mĂȘme, tu es bon, tu n’as pas besoin de Dieu, et donc Dieu te dit “Vas donc faire les choses par toi-mĂȘme, et prends la responsabilitĂ© de savoir si ça se passe bien ou pas, Je m’en fiche.” Dieu ne te prĂȘte aucune attention. Quand les gens suivent leur propre volontĂ© de cette maniĂšre dans leur foi en Dieu et croient ce qu’ils veulent, quelle est la consĂ©quence ? Ils ne peuvent jamais faire l’expĂ©rience de la domination de Dieu, ils ne peuvent jamais voir la main de Dieu, ils ne peuvent jamais ressentir l’éclairage et l’illumination du Saint-Esprit, ils ne peuvent pas ressentir la direction de Dieu. Et que se passera-t-il avec le temps ? Leurs cƓurs s’éloigneront de plus en plus de Dieu, et il y aura des rĂ©percussions. Quelles rĂ©percussions ? Ils douteront de Dieu et Le renieront. Il ne s’agit pas seulement de douter de Dieu et de Le renier quand Dieu n’a pas de place dans le cƓur des gens et qu’ils font ce qu’ils veulent sur le long terme, une habitude s’installe quand quelque chose leur arrivera, la premiĂšre chose qu’ils feront sera de rĂ©flĂ©chir Ă  leur propre solution, Ă  leurs propres objectifs, Ă  leurs propres motivations et Ă  leurs propres projets. Ils se demanderont d’abord si cela leur est bĂ©nĂ©fique si c’est le cas, ils le feront, et si ce n’est pas le cas, ils ne le feront pas ; cela deviendra leur habitude d’aller directement suivre cette voie. Et comment Dieu traitera-t-Il de telles personnes si elles continuent Ă  agir ainsi, sans se repentir ? Dieu ne leur prĂȘtera aucune attention et les mettra de cĂŽtĂ© » Les principes de la pratique pour la soumission Ă  Dieu », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir rĂ©flĂ©chi aux paroles de Dieu, j’ai vu plus clairement mon propre Ă©tat. D’aprĂšs la parole de Dieu, les gens particuliĂšrement tĂȘtus commencent souvent par planifier et Ă©tablir des rĂšgles, calculant ce qu’ils vont faire et comment. Ils Ă©laborent et finalisent d’abord un plan avant de l’exĂ©cuter en utilisant les moyens et les mĂ©thodes qu’ils ont choisis, tout en exigeant des autres qu’ils suivent la mĂȘme mĂ©thode qu’eux. On dirait qu’ils font leur devoir, protĂšgent le travail de l’Église et s’assurent que leur travail donne de bons rĂ©sultats. Mais quand ils font les choses ainsi, leur propre volontĂ© et leurs rĂšgles prennent trop de place. Ils ne prient pas ou ne cherchent pas assez Dieu, une attitude d’obĂ©issance leur fait dĂ©faut et ils ne prennent pas soin de suivre le Saint-Esprit qui les guide. Ils font tout selon leurs propres dĂ©sirs et voudraient que les choses Ă©voluent comme ils le souhaitent. Dieu dit que leur propre dĂ©sir est trop fort et qu’il n’y a pas de place pour Lui dans leur cƓur. Il dĂ©teste et ignore ce genre de personnes. RĂ©flĂ©chir Ă  mon comportement m’a montrĂ© que j’avais Ă©tĂ© trop tĂȘtue dans mes devoirs et qu’en toute circonstance, dĂšs que ma dĂ©cision Ă©tait prise, rien ne pouvait me faire changer d’avis. J’obligeais mĂȘme les autres Ă  se plier Ă  mes exigences, et s’ils ne le faisaient pas, je pensais qu’ils n’étaient pas loyaux dans leur devoir et ne protĂ©geaient pas le travail de l’Église. C’est ce qui s’était passĂ© avec l’évaluation de la personne chargĂ©e de l’abreuvement. Ayant entendu dire qu’il n’y avait pas de problĂšmes avec Wang Mei, j’ai planifiĂ© un moment pour qu’elle vienne commencer ce travail. La cheffe de groupe m’a alors dit que Wang Mei avait Ă©tĂ© dĂ©mise de son devoir, semant la confusion dans mes plans. J’avais envie de m’énerver. Mon cƓur Ă©tait rempli de plaintes. J’ai jugĂ© que la cheffe de groupe manquait de calibre et de discernement, qu’elle Ă©tait irresponsable. J’ai Ă©tĂ© prĂ©somptueuse, arrogante et irrationnelle ! MĂȘme si ce que je planifie et dĂ©cide est correct et que ça ne viole pas les principes de la maison de Dieu, les choses ne se passent pas toujours comme je veux et n’ont pas toujours l’effet escomptĂ©. Je fais des plans et des arrangements, c’est mon devoir, et c’est ainsi que je dois coopĂ©rer, mais je ne dois pas prĂ©destiner le rĂ©sultat final. Je dois faire ce que je peux, puis me soumettre Ă  la volontĂ© de Dieu. Quant Ă  savoir si une affaire peut ĂȘtre menĂ©e Ă  bien au bout du compte, quelles variables entrent en jeu et comment elle Ă©volue, je dois suivre le Saint-Esprit qui me guide et me soumettre Ă  la rĂšgle de Dieu. C’est le sens de la raison que je devrais avoir. Ce que je faisais relevait entiĂšrement de ma propre volontĂ©, je ne connaissais pas la souverainetĂ© de Dieu et il n’y avait pas de place pour Dieu dans mon cƓur. Comment pouvais-je ĂȘtre illuminĂ©e et guidĂ©e par Dieu en accomplissant mon devoir de cette façon ? Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu qui m’a donnĂ© un aperçu du tempĂ©rament corrompu qui se cache derriĂšre ma colĂšre. Dieu dit Si, au fond de toi, tu comprends vraiment la vĂ©ritĂ©, alors tu sauras pratiquer la vĂ©ritĂ© et obĂ©ir Ă  Dieu et tu t’engageras naturellement sur le chemin de la poursuite de la vĂ©ritĂ©. Si le chemin que tu empruntes est le bon et qu’il est conforme Ă  la volontĂ© de Dieu, alors l’Ɠuvre du Saint-Esprit ne te quittera pas auquel cas il y aura de moins en moins de risque que tu trahisses Dieu. Sans la vĂ©ritĂ©, il est facile de faire le mal, et tu le commettras involontairement. Par exemple, si tu as un tempĂ©rament arrogant et vaniteux, alors le fait de te dire de ne pas t’opposer Ă  Dieu ne fait aucune diffĂ©rence, tu ne peux pas t’en empĂȘcher, c’est incontrĂŽlable pour toi. Tu ne le ferais pas exprĂšs ; tu le ferais sous la domination de ta nature arrogante et vaniteuse. Ton arrogance et ta vanitĂ© te feraient mĂ©priser Dieu et te Le feraient voir comme n’ayant pas d’importance ; elles feraient que tu t’exaltes, que tu te mettes constamment en valeur ; elles te feraient mĂ©priser les autres, elles ne laisseraient dans ton cƓur que toi-mĂȘme ; ton arrogance et ta vanitĂ© te priveraient de la place de Dieu dans ton cƓur et elles finiraient par t’amener Ă  prendre la place de Dieu et Ă  exiger que les gens se soumettent Ă  toi, et elles te feraient vĂ©nĂ©rer tes propres pensĂ©es, idĂ©es tes notions comme la vĂ©ritĂ©. Tant de mal est perpĂ©trĂ© par les hommes sous la domination de leur nature arrogante et vaniteuse ! » Ce n’est qu’en cherchant la vĂ©ritĂ© qu’on peut rĂ©aliser un changement de tempĂ©rament », dans Sermons de Christ des derniers jours. En mĂ©ditant les paroles de Dieu, j’ai acquis une certaine comprĂ©hension de ma nature arrogante et vaniteuse. Il s’avĂšre que je n’agissais pas seulement selon mes propres dĂ©sirs, mais qu’un tempĂ©rament arrogant se cachait derriĂšre tout ça. En repensant Ă  ce problĂšme survenu au travail, je n’en ai pas compris le contexte et je n’ai pas demandĂ© si la cheffe de groupe avait des difficultĂ©s. Je me suis contentĂ©e de me plaindre et de la juger sans discernement. En la mĂ©prisant et en la jugeant, je la rabaissais pour me mettre en valeur, me mettant sur un piĂ©destal et pensant ĂȘtre meilleure que les autres, comme si j’avais une comprĂ©hension spĂ©ciale de la vĂ©ritĂ© que les autres n’avaient pas, comme si j’étais la seule Ă  ĂȘtre consciencieuse et que tous les autres Ă©taient nĂ©gligents, comme si j’étais lucide sur tout et que les autres Ă©taient aveugles. Je croyais ĂȘtre maĂźtresse de la vĂ©ritĂ© alors que les autres en Ă©taient les serviteurs. Je rappelais aux autres de rĂ©flĂ©chir Ă  leurs actions, de se connaĂźtre et d’en tirer des leçons, comme si moi, je n’étais pas corrompue par Satan et que je n’avais pas besoin de rĂ©flexion ni d’introspection. À mes yeux, les autres Ă©taient incompĂ©tents et insupportables et moi, j’étais la meilleure. Donc quand un problĂšme survenait dans le devoir de quelqu’un, je me disais toujours Tu appelles ça faire ton devoir ? Es-tu seulement capable de faire ton devoir ? Tu n’es qu’un Ă©lĂ©ment perturbateur », et je le traitais de ceci et de cela. Je ne pensais qu’à blĂąmer et Ă  rĂ©primander les autres. En fait, j’avais moi-mĂȘme commis un grand nombre de ces erreurs en remplissant mes devoirs, j’étais tombĂ©e dans les mĂȘmes Ă©cueils, alors Ă©tais-je vraiment meilleure qu’eux ? On a tous des fois oĂč on n’arrive pas Ă  percer Ă  jour une personne ou une situation, et on a inĂ©vitablement des lacunes et des manquements en faisant son devoir. Tant que les problĂšmes et les dĂ©viations sont dĂ©tectĂ©s Ă  temps et qu’ils sont continuellement revus et corrigĂ©s, il ne s’agit que d’un processus de croissance. En fait, je commets souvent des erreurs dans mon devoir, comme dans l’incident avec Wang Mei. Je savais avec clairvoyance que le comportement de cette personne avait Ă©tĂ© mauvais dans le passĂ©, mais quand SƓur Li a dit qu’il n’y avait pas eu de problĂšmes avec son comportement rĂ©cemment, j’ai renoncĂ© Ă  la clairvoyance. Je suis partie du principe que SƓur Li avait Ă©valuĂ© la situation et qu’il n’y avait pas de problĂšme. Au bout du compte, il y en avait bien un, et il est clair que j’avais ma part de responsabilitĂ©, mais j’ai rejetĂ© la faute sur SƓur Li en la montrant du doigt, en la jugeant et en la critiquant. Quelle arrogance de ma part et quel manque total d’humanitĂ© ! Faire son devoir de cette façon non seulement n’aide pas les autres ou ne les Ă©difie pas, mais risque de les restreindre et de les rendre nĂ©gatifs. Face Ă  un problĂšme, je ne considĂ©rais pas les choses ou les gens conformĂ©ment Ă  la parole de Dieu. Je me plaignais, j’étais impulsive et je rĂ©primandais les gens, c’est tout. Je pensais mĂȘme que c’était ça ĂȘtre responsable, que c’était un acte de justice et que je protĂ©geais le travail de l’Église. Cette façon de voir Ă©tait absolument absurde ! Plus tard, j’ai lu un passage de la parole de Dieu qui a illuminĂ© mon cƓur. Dieu Tout-Puissant dit Une fois qu’un homme a un statut, il a souvent du mal Ă  contrĂŽler son humeur, et donc il aura le plaisir de saisir les occasions pour exprimer son mĂ©contentement et donner libre cours Ă  ses Ă©motions ; il se mettra souvent en colĂšre sans raison apparente afin de rĂ©vĂ©ler sa capacitĂ© et de faire savoir aux autres que son statut et son identitĂ© sont diffĂ©rents de ceux des gens ordinaires. Bien sĂ»r, les personnes corrompues sans aucun statut perdent souvent le contrĂŽle aussi. Leur colĂšre est souvent causĂ©e par des dommages Ă  leurs intĂ©rĂȘts privĂ©s. Afin de protĂ©ger leur propre statut et leur propre dignitĂ©, elles se dĂ©fouleront souvent de leurs Ă©motions et rĂ©vĂ©leront leur nature arrogante. L’homme Ă©clate de colĂšre et laisse libre cours Ă  ses Ă©motions pour dĂ©fendre et maintenir l’existence du pĂ©chĂ©, et ces actions sont les moyens par lesquels l’homme exprime son insatisfaction ; elles regorgent d’impuretĂ©s, de machinations et d’intrigues, de la corruption et de la mĂ©chancetĂ© de l’homme et, plus que tout autre chose, elles regorgent des ambitions et des dĂ©sirs effrĂ©nĂ©s de l’homme. Quand la justice entre en collision avec la mĂ©chancetĂ©, la colĂšre de l’homme n’éclate pas pour dĂ©fendre l’existence de la justice ou pour la maintenir ; au contraire, lorsque les forces de la justice sont menacĂ©es, persĂ©cutĂ©es et attaquĂ©es, l’attitude de l’homme est d’ignorer, de fuir ou de se dĂ©rober. Toutefois, face aux forces du mal, l’attitude de l’homme est celle du service, de la soumission et de l’accommodation. Par consĂ©quent, le dĂ©foulement de l’homme est une Ă©vasion pour les forces du mal, une expression de la conduite perverse, effrĂ©nĂ©e et imparable de l’homme charnel. Quand Dieu manifestera Sa colĂšre, cependant, toutes les forces du mal seront arrĂȘtĂ©es, tous les pĂ©chĂ©s qui causent du tort Ă  l’homme seront rĂ©frĂ©nĂ©s, toutes les forces hostiles qui obstruent l’Ɠuvre de Dieu seront dĂ©voilĂ©es, sĂ©parĂ©es et maudites, tandis que tous les complices de Satan qui s’opposent Ă  Dieu seront punis et extirpĂ©s. Par contre, l’Ɠuvre de Dieu se dĂ©roulera sans aucun obstacle, le plan de gestion de Dieu continuera Ă  se dĂ©velopper Ă©tape par Ă©tape comme prĂ©vu et les Ă©lus de Dieu seront libres de la perturbation et de la tromperie de Satan, tandis que ceux qui suivent Dieu jouiront de la direction et de l’approvisionnement de Dieu dans un environnement tranquille et paisible. La colĂšre de Dieu est une sauvegarde empĂȘchant toutes les forces du mal de se multiplier et de se dĂ©chaĂźner, et elle est aussi une sauvegarde qui protĂšge l’existence et la propagation de toutes choses qui sont justes et positives et les garde Ă©ternellement de la suppression et de la subversion » Dieu Lui-mĂȘme, l’Unique II », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. AprĂšs cette lecture, j’ai compris que pour protĂ©ger leurs intĂ©rĂȘts personnels et satisfaire leurs dĂ©sirs et leurs ambitions, les gens s’énervent sans rĂ©flĂ©chir Ă  la raison, au principe ou Ă  l’objet de leur colĂšre. Ce sont lĂ  des formes d’impulsivitĂ© et l’expression d’un tempĂ©rament corrompu, et elles dĂ©goĂ»tent Dieu. Mais si on peut voir les choses et les gens conformĂ©ment Ă  la parole de Dieu, aimer ce que Dieu aime, haĂŻr ce que Dieu hait, dĂ©tester ces malfaiteurs perturbateurs et ces antĂ©christs pour protĂ©ger le travail de l’Église et les intĂ©rĂȘts des Ă©lus de Dieu, alors c’est l’expression d’une humanitĂ© normale et la manifestation d’un sens de la justice. MĂȘme si vous parlez parfois un peu trop fermement ou sĂ©vĂšrement, tant que tout ce que vous dites repose sur la parole de Dieu, ne contredit pas les faits, ne donne pas libre cours Ă  la rancune personnelle et n’est pas embrouillĂ© par vos propres motivations, alors les gens seront convaincus et verront plus clairement l’essence des problĂšmes, et vos commentaires auront des rĂ©sultats positifs. Ce type de colĂšre est une chose positive et n’est pas l’expression d’un tempĂ©rament corrompu. Se fĂącher en raison d’un tempĂ©rament corrompu, c’est diffĂ©rent. La colĂšre est alors contaminĂ©e par des motivations personnelles et des objectifs inavouables. Certains se fĂąchent pour protĂ©ger leur rĂ©putation et leur statut, d’autres pour qu’on les Ă©coute et qu’on agisse selon leurs souhaits, d’autres encore parce que leurs intĂ©rĂȘts personnels ont Ă©tĂ© lĂ©sĂ©s. Tout ça, ce sont des formes d’impulsivitĂ© et de corruption. Quand j’ai constatĂ© des problĂšmes dans les devoirs des autres qui retardaient la progression, ma colĂšre semblait ainsi motivĂ©e par le dĂ©sir de protĂ©ger le travail de l’Église, alors qu’en fait, j’étais en colĂšre parce que les gens ne rĂ©pondaient pas Ă  mes exigences et que je devais me donner beaucoup de mal inutilement. J’en profitais pour donner libre cours Ă  mon sentiment d’insatisfaction, jugeant et rabaissant intĂ©rieurement les gens. C’était clairement de l’impulsivitĂ© qui se manifestait. J’ai souvent rencontrĂ© ce genre de situation dans l’exercice normal de mes devoirs. Avant, ma nature prenait le dessus, mais je n’y prĂȘtais pas beaucoup d’attention. Alors, comment agir si, Ă  l’avenir, je rencontre cette situation ? Pendant mes dĂ©votions, j’ai lu un passage de la parole de Dieu. Quand il s’agit de travail ou de dĂ©brouille, Ă  tout le moins n’enfreins pas les normes de conscience et de bon sens. Implique-toi avec les gens et interagis avec eux – et gĂšre les choses – selon le sens d’une humanitĂ© normale. Naturellement, le mieux est de pratiquer selon les principes de vĂ©ritĂ© exigĂ©s par Dieu, c’est ce qui satisfait Dieu. Quels sont donc les principes de vĂ©ritĂ© exigĂ©s par Dieu ? Que les gens comprennent la faiblesse et la nĂ©gativitĂ© des autres lorsqu’ils sont faibles et nĂ©gatifs, que les gens soient conscients de la douleur et des difficultĂ©s des autres, puis s’enquiĂšrent de ces choses, offrent aide et soutien et lisent les paroles de Dieu pour les aider rĂ©soudre leurs problĂšmes, afin qu’ils ne soient plus faibles et qu’ils soient amenĂ©s devant Dieu. Est-ce une façon de pratiquer qui est conforme aux principes ? Pratiquer ainsi est conforme aux principes. Naturellement, les relations de ce type sont Ă©galement conformes aux principes. Lorsque des personnes sont dĂ©libĂ©rĂ©ment indiscrĂštes et perturbatrices, ou dĂ©libĂ©rĂ©ment nĂ©gligentes et superficielles dans l’accomplissement de leurs devoirs, si tu vois cela, que tu es capable de gĂ©rer les choses selon les principes et que tu peux leur signaler ces choses, les rĂ©primander et les aider, alors c’est conforme aux principes de la vĂ©ritĂ©. Si tu fermes les yeux ou que tu es tolĂ©rant envers eux, que tu les couvres, et que tu vas mĂȘme jusqu’à leur dire des choses gentilles, les fĂ©liciter et les applaudir, en les manipulant avec des paroles fausses, alors de tels comportements, de telles façons d’interagir avec les gens, de traiter les problĂšmes et de gĂ©rer les problĂšmes, sont clairement en contradiction avec les principes de la vĂ©ritĂ© et n’ont aucun fondement dans les paroles de Dieu auquel cas ces comportements et ces façons d’interagir avec les gens et de gĂ©rer les problĂšmes sont clairement illĂ©gitimes » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 4, Les responsabilitĂ©s des dirigeants et des ouvriers. AprĂšs avoir lu la parole de Dieu, j’ai compris que la façon d’agir la meilleure et la plus rationnelle quand surviennent des problĂšmes dans les devoirs des autres, c’est d’échanger sur la vĂ©ritĂ©, de les aider et de les soutenir. Si les autres retardent le travail Ă  cause d’un oubli momentanĂ© ou parce qu’ils n’ont pas saisi les principes, il faut patiemment Ă©changer avec eux sur la vĂ©ritĂ©, tout en leur expliquant clairement les principes pour leur faire prendre conscience des problĂšmes qui existent et leur montrer un chemin. Certains sont toujours nĂ©gligents dans leur devoir. Ils ne portent pas de fardeaux, des problĂšmes surgissent sans arrĂȘt et ce qui pourrait ĂȘtre bien fait ne l’est pas. Les mĂȘmes problĂšmes reviennent sans cesse, affectant le travail et causant mĂȘme parfois de graves dommages. On peut alors traiter ce genre d’individu, l’émonder ou le mettre en garde. S’il ne change pas malgrĂ© plusieurs remontrances, il peut ĂȘtre rĂ©affectĂ© ou renvoyĂ©. Mais, quelle que soit la situation, il faut toujours considĂ©rer et traiter les questions selon la parole de Dieu et les principes de la vĂ©ritĂ©, et non agir sous l’emprise de l’impulsivitĂ© ou d’un tempĂ©rament corrompu. AprĂšs avoir mĂ©ditĂ© ces choses-lĂ , mon cƓur s’est Ă©clairci et j’ai trouvĂ© un chemin de pratique. Sur ce, je suis allĂ©e trouver SƓur Li pour comprendre ce qui s’était passĂ© avec Wang Mei. Ce n’est qu’à ce moment-lĂ  que j’ai appris que Wang Mei avait auparavant rempli des devoirs dans d’autres Églises et qu’elle n’avait Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e que rĂ©cemment dans la nĂŽtre. SƓur Li ne la connaissait donc pas encore trĂšs bien. En se renseignant auprĂšs d’autres Églises, elle a dĂ©couvert plus tard que Wang Mei avait toujours Ă©tĂ© nĂ©gligente et sournoise. Ce qu’elle disait avait l’air bien en apparence, mais elle ne joignait pas le geste Ă  la parole, elle manquait d’humanitĂ© et aimait contraindre les gens, si bien qu’elle avait finalement Ă©tĂ© dĂ©mise de son devoir. J’ai eu tellement honte quand j’ai dĂ©couvert cette histoire. SƓur Li n’avait pas Ă©tĂ© irresponsable, contrairement Ă  ce que j’avais cru. C’est juste que des enquĂȘtes avaient dĂ» ĂȘtre menĂ©es dans d’autres Églises, que des erreurs s’étaient produites en cours de route et que la vĂ©rification n’avait pas Ă©tĂ© faite clairement. J’ai arrĂȘtĂ© de critiquer SƓur Li Ă  ce sujet et je lui ai simplement rappelĂ© de profiter de cette affaire pour revoir ces erreurs et Ă©viter que ce genre de problĂšme ne se reproduise. Cette fois-ci, quand j’ai traitĂ© le problĂšme, cela ne dĂ©coulait pas de la colĂšre ou de ma propre volontĂ©, mais simplement de la recherche des principes de la vĂ©ritĂ©. En pratiquant ainsi, mon cƓur s’est apaisĂ©. Cette expĂ©rience m’a permis de comprendre qu’il ne faut pas se fier Ă  ses notions personnelles, Ă  son imagination ou Ă  sa colĂšre, que ce soit en faisant son devoir ou en traitant les autres. Tout doit reposer sur les paroles de Dieu. Cherchez les principes de la vĂ©ritĂ© dans les paroles de Dieu, et pratiquez et accomplissez vos devoirs conformĂ©ment Ă  Ses exigences. Ainsi seulement pourrez-vous vĂ©ritablement poursuivre la vĂ©ritĂ© et le chemin pour entrer dans la vie.
Indicede rĂ©fraction : 1,05.A 5 % prĂšs, ce matĂ©riau a le mĂȘme indice que l' air (lequel est de 1). A titre de comparaison, celui du meilleur des verres ne
Par Li Jin, Chine En 2014, quand j’étais une dirigeante d’Église, j’étais assez efficace dans mon devoir et j’avais de l’expĂ©rience, alors je croyais comprendre la vĂ©ritĂ©. Quand des problĂšmes surgissaient, j’agissais souvent arbitrairement, sans chercher les principes de la vĂ©ritĂ©. À un moment, on m’a signalĂ© que les dirigeants de deux Églises avaient une mauvaise humanitĂ©, qu’ils opprimaient et Ă©touffaient les autres. J’ai Ă©coutĂ© les rapports, je les ai crus et, sans examiner les faits, j’ai renvoyĂ© l’un des dirigeants, qui Ă©tait capable de travail concret, et j’ai failli expulser l’un des autres dirigeants par erreur, ce qui a gravement affectĂ© le travail des deux Églises. Mes supĂ©rieurs m’ont traitĂ©e sĂ©vĂšrement parce que je faisais mon devoir arbitrairement, n’agissais pas en accord avec les principes de la vĂ©ritĂ© et renvoyais des gens comme bon me semblait. Mais je me connaissais encore mal, je me suis dĂ©fendue et justifiĂ©e, et je me suis dit que tout le monde commettait des erreurs dans son devoir. Parce que je n’acceptais pas la vĂ©ritĂ©, que j’agissais souvent Ă  l’encontre des principes, de maniĂšre arbitraire, et que mon travail n’avait pas d’effet concret, mes supĂ©rieurs m’ont renvoyĂ©e. AprĂšs mon renvoi, au lieu d’arranger un autre devoir pour moi, ils m’ont dit de m’adonner Ă  une rĂ©flexion spirituelle chez moi. À ce moment-lĂ , je n’ai pas compris la volontĂ© de Dieu et j’ai Ă©tĂ© trĂšs nĂ©gative. Je me disais que je croyais en Dieu depuis des annĂ©es, que j’avais renoncĂ© Ă  mon mariage, quittĂ© mon emploi et qu’il m’arrivait souvent de travailler alors que j’étais malade. MĂȘme si je n’avais gagnĂ© aucun mĂ©rite, j’avais au moins travaillĂ© dur. Être renvoyĂ©e Ă©tait dĂ©jĂ  un coup dur, mais on m’annonçait en plus que je ne pouvais accomplir aucun devoir. Comme je n’avais commis que deux erreurs, je trouvais qu’il Ă©tait trop sĂ©vĂšre de me traiter de cette maniĂšre, surtout quand je voyais des gens qui n’étaient pas dirigeants ni ouvriers poursuivre leur devoir, alors que moi, qui avais Ă©tĂ© dirigeante, n’en avais plus. Je me disais Je ne peux pas ĂȘtre dirigeante, apparemment. Il y a des critĂšres Ă©levĂ©s et des exigences strictes pour ĂȘtre dirigeant. Il suffit d’ĂȘtre un peu nĂ©gligent pour que notre vie de foi en Dieu s’achĂšve. Comment peut-on avoir une fin et une destination si on ne peut mĂȘme pas ĂȘtre un exĂ©cutant ? Quoi qu’il arrive, je ne serai plus une dirigeante Ă  l’avenir. » AprĂšs ça, pendant des annĂ©es, j’ai fait du travail textuel dans l’Église. MĂȘme si j’ai eu des occasions de me prĂ©senter Ă  des Ă©lections de dirigeants ou d’ouvriers, j’ai toujours Ă©vitĂ© d’y prendre part. Je n’avais pas conscience de mon problĂšme, Ă  ce moment-lĂ . Je pensais qu’il Ă©tait sage de faire ça. En mai 2020, mes frĂšres et sƓurs m’ont encouragĂ©e Ă  me prĂ©senter Ă  une Ă©lection. J’ai Ă©tĂ© en proie Ă  un conflit intĂ©rieur. Mon travail me convenait et je n’avais pas envie de participer Ă  l’élection. Que je sois choisie comme dirigeante n’augurerait rien de bon. Je pensais qu’ĂȘtre dirigeant Ă©tait un travail difficile et ingrat. Il est obligatoire de bien le faire et, en cas d’erreur, les dirigeants sont toujours tenus responsables. On peut dire Ă  juste titre Tout le monde en tire les bĂ©nĂ©fices, mais une seule personne est blĂąmĂ©e. » Quand j’avais Ă©tĂ© dirigeante, prĂ©cĂ©demment, j’avais transgressĂ©. Si je servais de nouveau comme dirigeante et faisais quelque chose Ă  l’encontre des principes, causant un grand tort au travail de la maison de Dieu, au mieux, je serais renvoyĂ©e, au pire, je serais expulsĂ©e, ce qui me ferait perdre ma chance de salut. Voyant les choses comme ça, j’ai rĂ©pondu que mon problĂšme cardiaque s’était aggravĂ© et que je ne pouvais pas participer Ă  l’élection. Je me suis sentie un peu coupable, sur le coup. N’évitais-je pas l’élection ? Mais je pensais que je n’étais vraiment pas Ă  la hauteur d’un poste de dirigeante et mon cƓur me faisais souffrir, alors j’avais une bonne raison de me dĂ©filer. Cette pensĂ©e a eu raison de mon malaise et de ma culpabilitĂ©. Un mois plus tard, la dirigeante a dit dans une lettre que les frĂšres et sƓurs m’avaient de nouveau choisie comme candidate. AprĂšs avoir lu la lettre, je me suis demandĂ© Pourquoi me recommandent-ils comme candidate ? Être un dirigeant est si dangereux ! ÒȘa reprĂ©sente beaucoup de travail et de problĂšmes, et je pourrais ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e n’importe quand. Il y a eu des gens, autour de moi, qui ne semblaient pas avoir de problĂšme tant qu’ils n’étaient pas dirigeants, mais dĂšs qu’ils le sont devenus, ils ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s comme faux dirigeants et renvoyĂ©s, ou identifiĂ©s comme des antĂ©christs et expulsĂ©s. Il semble que le statut rĂ©vĂšle effectivement les gens. » J’ai donc dĂ©cidĂ© de ne pas me prĂ©senter Ă  l’élection. Mais la dirigeante a dit que je devais ĂȘtre lĂ  Ă  l’heure, alors j’y suis allĂ©e Ă  contrecƓur. Je n’ai pas eu grand-chose Ă  dire au cours de ces journĂ©es de rĂ©unions. Quand est venu le moment de voter, j’ai hĂ©sitĂ© un long moment. Finalement, j’ai dit Ă  tout le monde Je m’abstiens. Je ne voterai pas et je ne me prĂ©senterai pas. » Peu aprĂšs mon retour Ă  la maison, ma maladie est rĂ©apparue. J’ai eu la diarrhĂ©e, de la fiĂšvre, et les mĂ©dicaments ne me faisaient rien. AprĂšs plusieurs jours, mon Ă©tat s’est enfin amĂ©liorĂ©, mais mes bras et mon cou se sont couverts de taches rouges. ÒȘa s’est aggravĂ©. DĂšs que je commençais Ă  transpirer, tout mon corps me faisait mal. En quelques jours, j’ai Ă©tĂ© complĂštement Ă©puisĂ©e par ces maladies. J’ai compris que je n’étais pas malade par hasard, que c’était la discipline de Dieu, mais je ne savais pas comment rĂ©flĂ©chir. J’ai priĂ© Dieu, Lui demandant de me guider pour que je me connaisse et que j’en tire une leçon. Plus tard, quand ma dirigeante a appris que je souffrais de ces maladies, elle m’a conseillĂ© de rĂ©flĂ©chir sur mon attitude envers l’élection et elle a trouvĂ© un passage de la parole de Dieu qui concernait mon Ă©tat. Avec une nature satanique, une fois que les gens obtiennent un statut, ils sont en danger. Alors que faut-il faire ? N’ont-ils aucun chemin Ă  suivre ? Ce fait ne peut-il pas ĂȘtre changĂ© ? Dites-moi, au moment oĂč des gens corrompus obtiennent un statut – indĂ©pendamment de qui ils sont – deviennent-ils des antĂ©christs ? Est-ce absolu ? S’ils ne poursuivent pas la vĂ©ritĂ©, alors ils deviendront des antĂ©christs, mais s’ils poursuivent la vĂ©ritĂ©, ce ne sera pas le cas. C’est absolument vrai si les gens ne recherchent pas la vĂ©ritĂ©, ils deviendront Ă  coup sĂ»r des antĂ©christs. Et est-il vrai que tous ceux qui marchent sur le chemin des antĂ©christs le font Ă  cause de leur statut ? Non, c’est surtout parce qu’ils n’aiment pas la vĂ©ritĂ©, parce qu’ils n’ont pas raison. Qu’ils aient un statut ou non, les gens qui ne recherchent pas la vĂ©ritĂ© marchent tous sur le chemin des antĂ©christs. Quel que soit le nombre de sermons qu’ils ont entendus, ces gens n’acceptent pas la vĂ©ritĂ©, ils ne suivent donc pas le bon chemin et ils suivent donc inĂ©vitablement le chemin tortueux. C’est comme la maniĂšre de se nourrir certains, au lieu de consommer des aliments pouvant nourrir sainement leur corps et favoriser une existence normale, prĂ©fĂšrent consommer des choses qui leur font du mal et, au bout du compte, se tirer une balle dans le pied. N’est-ce pas leur propre choix ? Quand ils sont rejetĂ©s, certains dirigeants et ouvriers diffusent des notions, ils disent “Ne soyez pas dirigeants, et n’allez pas obtenir un statut. Les gens sont en danger dĂšs l’instant oĂč ils obtiennent un quelconque statut, et Dieu les exposera ! Une fois exposĂ©s, ils ne seront mĂȘme pas en mesure d’ĂȘtre des croyants ordinaires et ils ne recevront aucune bĂ©nĂ©diction.” Qu’est-ce que cela signifie donc ? Au mieux, cela reflĂšte une mauvaise perception de Dieu ; au pire, c’est un blasphĂšme contre Lui. Si tu ne suis pas le bon chemin, que tu ne poursuis pas la vĂ©ritĂ© et que tu ne suis pas la voie de Dieu mais persistes Ă  emprunter la voie des antĂ©christs pour te retrouver sur le chemin de Paul et finir par connaĂźtre le mĂȘme sort, la mĂȘme fin que lui, Ă  blĂąmer Dieu et Le juger injuste, n’es-tu pas alors un vĂ©ritable exemple d’antĂ©christ ? Une telle conduite est maudite ! Lorsque les gens ne comprennent pas la vĂ©ritĂ©, ils vivent toujours selon leurs notions et leurs imaginations, interprĂštent frĂ©quemment Dieu de maniĂšre erronĂ©e et sentent que les actions de Dieu sont en contradiction avec leurs propres notions, ce qui produit chez eux des Ă©motions nĂ©gatives cela se produit parce que les gens ont des tempĂ©raments corrompus. Ils disent des choses nĂ©gatives et pleines de ressentiment parce que leur foi est trop dĂ©risoire, leur stature est trop petite et ils comprennent trop peu de vĂ©ritĂ©s – ce qui est tout Ă  fait pardonnable, et Dieu n’en garde pas le souvenir. Et pourtant, il y a ceux qui ne suivent pas le bon chemin, qui suivent spĂ©cifiquement le chemin qui consiste Ă  tromper Dieu, Ă  Lui rĂ©sister, Ă  Le trahir et Ă  lutter contre Lui. Ces gens sont finalement punis et maudits par Dieu, et plongĂ©s dans la perdition et la destruction. Comment en arrivent-ils lĂ  ? C’est parce qu’ils n’ont jamais rĂ©flĂ©chi et ne se sont jamais connus eux-mĂȘmes, parce qu’ils n’acceptent pas du tout la vĂ©ritĂ©, sont imprudents et volontaires, refusent obstinĂ©ment de se repentir et se plaignent de Dieu aprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et rejetĂ©s, disant que Dieu n’est pas juste. Ces gens pourraient-ils ĂȘtre sauvĂ©s ? Non. Ils ne le pourraient pas. Alors, est-il vrai que tous ceux qui sont rejetĂ©s sont au-delĂ  du salut ? On ne peut pas dire qu’ils soient totalement irrĂ©cupĂ©rables. Il y a ceux qui comprennent trop peu de vĂ©ritĂ©s et qui sont jeunes et inexpĂ©rimentĂ©s, qui, une fois qu’ils sont devenus dirigeants ou ouvriers et ont un statut, sont dirigĂ©s par leur tempĂ©rament corrompu, recherchent un statut, jouissent de ce statut et suivent donc naturellement le chemin des antĂ©christs. Si, aprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et jugĂ©s, ils sont capables de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et de se repentir vraiment, en abandonnant la mĂ©chancetĂ© comme les habitants de Ninive, en ne suivant plus le chemin du mal comme ils le faisaient auparavant, alors ils ont encore la possibilitĂ© d’ĂȘtre sauvĂ©s. Mais quelles sont les conditions d’une telle opportunitĂ© ? AprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et identifiĂ©s, ils se repentent vraiment, ils sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, ce qui signifie qu’ils ont encore un peu d’espoir. S’ils sont incapables de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et n’ont aucune intention de se repentir vĂ©ritablement, ils seront complĂštement rejetĂ©s » Il faut avoir un chemin de pratique spĂ©cifique pour corriger ses tempĂ©raments corrompus », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir lu ces paroles de Dieu, ma dirigeante m’a rappelĂ© Tu crois qu’en tant que dirigeant, on est facilement rĂ©vĂ©lĂ©, remplacĂ© ou chassĂ©. Ce point de vue est-il correct ? Que les gens soient finalement rĂ©vĂ©lĂ©s et chassĂ©s dĂ©pend du fait qu’ils recherchent la vĂ©ritĂ© ou non et du chemin qu’ils prennent. Le fait qu’ils soient dirigeants ou non ne change rien. Si quelqu’un ne recherche pas la vĂ©ritĂ© ou n’emprunte pas le bon chemin en tant que dirigeant, s’il fait le mal, perturbe le travail de la maison de Dieu et refuse de se repentir, il sera immanquablement rĂ©vĂ©lĂ© et chassĂ©. Mais quand certains, mĂȘme s’ils commettent des erreurs et des transgressions dans leurs devoirs, sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et de se repentir vraiment, la maison de Dieu leur donne d’autres chances. S’ils ont un petit calibre et ne sont pas Ă  la hauteur d’un poste de dirigeant, ils seront transfĂ©rĂ©s Ă  un devoir qui leur convient, mais ils ne seront pas renvoyĂ©s ou chassĂ©s Ă  la lĂ©gĂšre. Parmi tous les dirigeants dans la maison de Dieu, pourquoi certains comprennent-ils de mieux en mieux la vĂ©ritĂ© et s’amĂ©liorent-ils dans leurs devoirs ? Pourquoi certains font-ils des choses mauvaises et sont-ils rĂ©vĂ©lĂ©s en tant que faux dirigeants et antĂ©christs, puis rejetĂ©s ? Leurs Ă©checs ont-ils le moindre rapport avec le fait d’ĂȘtre des dirigeants ? De plus, la maison de Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© et rejetĂ© de nombreux malfaiteurs, qui n’étaient pas dirigeants pour la plupart. Ils ont Ă©tĂ© rejetĂ©s parce qu’ils haĂŻssaient la vĂ©ritĂ©, n’empruntaient pas le bon chemin, se dĂ©chaĂźnaient dans leurs devoir et causaient des dĂ©rangements et des perturbations. Cela a-t-il un rapport avec le fait d’ĂȘtre un dirigeant ? » J’ai Ă©tĂ© un peu Ă©branlĂ©e et j’ai rĂ©pondu C’est vrai, tous les dirigeants ne sont pas rĂ©vĂ©lĂ©s et rejetĂ©s dĂšs qu’ils ont un statut. Quand ça se produit, c’est parce qu’ils n’empruntent pas le bon chemin, ne recherchent pas la vĂ©ritĂ©, ne dĂ©sirent que les bĂ©nĂ©fices du statut, agissent arbitrairement, se dĂ©chaĂźnent et causent des dĂ©rangements et des perturbations. C’est ce qui fait d’eux des faux dirigeants et des antĂ©christs qui sont rĂ©vĂ©lĂ©s et rejetĂ©s. » J’ai pensĂ© Ă  FrĂšre Wu, qui avait Ă©tĂ© renvoyĂ© quelque temps plus tĂŽt. En tant que dirigeant, il Ă©tait toujours arrogant, il s’affichait, il rabaissait et ostracisait ses partenaires en permanence, ce qui les empĂȘchait d’accomplir leurs devoirs normalement parce qu’ils se sentaient Ă©touffĂ©s. Ses dirigeants avaient Ă©changĂ© avec lui de nombreuses fois, mais il n’avait jamais changĂ© et il n’avait Ă©tĂ© renvoyĂ© qu’aprĂšs ça. J’ai rĂ©flĂ©chi sur les annĂ©es oĂč j’avais Ă©tĂ© dirigeante. J’avais souvent agi arbitrairement. Quand mes frĂšres et sƓurs avaient dĂ©noncĂ© les deux dirigeants d’Église, je n’avais pas enquĂȘtĂ© et vĂ©rifiĂ© comme les principes l’exigent. À la place, j’avais condamnĂ© ces dirigeants, allant jusqu’à les renvoyer et les expulser. Le rĂ©sultat, c’était que j’avais fait du mal aux deux dirigeants et semĂ© le chaos dans l’Église. En y repensant, j’ai compris que tout ce que j’avais fait Ă©tait mal. Je gĂąchais le travail de la maison de Dieu et la chance d’ĂȘtre sauvĂ©s des autres. Heureusement, mes dĂ©cisions erronĂ©es et injustes avaient Ă©tĂ© dĂ©couvertes et annulĂ©es. Sans ça, les consĂ©quences auraient Ă©tĂ© terribles. J’ai compris que mon renvoi n’avait rien Ă  voir avec mon statut ni le fait que j’étais dirigeante. J’avais Ă©tĂ© renvoyĂ©e parce que mon tempĂ©rament Ă©tait trop arrogant, je ne cherchais pas la vĂ©ritĂ©, j’agissais arbitrairement, sans entrer dans le dĂ©tail, je perturbais le travail de l’Église, et je n’avais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme et ne m’étais pas repentie quand j’avais Ă©tĂ© Ă©mondĂ©e et traitĂ©e. VoilĂ  pourquoi on m’avait renvoyĂ©e. C’était en accord avec les principes et c’était la justice de Dieu. NĂ©anmoins, je ne me connaissais pas et je vivais dans un Ă©tat d’incomprĂ©hension et de mĂ©fiance envers Dieu. Je pensais que j’avais Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e parce que j’étais une dirigeante, que les exigences de la maison de Dieu Ă©taient trop grandes et que je n’avais Ă©tĂ© renvoyĂ©e que pour deux erreurs. C’était si absurde et dĂ©raisonnable ! C’est alors que j’ai compris que si je n’avais pas Ă©tĂ© renvoyĂ©e Ă  temps et arrĂȘtĂ©e dans mon Ă©lan, vu mon tempĂ©rament arrogant, j’aurais commis de bien plus grands mĂ©faits. Mon renvoi Ă©tait la protection de Dieu pour moi et une bonne occasion de rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. J’ai songĂ© Ă  SƓur Wang, qui avait Ă©tĂ© ma partenaire. Elle avait Ă©tĂ© renvoyĂ©e mais, aprĂšs son Ă©chec, elle avait su rĂ©flĂ©chir sur elle-mĂȘme, en tirer une leçon et se repentir Ă  Dieu. Plus tard, quand elle Ă©tait redevenue dirigeante, elle avait pu chercher les principes de la vĂ©ritĂ© quand elle agissait et elle avait clairement progressĂ©. AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, j’ai compris que les gens n’étaient pas rejetĂ©s parce qu’ils avaient un statut. Ils se nuisent Ă  eux-mĂȘmes Ă  cause de leurs tempĂ©raments corrompus. Si nos tempĂ©raments corrompus ne sont pas rĂ©solus, mĂȘme si on n’est pas dirigeant et ne commet pas de mĂ©fait dans une position de dirigeant, on sera rejetĂ©s pour ne pas avoir recherchĂ© la vĂ©ritĂ©. Quand je l’ai compris, mon Ă©tat a commencĂ© Ă  changer, mais j’avais encore des inquiĂ©tudes. Je me disais Ma comprĂ©hension de la vĂ©ritĂ© est superficielle et les dirigeants doivent dĂ©cider de beaucoup de choses. Si je perturbe le travail de la maison de Dieu par des arrangements inappropriĂ©s, je risque de commettre des transgressions. Si je ne suis pas dirigeante et ne fais pas ce genre de travail, je ne commettrai pas de mĂ©faits et ne rĂ©sisterai pas Ă  Dieu Ă  cause de ça. Je crois toujours qu’il vaut mieux que je ne me prĂ©sente pas Ă  l’élection. » À ce moment-lĂ , j’ai lu un passage de la parole de Dieu Je ne veux voir personne se sentir comme si Dieu l’avait laissĂ© pour compte, l’avait abandonnĂ© ou lui avait tournĂ© le dos. Je voudrais seulement vous voir tous emprunter le chemin qui consiste Ă  poursuivre la vĂ©ritĂ© et chercher Ă  comprendre Dieu, allant hardiment de l’avant avec une volontĂ© sans faille, sans crainte, sans fardeau. Quels que soient les torts que tu as commis, peu importe Ă  quel point tu t’es Ă©garĂ© ou tu as mal agi, ne laisse pas cela devenir un fardeau ou un boulet que tu doives traĂźner dans ta quĂȘte de comprĂ©hension de Dieu. Poursuis ta marche en avant. Le salut de l’homme occupe toujours une place dans le cƓur de Dieu. Cela ne change jamais c’est la partie la plus prĂ©cieuse de Son essence » Dieu Lui-mĂȘme, l’Unique VI », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. Cette parole de Dieu m’a profondĂ©ment Ă©mue. Dieu ne renonce pas Ă  sauver les gens Ă  cause d’échecs et de transgressions temporaires. À la place, Il leur donne des occasions de se repentir. Il ne faut pas avoir peur de commettre des erreurs et des transgressions dans son devoir. Tant que les gens peuvent changer, Dieu continuera Ă  les guider. Je me suis souvenue que Dieu ne m’avait pas abandonnĂ©e malgrĂ© mes transgressions. Il n’avait fait que me chĂątier et me discipliner, puis Il avait utilisĂ© des gens pour m’exposer et me traiter, me dĂ©mettre de mon rĂŽle de dirigeante et m’inciter Ă  rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Mais je vivais dans un Ă©tat d’incomprĂ©hension et de mĂ©fiance envers Dieu, ne voulant pas ĂȘtre une dirigeante ou une ouvriĂšre, alors Dieu avait utilisĂ© d’autres gens pour Ă©changer avec moi Ă  plusieurs reprises et Il avait attendu que je change. Depuis le dĂ©but, Dieu avait Ă©tĂ© patient et tolĂ©rant envers moi. Il m’avait donnĂ© du temps et des opportunitĂ©s dans l’espoir que j’accepterais la vĂ©ritĂ© et me repentirais. Contrairement Ă  ce que je croyais, Il ne m’avait pas condamnĂ©e et rejetĂ©e pour une seule transgression. Quand je l’ai compris, j’ai Ă©prouvĂ© du remords et de la culpabilitĂ©, alors j’ai priĂ© Dieu Ô Dieu ! Je suis trop rebelle. Je ne veux plus mal Te comprendre et me mĂ©fier de Toi. Je veux me repentir, maintenant. S’il Te plaĂźt, guide-moi pour que je change mon Ă©tat incorrect. » AprĂšs ça, je me suis demandĂ© pourquoi j’avais mal compris Dieu et m’étais mĂ©fiĂ©e de Lui. Quelle Ă©tait la racine du problĂšme ? À ce moment-lĂ , ma dirigeante m’a envoyĂ© un passage de la parole de Dieu qui m’a beaucoup aidĂ©e. Dieu Tout-Puissant dit Si tu es malhonnĂȘte, alors tu seras mĂ©fiant et suspicieux Ă  propos de tous les gens et de toutes choses, et ainsi ta foi en Moi sera bĂątie sur un fondement de suspicion. Je ne pourrais jamais reconnaĂźtre une telle foi. Manquant d’une foi sincĂšre, tu es encore plus dĂ©pourvu d’un amour rĂ©el. Et si tu es enclin Ă  douter de Dieu et Ă  t’interroger Ă  Son sujet quand bon te semble, alors, sans l’ombre d’un doute, tu es le plus malhonnĂȘte de tous les gens. Tu te demandes si Dieu peut ĂȘtre comme l’homme pĂ©cheur impardonnable, de caractĂšre mesquin, dĂ©nuĂ© d’équitĂ© et de raison, privĂ© du sens de la justice, livrĂ© Ă  des tactiques vicieuses, sournois et trompeur, ainsi que rĂ©joui par le mal et les tĂ©nĂšbres, etc. Si les gens ont de telles pensĂ©es, n’est-ce pas parce qu’ils manquent de la moindre connaissance de Dieu ? Une telle foi n’est rien d’autre que pĂ©cheresse ! » Comment connaĂźtre le Dieu sur terre », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. Cette parole de Dieu m’a permis de comprendre que j’avais mal compris Dieu et m’étais mĂ©fiĂ©e de Lui parce que ma nature Ă©tait trop malhonnĂȘte. AprĂšs avoir Ă©tĂ© renvoyĂ©e, je n’avais pas rĂ©flĂ©chi au chemin qui m’avait menĂ©e Ă  l’échec et je n’en avais pas tirĂ© de leçon pour ne pas reproduire mes erreurs. Au contraire, je m’étais dit qu’on Ă©tait trop facilement rĂ©vĂ©lĂ© et rejetĂ© en tant que dirigeant. Je pensais que le titre de dirigeante » m’avait nui. J’avais mĂȘme imaginĂ© Dieu comme un monarque terrestre qui condamnait les gens Ă  mort quand ils faisaient quelque chose de mal, alors les Ă©lections me terrifiaient. Je craignais d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et de perdre ma fin en Ă©tant choisie comme dirigeante, alors j’étais toujours sur mes gardes et sur la dĂ©fensive en prĂ©sence de Dieu. L’exaltation de Dieu me semblait malveillante et je trouvais excuse aprĂšs excuse pour Ă©viter de me prĂ©senter aux Ă©lections. J’étais si malhonnĂȘte ! La maison de Dieu forme les dirigeants et les ouvriers pour leur donner l’occasion de pratiquer, afin qu’ils comprennent la vĂ©ritĂ© et assument le mandat de Dieu. Mais je pensais que Dieu avait l’intention de me rĂ©vĂ©ler et de me rejeter. Je comprenais mal Dieu et blasphĂ©mais contre Lui ! Je croyais en Dieu, mais je voyais toujours les choses du point de vue des injustes, je doutais et je me mĂ©fiais de Dieu. Par lĂ , j’exposais des tempĂ©raments mauvais et sataniques. Croire de cette maniĂšre n’était-il pas rĂ©sister Ă  Dieu ? Plus tard, aprĂšs avoir lu la parole de Dieu, j’ai mieux compris la volontĂ© de Dieu. La parole de Dieu dit Parfois, Dieu Se sert d’un certain sujet pour te mettre Ă  nu ou te discipliner. Est-ce que cela signifie que tu as Ă©tĂ© rejetĂ© ? Cela signifie-t-il que ta fin est venue ? Non. [
] En fait, dans bien des cas, les inquiĂ©tudes des gens sont liĂ©es Ă  leurs propres intĂ©rĂȘts. De façon gĂ©nĂ©rale, il s’agit de la crainte de n’avoir aucune fin. Ils se disent toujours “Et si Dieu me met Ă  nu, me chasse et me rejette ?” C’est ta mauvaise comprĂ©hension de Dieu ce ne sont que tes pensĂ©es. Il faut que tu dĂ©termines quelle est l’intention de Dieu. Quand Il met les gens Ă  nu, ce n’est pas fait pour les rejeter. Les gens sont mis Ă  nu pour exposer leurs dĂ©fauts, leurs erreurs et l’essence de leur nature, pour qu’ils se connaissent eux-mĂȘmes et soient capables d’une vraie repentance. De ce fait, si les gens sont mis Ă  nu, c’est pour que leur vie puisse grandir. Sans une comprĂ©hension pure, les gens sont susceptibles de mal interprĂ©ter Dieu et de devenir nĂ©gatifs et faibles. Ils peuvent mĂȘme cĂ©der au dĂ©sespoir. En fait, ĂȘtre mis Ă  nu par Dieu ne signifie pas nĂ©cessairement que les gens seront chassĂ©s. Il s’agit de te donner une connaissance et te faire te repentir. Souvent, parce que les gens sont rebelles et ne cherchent pas la vĂ©ritĂ© pour trouver une solution lorsqu’ils prĂ©sentent des manifestations de corruption, Dieu doit faire preuve de discipline. Et donc parfois, Il met les gens Ă  nu, exposant leur laideur et leur Ă©tat pitoyable et leur permettant de se connaĂźtre, ce qui permet que leur vie grandisse. Mettre les gens Ă  nu a deux implications diffĂ©rentes Concernant les mĂ©chants, ĂȘtre mis Ă  nu signifie qu’ils sont chassĂ©s. Concernant ceux qui sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, c’est un rappel et un avertissement cela les amĂšne Ă  rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes, Ă  voir leur vĂ©ritable Ă©tat et Ă  ne plus ĂȘtre capricieux et irrĂ©flĂ©chis, car continuer ainsi serait dangereux. Mettre ainsi les gens Ă  nu, c’est leur adresser un rappel afin que, lorsqu’ils accomplissent leur devoir, ils ne soient pas confus et nĂ©gligents, qu’ils ne soient pas blasĂ©s, qu’ils ne se contentent pas d’ĂȘtre seulement un peu efficaces, pensant avoir rempli leur devoir selon une norme acceptable, alors qu’en rĂ©alitĂ©, Ă  l’aune de ce que Dieu demande, ils sont loin d’ĂȘtre Ă  la hauteur mais sont toujours prĂ©tentieux et complaisants et pensent que tout va bien dans leur conduite. Dans de telles circonstances, Dieu disciplinera, mettra en garde et rappellera les gens. Parfois, Dieu met Ă  nu leur laideur, ce qui sert manifestement de rappel. Dans ces moments-lĂ , tu dois rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme accomplir ton devoir de cette maniĂšre est inadĂ©quat, il y a de la rĂ©bellion en jeu, il y a lĂ -dedans trop de choses nĂ©gatives, c’est tout Ă  fait superficiel et si tu ne te repens pas, tu seras puni. Lorsque Dieu te discipline, et te met Ă  nu, cela ne signifie pas nĂ©cessairement que tu seras chassĂ©. Cette question doit ĂȘtre abordĂ©e correctement » Ce n’est qu’en pratiquant les paroles de Dieu que l’on peut obtenir un changement de tempĂ©rament », dans Sermons de Christ des derniers jours. Quand j’ai lu ces paroles de Dieu, j’ai Ă©tĂ© trĂšs Ă©mue. Je me suis aussi sentie honteuse et coupable. Dieu rĂ©vĂšle les gens, les traite et les discipline pour qu’ils se connaissent, se repentent et changent. Dieu essayait sincĂšrement de me sauver, mais quand j’avais Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  l’émondage, au traitement et Ă  l’échec, je n’avais pas vu Ses bonnes intentions. Je m’étais agrippĂ©e obstinĂ©ment aux absurditĂ©s et aux mensonges de Satan comme Plus on s’élĂšve et plus dure sera la chute » et On est bien seul au sommet ». Je croyais qu’ĂȘtre un dirigeant dans la maison de Dieu Ă©tait comme ĂȘtre un responsable dans le monde et que plus ma position serait Ă©levĂ©e, plus je risquerais d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et rejetĂ©e. Pendant toutes ces annĂ©es, alors que je comprenais mal Dieu et me mĂ©fiais de Lui, mon cƓur est restĂ© fermĂ© Ă  Dieu. J’ai rĂ©pĂ©titivement refusĂ© le mandat et les environnements de Dieu, Ă©vitĂ© les Ă©lections, je suis restĂ©e extrĂȘmement prudente et inquiĂšte dans mon devoir, alors je ne pouvais pas me consacrer entiĂšrement Ă  Dieu et Lui donner mon cƓur, et j’avais toujours une attitude tiĂšde envers la vĂ©ritĂ©, comme un non-croyant. J’étais prise dans le piĂšge de Satan, blessĂ©e par Satan, et je ne voyais mĂȘme pas Ă  quel point ça nuisait Ă  ma vie. À prĂ©sent, j’étais au bord du gouffre, alors je ne pouvais plus mal comprendre Dieu et Lui faire du mal. J’ai priĂ© Dieu en silence Ô Dieu, je veux me repentir Ă  Toi et traiter correctement les Ă©lections. Que je sois choisie ou non, je me soumettrai Ă  Tes arrangements. » Quand le moment des Ă©lections est venu, j’étais encore partagĂ©e. J’ai pensĂ© S’ils me choisissent vraiment, je devrai l’accepter et obĂ©ir mais, comme on dit, “Il faut un marteau puissant pour forger le fer”. Comme mon calibre et mes compĂ©tences sont limitĂ©s, il vaudrait mieux que quelqu’un d’autre soit Ă©lu. Comme ça, je ne serai pas rĂ©vĂ©lĂ©e une nouvelle fois. » Dans mon dilemme, j’ai subitement pensĂ© Ă  une parole de Dieu Lorsque les Ă©lus de Dieu accomplissent leur devoir dans le royaume et que les crĂ©atures de Dieu accomplissent leur devoir devant le CrĂ©ateur, ils doivent avoir un cƓur qui craint Dieu et procĂ©der calmement, et ne doivent pas ĂȘtre lĂąches, timides ni craintifs est-il honteux de faire son devoir ? » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu m’a rĂ©veillĂ©e sur-le-champ. Oui, au moment critique, je voulais battre en retraite et fuir. Je m’étais toujours inquiĂ©tĂ©e Ă  propos des Ă©lections. OĂč Ă©taient mon courage et ma dignitĂ© ? J’étais aussi lĂąche et timide que Dieu le disait ! Il est juste et convenable qu’un ĂȘtre créé accomplisse son devoir, c’est honorable. Mais je me dĂ©filais et me cachais dans une lĂąchetĂ© honteuse. C’était si stupide et pathĂ©tique ! Je devais me tourner vers Dieu, ĂȘtre une personne simple et honnĂȘte, arrĂȘter de m’inquiĂ©ter pour ma fin et ma destination et donner mon cƓur Ă  Dieu. Que je sois Ă©lue ou non, je devais avoir une attitude d’obĂ©issance envers Dieu et, si j’étais choisie, je devais l’accepter, obĂ©ir et bien accomplir mon devoir. Quand j’ai franchi cette ligne dans ma tĂȘte, j’ai eu l’impression que mon cƓur Ă©tait dĂ©livrĂ© d’un grand poids et j’ai Ă©tĂ© submergĂ©e par le soulagement. Quand les rĂ©sultats sont tombĂ©s, j’ai Ă©tĂ© Ă©lue avec une autre sƓur. Cette fois, je n’étais plus sur la dĂ©fensive, dans l’incomprĂ©hension, et je n’ai plus craint d’ĂȘtre rejetĂ©e si je n’accomplissais pas bien mon devoir. À la place, j’ai voulu chĂ©rir cette opportunitĂ© et accomplir mon devoir du mieux possible pour compenser mes transgressions passĂ©es. Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu Avez-vous peur de suivre le chemin des antĂ©christs ? Oui. La peur est-elle utile en soi ? Non, la peur seule ne peut pas rĂ©soudre le problĂšme. Il est normal d’avoir peur. Avoir peur dans l’ñme montre que l’on est un amoureux de la vĂ©ritĂ©, qu’on est quelqu’un qui est prĂȘt Ă  s’efforcer d’aller vers la vĂ©ritĂ© et qui est prĂȘt Ă  la poursuivre. Si vous avez peur dans l’ñme, alors vous devriez rechercher la vĂ©ritĂ© et trouver le chemin de pratique. Vous devez commencer par apprendre Ă  coopĂ©rer avec les autres en harmonie. S’il y a un problĂšme, rĂ©solvez-le par l’échange et la discussion, afin que chacun puisse connaĂźtre les principes ainsi que le raisonnement et le programme spĂ©cifiques concernant la rĂ©solution. Cela ne t’évite-t-il pas de prendre des mesures dictatoriales unilatĂ©rales ? De plus, tu dois apprendre Ă  laisser le groupe te superviser et t’aider. Cela demande de la tolĂ©rance et de l’ouverture d’esprit. [
] Il est certes nĂ©cessaire d’accepter une supervision, mais l’essentiel est de prier Dieu et de s’appuyer sur Lui, en se soumettant Ă  une rĂ©flexion constante. Surtout lorsque tu as fait fausse route ou que tu as fait quelque chose de mal, ou lorsque tu es sur le point de prendre une mesure dictatoriale et unilatĂ©rale et que quelqu’un Ă  proximitĂ© le mentionne et t’alerte, tu dois accepter cela et te hĂąter de rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme, et admettre ton erreur, et la corriger. Cela peut t’éviter d’emprunter le chemin des antĂ©christs. Si quelqu’un t’aide et t’alerte de cette façon, n’es-tu pas prĂ©servĂ© sans le savoir ? Tu l’es c’est ta prĂ©servation » Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopĂ©ration harmonieuse », dans Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu indique le principe de pratique pour Ă©viter de prendre le mauvais chemin, qui est de chercher la vĂ©ritĂ© quoi qu’il arrive, de discuter des choses avec les frĂšres et sƓurs, de coopĂ©rer harmonieusement, d’accomplir notre devoir selon les principes de la vĂ©ritĂ©, de ne pas agir arbitrairement par tempĂ©rament arrogant, de ne pas exiger d’avoir le dernier mot et d’accepter la supervision de nos frĂšres et sƓurs dans nos devoirs. Si on Ă©choue Ă  accomplir notre devoir parce qu’on craint de prendre le chemin des antĂ©christs et d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©s, on ne rĂ©soudra pas de problĂšmes et on gĂąchera notre chance de gagner la vĂ©ritĂ© et d’ĂȘtre sauvĂ©s. C’est comme s’affamer par peur de s’étouffer. Plus tard, j’ai tirĂ© les leçons de mes Ă©checs prĂ©cĂ©dents et j’ai eu une attitude bien plus correcte dans mon devoir. J’ai consciemment discutĂ© des choses avec les autres et j’ai Ă©tĂ© capable de bien travailler avec eux. On a cherchĂ© les principes de la vĂ©ritĂ© ensemble. AprĂšs quelque temps, j’ai vu la direction de Dieu et mes devoir ont produit des rĂ©sultats. GrĂące Ă  cette expĂ©rience, j’ai vu que Dieu ne m’avait pas rejetĂ©e Ă  cause de mes transgressions et qu’Il ne m’avait pas abandonnĂ©e parce que je me mĂ©fiais de Lui. À la place, Il a arrangĂ© des gens, des problĂšmes et des choses afin de m’inciter Ă  venir devant Lui pour rĂ©flĂ©chir sur mon tempĂ©rament corrompu, de maniĂšre Ă  ce que je comprenne Sa volontĂ©, que j’arrĂȘte de mal Le comprendre et que j’accomplisse mon devoir avec contentement. Dieu soit louĂ© !
dessolutions et en profite. Ce cadre est trĂšs respectueux des participants en assurant la confidentialitĂ© des propos Ă©changĂ©s, mais surtout parce que la personne qui expose son questionnement est Ă©galement celle qui dĂ©cide Ă  la fin de sĂ©ance de ce qu’elle fera des apports des autres participants. Un groupe de directeurs, encadrĂ©s
PubliĂ© le 31/05/2018 Ă  15h35 RĂ©flĂ©chir est une chose qui n’est plus tout Ă  fait innĂ©e chez l’Homme. En effet, Ă  force d’agir machinalement, d’éviter de faire preuve de rĂ©flexion et de prendre pour acquis tout ce que l’on nous dit, il est difficile de faire la part des choses et de rĂ©flĂ©chir dans l’action. Cela arrive Ă  tout le monde, l’intelligence n’a pas rĂ©ellement grand-chose Ă  voir. C’est plutĂŽt la perspicacitĂ© qui fait dĂ©faut. Photo d'illustration Voici 18 personnes qui n’ont pas rĂ©ellement fait preuve de rĂ©flexion avant de faire ce qu’elles ont fait ! 1. Ce livreur UPS n’a pas imaginĂ© une seule seconde que quelqu’un pouvait ĂȘtre dans la maison
 HĂ© UPS, votre livreur a laissĂ© le colis sous la clenche de la porte comme ça et nous a empĂȘchĂ© de sortir de chez nous. Il a fallu que nous appelions un serrurier pour sortir ! » GallowBoob 2. Quitter la route et se retrouver sur un lac gelĂ©, ça ne pardonne pas ! Rgnxsupreme 3. Hum
 Comment lui dire
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 Kwasbeb 5. Quand tu te sens plus puissant que le bĂ©ton fraĂźchement coulé  Zanzibear 6. La mĂ©tĂ©o prĂ©voyait des chutes de neige, mais il n’y a pas cru Twistedripper 7. Une belle preuve de rĂ©flexion collective ! 8. Se garer et retrouver sa voiture prise dans la glace
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