Par Jingmo, Ătats-Unis Jâai travaillĂ© dans lâĂglise Ă composer de la musique pour des vidĂ©os pendant plus de quatre ans. Du fait des besoins du travail de lâĂglise, les frĂšres et sĆurs qui mâentouraient Ă©taient souvent transfĂ©rĂ©s dans leurs devoirs, certains parce quâils nâavaient pas les compĂ©tences requises, alors ils Ă©taient assignĂ©s Ă dâautres devoirs. Tout ça me semblait trĂšs instable. Je me disais Si je suis transfĂ©rĂ©e un jour, je ne sais pas quel devoir on arrangera pour moi. Si câest un travail pour lequel je ne suis pas douĂ©e ou si je suis inefficace, je pourrais ĂȘtre de nouveau transfĂ©rĂ©e. Si aucun devoir ne me convient, cela voudra-t-il dire que je serai chassĂ©e et ne pourrai pas ĂȘtre sauvĂ©e ? » Quand jây pensais, je ne voulais vraiment pas ĂȘtre transfĂ©rĂ©e et jâestimais avoir de la chance que mon devoir soit stable pour le moment. Plus tard, la charge de travail de notre Ă©quipe sâest peu Ă peu rĂ©duite et certains de mes frĂšres et sĆurs ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s Ă dâautres devoirs, alors jâai commencĂ© Ă mâinquiĂ©ter. Jâai pensĂ© Je nâai pas les meilleures compĂ©tences professionnelles, je serai peut-ĂȘtre transfĂ©rĂ©e aussi. Je nâai pas dâautre compĂ©tence particuliĂšre, alors que puis-je faire dâautre que de la composition ? Si je me retrouve sans devoir, nâest-ce pas la mĂȘme chose quâĂȘtre chassĂ©e ? » Jâai vĂ©cu dans cet Ă©tat dâinquiĂ©tude et de peur pendant un long moment. Quelles que soient les personnes transfĂ©rĂ©es autour de moi, jâĂ©tais trĂšs inquiĂšte pour mon avenir. En juillet dernier, mon dirigeant mâa demandĂ© dâaccomplir une tĂąche Ă temps partiel pendant mon temps libre. AprĂšs mâavoir expliquĂ© le travail, il mâa dit en passant Ce travail va se prolonger, alors prends tes marques et fais-le bien. » ÒȘa mâa rĂ©chauffĂ© le cĆur, parce que ce travail semblait plus stable et plus durable que lâautre. Les membres de cette Ă©quipe semblaient ĂȘtre restĂ©s les mĂȘmes. Certains faisaient ce travail depuis six ou sept ans et nâavaient pas Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s. Ce devoir avait lâair bien mieux ! Je devais mâentraĂźner et le maĂźtriser dĂšs que possible. Comme ça, jâaurais un plan de secours si jâĂ©tais transfĂ©rĂ©e un jour. Tant que je mâentraĂźnais bien et ne commettais pas dâerreur grave, je pourrais faire ce travail indĂ©finiment et je nâaurais plus Ă craindre dâĂȘtre chassĂ©e si je me retrouvais sans devoir. Cette pensĂ©e Ă©tait trĂšs rassurante et mâa rendue trĂšs heureuse. Jâai eu lâimpression que recevoir une si bonne opportunitĂ© Ă©tait vraiment la grĂące de Dieu. DĂšs lors, jâai accordĂ© beaucoup dâattention Ă ce travail Ă temps partiel. Quand jâĂ©tais confrontĂ©e Ă des choses que je ne comprenais pas, jâinterrogeais les frĂšres et sĆurs dans lâespoir de vite maĂźtriser le travail. Sans que je mây attende, jâai commencĂ© Ă avoir plus de travail de composition, Ă peine plus de quinze jours plus tard, alors je nâai plus eu beaucoup de temps et dâĂ©nergie Ă consacrer Ă mon travail Ă temps partiel, mais je voulais quand mĂȘme me concentrer sur lui, parce quâil Ă©tait trĂšs probable que je perde ce plan de secours si je ne finissais pas la tĂąche quâon mâavait assignĂ©e. Alors jâai repoussĂ© mon travail de composition le plus longtemps possible, me disant que quelques jours de retard ne changeraient rien. Mais parce que jâĂ©tais pressĂ©e, jâĂ©tais souvent sur les nerfs, alors jâai souvent Ă©tĂ© nĂ©gligente dans mon travail Ă temps partiel ou commis les mĂȘmes erreurs Ă rĂ©pĂ©tition. Le dirigeant dâĂ©quipe a vu que je consacrais tout mon temps Ă mon deuxiĂšme travail, ce qui causait des retards dans mon travail principal, et mâa demandĂ© si jâĂ©tais capable de gĂ©rer les deux. MĂȘme si je savais que je ne pouvais pas et que ça causait des retards dans le travail de composition, je ne voulais pas lâadmettre, parce que je savais que si je disais que ça faisait trop, on ne me laisserait sans doute pas mon travail Ă temps partiel, ce qui signifiait que je pouvais perdre ce travail stable et durable. Je ne pouvais pas lâaccepter, alors jâai fourni des excuses au dirigeant dâĂ©quipe, lui disant que des tĂąches urgentes sâĂ©taient prĂ©sentĂ©es en mĂȘme temps des deux cĂŽtĂ©s, mais que des situations comme celle-ci ne se produisaient quâoccasionnellement, par tout le temps. Jâai ajoutĂ© que jâĂ©tais encore une novice dans mon travail Ă temps partiel, que ça irait mieux quand il me serait plus familier et que jâavais juste besoin dâun peu plus de temps pour prendre le coup. Je lui ai dit quâen plus, mĂȘme si jâĂ©tais plus occupĂ©e quâavant, ça complĂ©tait mon temps pendant mon devoir. Le dirigeant dâĂ©quipe nâa rien rĂ©pondu. Quelques jours plus tard, il mâa de nouveau incitĂ©e Ă chercher davantage sur le fait dâavoir deux tĂąches et Ă trouver comment pratiquer en accord avec la volontĂ© de Dieu. Il a aussi dit quâil voyait bien que je tenais Ă garder mon travail Ă temps partiel et mâa poussĂ©e Ă me demander si jâavais des points de vue ou des intentions incorrectes. Quand il a dit ça, jâai reconnu que je voulais garder mon travail Ă temps partiel, mais jâai dit que jâavais lâimpression de bien mâorganiser. Je consacrais plus de temps Ă celui des deux qui Ă©tait le plus urgent, ce qui me semblait ĂȘtre la bonne mĂ©thode. Un peu plus tard, jâai compris que la volontĂ© de Dieu Ă©tait derriĂšre le rappel Ă lâordre du dirigeant dâĂ©quipe et que je devais rĂ©flĂ©chir convenablement sur moi-mĂȘme. Je me suis prĂ©sentĂ©e devant Dieu et jâai priĂ© Ă Dieu, je sais que le rappel Ă lâordre du dirigeant dâĂ©quipe contient Ta volontĂ©, mais je ne sais pas par oĂč commencer pour rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Je suis un peu triste, alors je Te demande de mâĂ©clairer et de me guider. » AprĂšs ma priĂšre, je me suis demandĂ© pourquoi le dirigeant dâĂ©quipe mâavait incitĂ©e Ă rĂ©flĂ©chir sur mon attitude envers mon devoir. Ătait-il possible que jâaie de mauvaises intentions dans mon devoir ? Je me suis rendu compte quâavant dâavoir un travail Ă temps partiel, je chĂ©rissais mon travail de composition. Je le voyais comme ma seule issue et je craignais de le perdre. Quand jâavais commencĂ© le travail Ă temps partiel et vu quâil Ă©tait plus stable et plus durable que mon travail principal, jâavais voulu faire tout mon possible pour le garder. Je mâĂ©tais dit quâavec un devoir stable et durable, si je nâĂ©tais pas remplacĂ©e, jâĂ©tais sĂ»re dâĂȘtre sauvĂ©e. Alors jâai enfin compris que ma performance dans mon devoir Ă©tait altĂ©rĂ©e par mes intentions. La plupart des autres frĂšres et sĆurs qui Ă©taient transfĂ©rĂ©s le gĂ©raient correctement. Pourquoi mes pensĂ©es Ă©taient-elles si compliquĂ©es ? Pourquoi avais-je tant dâinquiĂ©tudes et de peurs ? Jâai continuĂ© Ă prier Dieu, Ă chercher et Ă trouver des passages pertinents de la parole de Dieu Ă lire. Un passage dans lequel Dieu rĂ©vĂšle le tempĂ©rament des antĂ©christs concernait prĂ©cisĂ©ment mon Ă©tat. Dieu dit Lorsquâun simple ajustement est apportĂ© Ă leur devoir, les gens doivent rĂ©agir en adoptant une attitude dâobĂ©issance, en faisant ce que la maison de Dieu leur dit de faire, en faisant ce quâils sont capables de faire et, quoi quâils fassent, en le faisant aussi bien quâil est en leur pouvoir, de tout leur cĆur et de toutes leurs forces. Ce que Dieu a fait nâest pas une erreur de Sa part. Une vĂ©ritĂ© aussi simple peut ĂȘtre mise en pratique avec un peu de conscience et de rationalitĂ©, mais voilĂ qui dĂ©passe les capacitĂ©s des antĂ©christs. Les antĂ©christs nâobĂ©issent jamais aux arrangements de la maison de Dieu, et ils relient toujours Ă©troitement leur devoir, la gloire et le statut Ă leur espoir dâobtenir des bĂ©nĂ©dictions et Ă leur destination future, comme si, quand ils perdent leur rĂ©putation et leur statut, ils nâavaient aucun espoir dâobtenir des bĂ©nĂ©dictions et des rĂ©compenses, ce qui, pour eux, est comme perdre la vie. Par consĂ©quent, ils se protĂšgent des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu, pour que ces derniers ne gĂąchent pas leur rĂȘve de bĂ©nĂ©dictions. Ils sâaccrochent Ă leur rĂ©putation et Ă leur statut, parce quâils pensent que leur rĂ©putation et leur salut sont leur seul espoir de gagner des bĂ©nĂ©dictions. Un antĂ©christ considĂšre quâĂȘtre bĂ©ni, câest plus magnifique que les cieux eux-mĂȘmes, plus magnifique que la vie, plus important que la poursuite de la vĂ©ritĂ©, le changement de tempĂ©rament, ou le salut personnel, et plus important que de bien faire son devoir et dâĂȘtre un ĂȘtre créé qui soit Ă la hauteur des normes. Il pense quâĂȘtre un ĂȘtre créé qui soit Ă la hauteur, bien faire son devoir et ĂȘtre sauvĂ© sont autant de choses dĂ©risoires qui valent Ă peine dâĂȘtre mentionnĂ©es, tandis que gagner des bĂ©nĂ©dictions est la seule chose de toute la vie qui ne puisse jamais ĂȘtre oubliĂ©e. Face Ă tout ce quâil rencontre, peu importe que ce soit grand ou petit, il est extrĂȘmement prudent et attentif, et il se mĂ©nage toujours une issue » Ils veulent se retirer lorsquâil nây a plus de statut ou dâespoir dâobtenir des bĂ©nĂ©dictions », dans Exposer les antĂ©christs. Mon attitude envers les transferts de devoir correspondait parfaitement Ă celle des antĂ©christs rĂ©vĂ©lĂ©e par Dieu. Je me creusais la tĂȘte pour essayer de garder mon travail Ă temps partiel parce que je voulais un devoir stable et durable, afin de rester dans la maison de Dieu et de ne pas ĂȘtre chassĂ©e. Tout ce que je faisais visait Ă gagner des bĂ©nĂ©dictions. CâĂ©tait mon seul objectif. En fait, quel que soit le devoir vers lequel une personne est transfĂ©rĂ©e dans lâĂglise, son transfert est basĂ© sur les besoins du travail et parfaitement normal. Mais les antĂ©christs ont un tempĂ©rament mauvais, alors ils le conçoivent dâune maniĂšre anormale. Ils pensent quâils ne peuvent se fier Ă personne dans la maison de Dieu et que personne ne se soucie dâeux. Ils croient quâen Ă©tant transfĂ©rĂ©s en tous sens, ils seront chassĂ©s et perdront leur destination sâils ne sont pas prudents, et quâils doivent donc tout planifier soigneusement, ĂȘtre attentifs et avoir un plan de secours. Ils pensent que ça leur garantira une fin et une destination. Pour les antĂ©christs, ĂȘtre bĂ©ni est plus important quâaccompli un devoir ou ĂȘtre sauvĂ©. Mon point de vue nâĂ©tait-il pas le mĂȘme que celui dâun antĂ©christ ? Je craignais toujours dâĂȘtre transfĂ©rĂ©e Ă un autre devoir. Que ferais-je si jâĂ©tais transfĂ©rĂ©e ? Et si câĂ©tait un travail pour lequel je nâĂ©tais pas douĂ©e, si jâĂ©tais inefficace et quâon me transfĂ©rait de nouveau ? Si je me retrouvais un jour sans devoir Ă accomplir, ne serais-je pas chassĂ©e ? Quand jây songeais, je commençais Ă mâinquiĂ©ter. Telle un antĂ©christ, jâavais un esprit trĂšs complexe et mauvais, jâavais peur de me retrouver dans une impasse, alors je voulais mâagripper Ă un travail que je pensais pouvoir faire un long moment, comme un incroyant qui cherche une place en or ». Je rĂȘvais de faire un devoir assurĂ© pour toujours, de maniĂšre Ă ĂȘtre sauvĂ©e et Ă entrer sans encombre dans le royaume des cieux quand lâĆuvre de Dieu serait terminĂ©e. Pour atteindre ce but, je mâĂ©tais dĂ©menĂ©e dans mon travail Ă temps partiel, dans lâespoir de le maĂźtriser vite et de mâoffrir un plan de secours. MĂȘme si je ne pouvais pas gĂ©rer mes deux tĂąches, je refusais de lâadmettre. Quand mon dirigeant dâĂ©quipe mâen avait parlĂ©, jâavais tergiversĂ©. Je voulais conserver mon travail Ă temps partiel mĂȘme si ça retardait lâautre, ce qui avait fini par affecter le travail. Je nâai vu clairement quâĂ ce moment-lĂ que je faisais mon devoir par souci de mon avenir et de ma destination. Je me servais de mon devoir comme monnaie dâĂ©change pour obtenir ma destination. Tout ce que je faisais visait Ă gagner des bĂ©nĂ©dictions. NâĂ©tait-ce pas juste passer un marchĂ© avec Dieu et essayer de Le tromper ? Autrefois, je priais toujours Dieu en disant que je faisais mon devoir pour rendre Son amour Ă Dieu et vivre une ressemblance humaine, mais quand les faits mâont rĂ©vĂ©lĂ©e, jâai vu que câĂ©tait un mensonge ! CâĂ©tait de la tromperie ! Jâai lu un autre passage des paroles de Dieu. En tant quâĂȘtre créé, quand on se prĂ©sente devant le CrĂ©ateur, on doit accomplir son devoir. Câest ce quâil convient de faire et la responsabilitĂ© qui nous incombe. Ătant donnĂ© que les ĂȘtres créés accomplissent leurs devoirs, le CrĂ©ateur a rĂ©alisĂ© une plus grande Ćuvre au sein de lâhumanitĂ©. Il a accompli une nouvelle Ă©tape de Son Ćuvre sur lâhumanitĂ©. Or de quelle Ćuvre sâagit-il ? Il fournit la vĂ©ritĂ© Ă lâhumanitĂ©, lui permettant dâobtenir de Lui la vĂ©ritĂ© dans lâaccomplissement de ses devoirs et, ainsi, de se dĂ©barrasser de ses tempĂ©raments corrompus et dâĂȘtre purifiĂ©e. Les hommes parviennent ainsi Ă satisfaire la volontĂ© de Dieu et Ă sâengager sur le bon chemin dans la vie, et finalement, ils sont capables de craindre Dieu et de sâĂ©loigner du mal, dâatteindre le salut complet et de ne plus ĂȘtre soumis aux afflictions de Satan. VoilĂ lâeffet que Dieu voudrait que lâhumanitĂ© atteigne en fin de compte en accomplissant son devoir. Par consĂ©quent, au cours de lâaccomplissement de ton devoir, Dieu ne te fait pas seulement voir une chose clairement et comprendre un peu de vĂ©ritĂ©, et Il ne te fait pas seulement profiter de la grĂące et des bĂ©nĂ©dictions que tu reçois en accomplissant ton devoir en tant quâĂȘtre créé. Au contraire, Il te permet dâĂȘtre purifiĂ© et sauvĂ© et, finalement, tu arrives Ă vivre dans la lumiĂšre du visage du CrĂ©ateur. Cette âlumiĂšre du visage du CrĂ©ateurâ implique une signification Ă©tendue et un contenu importants ; nous nâaborderons pas cela aujourdâhui. Bien sĂ»r, Dieu ne manquera pas de dĂ©livrer des promesses et des bĂ©nĂ©dictions Ă des personnes de ce genre, et de faire diffĂ©rentes dĂ©clarations Ă leur sujet, mais cela, câest une autre affaire. Pour ce qui est dâici et de maintenant, que reçoivent de Dieu tous ceux qui se prĂ©sentent devant Lui et accomplissent leur devoir dâĂȘtres créés ? Ce quâil y a de plus prĂ©cieux et de plus beau au sein de lâhumanitĂ©. Aucun ĂȘtre créé au sein de lâhumanitĂ© ne peut recevoir de telles bĂ©nĂ©dictions de la main du CrĂ©ateur par simple hasard. Une chose aussi belle et aussi grande est dĂ©formĂ©e par lâengeance des antĂ©christs et transformĂ©e en une transaction, dans laquelle ils sollicitent des couronnes et des rĂ©compenses de la main du CrĂ©ateur. Une telle transaction fait de quelque chose de trĂšs beau et de trĂšs juste quelque chose de trĂšs laid et de trĂšs mauvais. Nâest-ce pas ce que font les antĂ©christs ? Ă en juger par cela, les antĂ©christs sont-ils malĂ©fiques ? En effet, ils sont trĂšs malĂ©fiques ! Ce nâest lĂ quâune manifestation dâun aspect de leur mĂ©chancetĂ© » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie VII », dans Exposer les antĂ©christs. Ces paroles de Dieu mâont transpercĂ© le cĆur. Je me suis sentie trĂšs endettĂ©e envers Lui. Dieu dit que pouvoir faire un devoir en tant quâĂȘtre créé est ce quâil y a de plus beau dans lâhumanitĂ©, que câest la chose la plus digne et la plus chargĂ©e de sens et que tous les ĂȘtres créés ne peuvent pas obtenir cette bĂ©nĂ©diction. Jâai compris que câĂ©tait vrai. Dieu a dĂ©crĂ©tĂ© que moi, parmi toutes les personnes du monde, je naĂźtrais dans les derniers jours, et jâai la chance de suivre lâĆuvre de Dieu dans les derniers jours, dâaccomplir mon devoir et de faire lâexpĂ©rience de lâĆuvre de Dieu. Tous ne reçoivent pas cette bĂ©nĂ©diction. Câest la grĂące et lâamour exceptionnels de Dieu. Accomplir un devoir dans la maison de Dieu, quel quâil soit, a plus de valeur et de sens que tout ce quâon peut faire dans le monde, alors je devrais ĂȘtre reconnaissante et le chĂ©rir. De plus, Dieu a toujours donnĂ© gĂ©nĂ©reusement la vĂ©ritĂ© aux gens. Il parle aux gens et les nourrit en personne, leur permettant de comprendre et de gagner la vĂ©ritĂ© en accomplissant leurs devoirs, et de grandir peu Ă peu dans la vie. Dieu ne demande rien aux gens durant ce processus. Dieu veut seulement que les gens acceptent Son mandat dâun cĆur honnĂȘte et obĂ©issant, fassent de leur mieux pour bien accomplir leur devoir, et finalement gagnent la vĂ©ritĂ©, Ă©chappent Ă leurs tempĂ©raments corrompus et soient sauvĂ©s par Lui. Et que faisais-je ? Je prenais le fait magnifique dâaccomplir mon devoir en tant quâĂȘtre créé, je le transformais en transaction et jâessayais dâĂ©changer mon devoir contre des bĂ©nĂ©dictions. JâĂ©tais vraiment fourbe, sournoise et je dĂ©goĂ»tais Dieu. AprĂšs ça, jâai souvent priĂ© Dieu Ă propos de mon Ă©tat, Lui demandant de mâĂ©clairer et de me guider pour que je comprenne plus clairement mon problĂšme. Un jour, pendant mes dĂ©votions, jâai lu des paroles de Dieu. Les gens doivent avoir un cĆur honnĂȘte vis-Ă -vis de Dieu, et vis-Ă -vis de leur devoir. Si tel est le cas, ils craindront Dieu. Quel genre dâattitude envers Dieu ont ceux qui ont un cĆur honnĂȘte ? Au minimum, ils ont un cĆur qui craint Dieu, un cĆur qui obĂ©it Ă Dieu en toutes choses, ils ne demandent ni bĂ©nĂ©dictions ni infortune, ils ne parlent pas de conditions, ils sâen remettent Ă la merci de Dieu ; ces gens-lĂ ont un cĆur honnĂȘte. Ont-ils un cĆur honnĂȘte ceux qui, sans cesse, sont sceptiques au sujet de Dieu, Le sondent, essaient de marchander avec Lui ? Non. Quâest-ce qui habite le cĆur de ces gens-lĂ ? La ruse et le mal. Ils sont toujours en train de sonder. Et que sondent-ils ? Lâattitude de Dieu envers les gens. Ils sont toujours en train de sonder lâattitude de Dieu envers les gens. Quel est le problĂšme ? Et pourquoi sondent-ils Son attitude ? Parce quâelle concerne leurs intĂ©rĂȘts vitaux. Dans leur cĆur, ils se disent âDieu a Ă©laborĂ© ces circonstances pour moi, Il a fait en sorte que ça mâarrive. Pourquoi ? Cela nâest pas arrivĂ© Ă dâautres, pourquoi cela devait-il mâarriver Ă moi ? Quelles en seront les consĂ©quences par la suite ?â VoilĂ ce quâils sondent ils sondent leurs profits et leurs pertes, leurs bĂ©nĂ©dictions et leurs malheurs. Et tandis quâils sondent ces choses, sont-ils capables de pratiquer la vĂ©ritĂ© ? Sont-ils capables dâobĂ©ir Ă Dieu ? Non. Et que produit leurs ruminations ? Seulement des choses qui leur sont bĂ©nĂ©fiques ; ils ne prĂȘtent attention quâĂ leurs propres intĂ©rĂȘts. [âŠ] Et que rĂ©sulte-t-il, au final, de cette inspection menĂ©e par ces gens qui pensent constamment Ă leurs propres intĂ©rĂȘts ? Ils ne font que dĂ©sobĂ©ir et sâopposer Ă Dieu. MĂȘme quand ils insistent pour accomplir leur devoir, ils le font nĂ©gligemment et superficiellement, avec un Ă©tat dâesprit nĂ©gatif. Dans leur cĆur, ils ne pensent quâĂ la façon dont ils peuvent profiter, ne pas ĂȘtre du cĂŽtĂ© des perdants. Telles sont leurs motivations quand ils accomplissent leur devoir, et en faisant cela, ils essaient de marchander avec Dieu. Quel tempĂ©rament est-ce lĂ ? Câest de la ruse, un tempĂ©rament diabolique. Il ne sâagit plus dâun tempĂ©rament corrompu ordinaire, mais dâun tempĂ©rament qui a dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© en mĂ©chancetĂ©. Et quand leur cĆur est empli de ce type de tempĂ©rament diabolique, ils sont en conflit avec Dieu ! Vous devriez ĂȘtre au clair sur ce problĂšme. Si les gens sondent Dieu et essaient de marchander en permanence quand ils accomplissent leur devoir, peuvent-ils lâaccomplir correctement ? Absolument pas. Ils ne vĂ©nĂšrent pas Dieu avec leur esprit, et de maniĂšre honnĂȘte, ils nâont pas un cĆur honnĂȘte, ils regardent et attendent, tout en accomplissant leur devoir, se tenant en retrait en permanence. Quel est le rĂ©sultat ? Dieu nâĆuvre pas en eux, ils sont dĂ©sorientĂ©s et deviennent confus, ils ne comprennent pas les principes de la vĂ©ritĂ©, ils agissent selon leurs propres inclinations, et ils finissent toujours par mal tourner. Et pourquoi tournent-ils mal ? Parce que leur cĆur manque de beaucoup de clairvoyance, et quand il leur arrive quelque chose, ils ne rĂ©flĂ©chissent pas sur eux-mĂȘmes, ni ne cherchent la vĂ©ritĂ© pour trouver une solution, ils persistent Ă agir comme bon leur semble, selon leurs propres prĂ©fĂ©rences. RĂ©sultat ils tournent toujours mal quand ils accomplissent leur devoir. Ils ne pensent jamais au travail de lâĂglise, ni aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, ils conspirent en permanence en faveur de leurs propres intĂ©rĂȘts, de leur propre orgueil et statut. Et non seulement ils accomplissent leur devoir de façon mĂ©diocre, mais ils retardent et entravent aussi le travail de lâĂglise. Nâest-ce pas lĂ sâĂ©garer, nĂ©gliger leurs devoirs ? Si les gens nâont toujours en tĂȘte que leurs propres intĂ©rĂȘts et perspectives lorsquâils accomplissent leur devoir, et quâils nâaccordent pas dâattention au travail de lâĂglise ou aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, alors cela nâest pas accomplir un devoir, car lâessence et la nature de leurs actions ont changĂ©. Et si la nature dâune telle chose est grave, quâelle devient intrusive et perturbatrice, et quâelle engendre de graves consĂ©quences, alors la personne impliquĂ©e doit ĂȘtre chassĂ©e » Seule la recherche des principes-vĂ©ritĂ©s permet de bien accomplir son devoir », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu mâont frappĂ©e. Avant, je comprenais juste quâĂȘtre sur mes gardes dans mon devoir et toujours chercher un plan de secours Ă©tait une manifestation de fourberie et de sournoiserie. GrĂące Ă ce que rĂ©vĂ©laient ces paroles de Dieu, jâai vu quâil ne sâagissait pas seulement de fourberie et de sournoiserie, que ça sâĂ©levait au niveau de la malfaisance, parce que je ne dupais pas nâimporte qui câĂ©tait avec Dieu que jâĂ©tais calculatrice. ExtĂ©rieurement, jâaccomplissais mon devoir, mais je nâavais aucune sincĂ©ritĂ© dans mon devoir. Je passais mon temps Ă observer et calculer, en faisant le devoir qui mâĂ©tait le plus bĂ©nĂ©fique. Quand je faisais mon travail de composition, je le traitais comme le seul moyen de sauver ma vie. Je craignais dâĂȘtre remplacĂ©e un jour, de ne pas trouver de devoir qui me convenait, de ne pas avoir lâoccasion de gagner des bĂ©nĂ©dictions, alors jâavais toujours peur de perdre mon devoir. Plus tard, quand jâavais obtenu mon travail Ă temps partiel, jâavais pensĂ© quâil mâoffrait une meilleure chance de gagner des bĂ©nĂ©dictions, alors je mây Ă©tais agrippĂ©e de toutes mes forces. En apparence, jâĂ©tais trĂšs dynamique, je posais des questions sur tout ce que je ne comprenais pas, mais en rĂ©alitĂ©, je voulais juste le maĂźtriser vite afin dâoccuper une position indispensable dans ce devoir. En mĂȘme temps, jâattendais de voir si je serais transfĂ©rĂ©e de mon travail principal. Si ce nâĂ©tait pas le cas, jâaurais accompli mes deux devoirs pour avoir une garantie supplĂ©mentaire dâĂȘtre sauvĂ©e et, si jâĂ©tais transfĂ©rĂ©e, je nâaurais pas eu Ă mâinquiĂ©ter dâĂȘtre chassĂ©e parce que jâaurais toujours eu mon travail Ă temps partiel. Jâai compris que mon attitude envers mon devoir ne consistait pas Ă recevoir un mandat et une responsabilitĂ© de Dieu, et que je nâacceptais pas ces devoirs de Dieu avec un cĆur pur et honnĂȘte. Au lieu de ça, jâavais des intentions sournoises, jâĂ©tudiais et calculais mes bĂ©nĂ©fices et mon espoir de recevoir des bĂ©nĂ©dictions. Je nâen reviens pas dâavoir Ă©tĂ© aussi fourbe ! ExtĂ©rieurement, je travaillais beaucoup et jâĂ©tais occupĂ©e toute la journĂ©e, ce qui donnait lâimpression que jâĂ©tais trĂšs responsable dans mon devoir, mais en rĂ©alitĂ©, je ne travaillais que pour mon avenir et ma destination. Quand le dirigeant mâavait incitĂ©e Ă me demander si je pouvais gĂ©rer les deux devoirs, jâavais eu peur que mon plan tombe Ă lâeau, alors jâavais trouvĂ© des excuses en disant Je veux mieux remplir mon temps dans mon devoir. » Ce que jâai dit Ă©tait vraiment trompeur ! Afin de masquer mes intentions honteuses et mĂ©prisables, jâavais employĂ© une rhĂ©torique malhonnĂȘte pour tromper le dirigeant dâĂ©quipe. Mon tempĂ©rament Ă©tait vraiment trop mauvais ! Jâai repensĂ© Ă toutes mes pensĂ©es calculatrices et mes intentions sournoises. Je nâaccomplissais pas du tout mes devoirs ! CâĂ©tait me servir de Dieu et Le tromper ! Je nâavais aucune sincĂ©ritĂ© envers Dieu ! JâĂ©tais comme un marchant opportuniste. JâĂ©tais trĂšs sournoise, Ă©goĂŻste, mĂ©prisable, intĂ©ressĂ©e et je ne me souciais que du gain. JâĂ©tais prĂȘte Ă utiliser toutes sortes de moyens pour maximiser mes intĂ©rĂȘts. Dieu dit que ceux qui ne se soucient que de leur intĂ©rĂȘt dans leur devoir, pas de ceux de Sa maison, ne produiront jamais de bons rĂ©sultats dans ce quâils font. Dans mon travail Ă temps partiel, mĂȘme si je voulais pratiquer plus, mon intention Ă©tait de trouver un plan de secours. En faisant les choses avec cette intention, je ne rĂ©flĂ©chissais pas soigneusement Ă la maniĂšre dâagir selon les principes et dâobtenir de bons rĂ©sultats. Ă la place, je cherchais des succĂšs rapides et nâaccomplissais que des tĂąches bien visibles. Pour finir mes tĂąches, je travaillais dans lâurgence, ce qui me faisait oublier des choses et Ă©chouer Ă saisir les principes, et mon travail Ă©tait toujours plein dâerreurs. Dans mon devoir principal, jâavais dĂ©jĂ retardĂ© nos progrĂšs, mais je ne mâen souciais pas et ne ressentais aucune urgence. Jâai pensĂ© Ă la maniĂšre dont jâavais semĂ© le chaos dans chacun de mes devoirs. Si ça continuait, je nuirais Ă©videmment au travail de la maison de Dieu, alors je serais vraiment chassĂ©e ! Quand jâen ai pris conscience, jâai eu un peu peur, alors jâai priĂ© Dieu pour Lui dire que je voulais me repentir, changer et inverser mon attitude envers mon devoir. Plus tard, en priant et cherchant, je me suis rendu compte que jâavais toujours eu un point de vue absurde, qui Ă©tait que tant que jâaccomplirais un devoir stable et durable dans la maison de Dieu et que je nâĂ©tais pas transfĂ©rĂ©e, je pourrais ĂȘtre sauvĂ©e et survivre quand lâĆuvre de Dieu sâachĂšverait. Je ne mâĂ©tais jamais demandĂ© si mon point de vue Ă©tait conforme Ă la vĂ©ritĂ© ni quelles Ă©taient prĂ©cisĂ©ment les exigences de Dieu. Alors jâai cherchĂ© les passages de la parole de Dieu qui concernaient mon Ă©tat et je les ai lus. Dieu dit Il nây a pas de corrĂ©lation entre le devoir de lâhomme et le fait quâil soit bĂ©ni ou maudit. Le devoir est ce que lâhomme doit accomplir ; câest sa vocation qui vient du ciel et ne devrait pas dĂ©pendre de la rĂ©compense, des conditions ou des raisons. Câest alors seulement quâil fait son devoir. Ătre bĂ©ni, câest ĂȘtre perfectionnĂ© et jouir des bĂ©nĂ©dictions de Dieu aprĂšs avoir fait lâexpĂ©rience du jugement. Ătre maudit, câest conserver son tempĂ©rament inchangĂ© aprĂšs avoir fait lâexpĂ©rience du chĂątiment et du jugement, câest ne pas faire lâexpĂ©rience dâĂȘtre perfectionnĂ©, mais ĂȘtre puni. Mais quâils soient bĂ©nis ou maudits, les ĂȘtres créés doivent accomplir leur devoir, faire ce quâils doivent faire et faire ce quâils sont capables de faire. Câest le moins que puisse faire une personne, en tant quâhumain, et qui cherche Dieu » La diffĂ©rence entre le ministĂšre de Dieu incarnĂ© et le devoir de lâhomme », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. En fin de compte, que les hommes puissent ou non atteindre le salut ne dĂ©pend pas du devoir quâils remplissent, mais du fait quâils puissent ou non comprendre et acquĂ©rir la vĂ©ritĂ©, et quâils puissent ou non se soumettre entiĂšrement Ă Dieu Ă la fin, se mettre Ă la merci de Ses orchestrations, ne pas envisager leur avenir et leur destinĂ©e, et devenir des ĂȘtres créés qualifiĂ©s. Dieu est juste et saint, et câest lĂ la norme quâIl utilise pour prendre la mesure de toute lâhumanitĂ©. Cette norme est immuable, et tu dois tâen souvenir. Grave cette norme dans ton esprit, et ne songe pas Ă trouver un autre chemin pour poursuivre quelque chose dâirrĂ©el. Les exigences que Dieu a vis-Ă -vis de tous ceux qui veulent atteindre le salut et les normes quâIl exige dâeux sont constantes Ă jamais. Elles restent les mĂȘmes, qui que tu sois » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu est trĂšs claire. Les devoirs que les gens accomplissent et le fait quâils soient durables et stables ou non nâa rien Ă voir avec le fait quâils soient bĂ©nis ou maudits. En tant quâĂȘtre créés, quâon soit bĂ©nis ou maudits, on doit accomplir nos propres devoirs. Câest la valeur de la vie humaine, ainsi que le devoir et lâobligation des ĂȘtres humains. Aussi, Dieu nâa jamais dit que tant quâon avait un devoir stable et durable et nâĂ©tait pas transfĂ©rĂ©, on aurait une bonne destination et pourrait ĂȘtre sauvĂ©s. Dieu a toujours dit que les gens ne pouvaient ĂȘtre sauvĂ©s quâen recherchant la vĂ©ritĂ©, en Ă©chappant Ă leurs tempĂ©raments corrompus et en parvenant Ă une vraie obĂ©issance. Les exigences et les critĂšres de Dieu nâont jamais changĂ© et Dieu a toujours rappelĂ© Ses exigences. Ce nâĂ©tait pas comme si je ne connaissais pas ces paroles ou ne les avais pas lues, mais jâĂ©tais exactement comme un non-croyant. Je nâavais jamais cru ni acceptĂ© ces paroles, et je nâavais pas compris les bonnes intentions de Dieu pour sauver les gens ni Son tempĂ©rament juste. Je ne comptais que sur mes notions et les fruits de mon imagination, je mâagrippais Ă mes vues erronĂ©es et je mâĂ©tais donnĂ© un but risiblement naĂŻf. Je pensais que tant que je continuais Ă accomplir un devoir dans la maison de Dieu sans ĂȘtre ajustĂ©e, je survivrais quand lâĆuvre de Dieu se conclurait. Quand jây repense maintenant, ça me paraĂźt absolument ridicule ! Je ne cherchais quâĂ avoir un devoir Ă accomplir et Ă ne pas ĂȘtre transfĂ©rĂ©e. Je ne mâĂ©tais jamais concentrĂ©e sur la recherche de la vĂ©ritĂ© dans mon devoir et je nâavais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme ni rĂ©solu mes tempĂ©raments corrompus. Du coup, je nâavais pas conscience de mes intentions Ă©videntes de gagner des bĂ©nĂ©dictions ni de mon tempĂ©rament corrompu, et jâavais encore moins cherchĂ© la vĂ©ritĂ© pour rĂ©soudre ces choses. MĂȘme si mon devoir avait Ă©tĂ© durable, aurais-je pu garantir que jâaurais pu le faire indĂ©finiment ? Certaines personnes, autour de moi, faisaient leur devoir depuis des annĂ©es sans avoir Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©es, mais parce quâelles ne cherchaient pas la vĂ©ritĂ© et ne se concentraient pas sur la rĂ©solution de leurs tempĂ©raments corrompus, elles Ă©taient toujours nĂ©gligentes dans leurs devoirs. De ce fait, elles avaient fait leurs devoirs pendant de nombreuses annĂ©es sans rĂ©sultat et avaient fini par ĂȘtre chassĂ©es. Dâautres ont travaillĂ© en se basant sur des annĂ©es dâexpĂ©rience de leur don, sont devenus de plus en plus arrogants, nâen ont fait quâĂ leur tĂȘte, ont gravement perturbĂ© le travail de la maison de Dieu, et ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s et chassĂ©s. Mais certains frĂšres et sĆurs sont simples et honnĂȘtes, ils sont capables dâaccepter nâimporte quel devoir arrangĂ© pour eux, de se concentrer sur la recherche de la vĂ©ritĂ© et la rĂ©solution de leurs tempĂ©raments corrompus, et quand ils ne comprennent pas quelque chose, ils prient Dieu ou cherchent la vĂ©ritĂ©, ou ils interrogent leurs frĂšres et sĆurs et Ă©changent avec eux. Ils deviennent de plus en plus efficaces dans leurs devoirs, ils grandissent peu Ă peu dans la vie et ils ont une foi sincĂšre en Dieu. Il y avait de tels cas autour de moi, alors pourquoi ne les voyais-je pas ? De plus, quand des gens sont transfĂ©rĂ©s dans la maison de Dieu, câest toujours sur la base des besoins du travail de lâĂglise et de leurs compĂ©tences. Si quelquâun a une foi sincĂšre en Dieu, la maison de Dieu lui arrangera un devoir qui lui convient. Ce nâest que passer dâune position Ă une autre, pas se faire dĂ©pouiller de son droit dâĂ©prouver lâĆuvre de Dieu et de rechercher la vĂ©ritĂ©, ni ĂȘtre privĂ© de sa chance dâĂȘtre sauvĂ©. Câest tout Ă fait appropriĂ©. Pourquoi avais-je toujours considĂ©rĂ© les transferts comme une chose nĂ©gative, mauvaise ? Jâai compris Ă ce moment-lĂ que ma croyance dans le fait quâun devoir stable et durable me garantirait une bonne destination et de ne pas ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et chassĂ©e Ă©tait un point de vue absurde et ridicule. Ce nâĂ©tait que mes notions et les fruits de mon imagination, et câĂ©tait dangereux ! Quand je mâen suis rendu compte, mon cĆur sâest illuminĂ© et je me suis sentie trĂšs soulagĂ©e. AprĂšs ça, dans mon devoir, mon Ă©tat dâesprit Ă©tait bien meilleur. Je ne considĂ©rais plus que lâun de mes devoirs Ă©tait plus important que lâautre. Ă la place, je sentais que les deux Ă©taient des mandats de Dieu, quâils Ă©taient prĂ©cieux, et jâai voulu faire les deux du mieux possible. Quant Ă savoir si je continuerais mon travail Ă temps partiel, jâai laissĂ© Dieu en dĂ©cider et jâai Ă©tĂ© prĂȘte Ă me soumettre Ă Ses arrangements. Un jour, fin novembre, le superviseur mâa dit que je nâavais plus besoin de faire le travail Ă temps partiel parce quâils avaient quelquâun dâautre. Quand jâai appris la nouvelle, jâai ressenti quelque chose que je ne peux pas dĂ©crire. JâĂ©tais un peu triste et rĂ©ticente Ă renoncer. Je me suis aperçue que mon Ă©tat Ă©tait mauvais, alors je me suis empressĂ©e de prier Dieu. Jâai pensĂ© aux paroles de Dieu Les gens doivent avoir un cĆur honnĂȘte vis-Ă -vis de Dieu, et vis-Ă -vis de leur devoir. Si tel est le cas, ils craindront Dieu. Quel genre dâattitude envers Dieu ont ceux qui ont un cĆur honnĂȘte ? Au minimum, ils ont un cĆur qui craint Dieu, un cĆur qui obĂ©it Ă Dieu en toutes choses, ils ne demandent ni bĂ©nĂ©dictions ni infortune, ils ne parlent pas de conditions, ils sâen remettent Ă la merci de Dieu ; ces gens-lĂ ont un cĆur honnĂȘte » Seule la recherche des principes-vĂ©ritĂ©s permet de bien accomplir son devoir », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir mĂ©ditĂ© ces paroles de Dieu encore et encore, jâai compris que Dieu aimait les gens honnĂȘtes, quâIl voulait que je traite mes devoirs avec un cĆur honnĂȘte, que je sois capable dâobĂ©ir simplement, que je ne me soucie pas des rĂ©sultats, que je ne fasse pas de calcul pour moi-mĂȘme et que je me soumette Ă Ses orchestrations. Jamais personne nâa gardĂ© sa place dans la maison de Dieu grĂące Ă des ruses et des calculs. Au contraire, seuls ceux qui sont purs, honnĂȘtes, qui font les choses de maniĂšre terre Ă terre et qui obĂ©issent Ă Dieu peuvent tenir bon. Ă ce moment-lĂ , jâai compris que Dieu me testait par cette situation. Dieu observait mon attitude. Je ne pouvais plus me montrer sĂ©lective vis-Ă -vis de mon devoir. Je devais obĂ©ir aux arrangements de Dieu du fond du cĆur et chĂ©rir mon devoir actuel. Quelle que soit la durĂ©e de ce devoir et quels que soient les autres devoirs que lâĂglise arrangerait pour moi Ă lâavenir, je devais lâaccepter et obĂ©ir avec un cĆur pur et honnĂȘte et faire de mon mieux pour bien les accomplir. AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, jâai brusquement compris que Dieu avait de bonnes intentions en arrangeant ce travail Ă temps partiel pour moi. Dieu avait arrangĂ© cet environnement pour rĂ©vĂ©ler mon attitude incorrecte envers mon devoir et mon intention bien enracinĂ©e de gagner des bĂ©nĂ©dictions. Sans la rĂ©vĂ©lation des faits, je nâaurais jamais su que ma foi Ă©tait dĂ©naturĂ©e ni quelle attitude envers son devoir est conforme Ă la volontĂ© de Dieu. Tout ce que Dieu mâavait donnĂ© Ă©tait un trĂ©sor prĂ©cieux. Aussi, ce changement soudain dans mon devoir mâa permis de voir un fait Dieu contrĂŽle tout et le devoir que quelquâun accomplit est prĂ©dĂ©terminĂ© par Dieu. Câest quelque chose que les gens ne peuvent ni prĂ©voir ni changer. Mais, comme un non-croyant, jâignorais la souverainetĂ© de Dieu et je voulais prĂ©server mes devoirs par mes propres efforts. JâĂ©tais si stupide et ignorante ! Comment pouvais-je espĂ©rer garder un devoir particulier que je voulais accomplir ? Je ne pouvais vivre une vie dĂ©tendue et libĂ©rĂ©e quâen obĂ©issant aux arrangements de Dieu. AprĂšs quelque temps, lâĂglise mâa chargĂ©e dâun autre travail Ă temps partiel, mais je ne me suis plus demandĂ© si ce devoir serait durable. Ă la place, jâai juste voulu le faire bien, avec assiduitĂ©, rechercher et pratiquer la vĂ©ritĂ© dans mon devoir, rĂ©soudre mon tempĂ©rament corrompu, mâefforcer de vivre une vraie ressemblance humaine et parvenir Ă une obĂ©issance et une loyautĂ© sincĂšres envers Dieu.
Quest-ce qui rĂ©flĂ©chit sans rĂ©flĂ©chir ? RĂ©ponse: Un miroir ! sid le 31/08/16. Points : 3. Commentaires Connectez-vous pour ajouter un commentaire. Aucun commentaire. Statistiques dĂ©taillĂ©es. Statistiques . Nombre de votes au total 23; 13; 10; Dernier vote 08/08/22 Ă 15:27:53 Blagues similaires . Blague - Petit, blanc et qui fait mal. Qu'est-ce qui est petit, blancTLFi AcadĂ©mie9e Ă©dition AcadĂ©mie8e Ă©dition AcadĂ©mie4e Ă©dition BDLPFrancophonie BHVFattestations DMF1330 - 1500 RĂFLĂCHIR, verbeI. â â [ une surface rĂ©flĂ©chissante, lumiĂšre, un objet ou l'image d'un objet] Renvoyer par rĂ©flexion dans la direction d'origine ou dans une autre direction. Les nuages et les vapeurs de l'atmosphĂšre peuvent fort bien rĂ©flĂ©chir les formes et les couleurs des objets terrestres, puisqu'ils rĂ©flĂ©chissent, dans les parĂ©lies, l'image du soleil Bern. de St-P., Harm. nat.,1814, p. 81.Un petit lac rĂ©flĂ©chit l'image des centaines de stalactites qui pendent de la voĂ»te, et l'on croit voir au fond de ce lac les ruines d'une grande ville aperçue d'une hauteur considĂ©rable, car la surface du lac remet Ă l'endroit ce qui Ă©tait Ă l'envers Green, Journal,1944, p. 117.Empl. pronom. rĂ©flĂ©chit dans, sur un objet] Un vieux pont dont l'arche unique se rĂ©flĂ©chit harmonieusement dans l'eau tranquille Daniel-Rops, Mort,1934, p. 250.⊠PoĂ©t. ou littĂ©r. Je retrouvai sans cesse l'image de la jeune fille. Ses mains blanches sur les seaux, son beau regard rĂ©flĂ©chissant l'Ă©clat des flammes Toepffer, Nouv. genev.,1839, p. 290.C'Ă©tait une fille ... aux grands yeux d'un bleu sombre, qui semblaient rĂ©flĂ©chir l'azur d'un ciel d'Orient Ponson du Terr., Rocambole,t. 2, 1859, p. 65.Rem. On relĂšve la constr. un objet et image], oĂč rĂ©flĂ©chir a le sens de mirer » J'ai vu des monts voilĂ©s de citrons et d'olives RĂ©flĂ©chir dans les eaux leurs ombres fugitives Lamart., Harm., 1830, p. 392.â P. anal. [ un son] Ici et lĂ sous l'ombre des sycomores la vibration du bronze au fond d'une pagode rĂ©flĂ©chit l'Ă©cho du monstre qui s'est tu Claudel, Connaiss. Est,1907, p. 70.Au part. passĂ© ou au passif. Les sons amortis semblaient ĂȘtre rĂ©flĂ©chis par un Ă©cho lointain Daniel-Rops, Mort,1934, p. 344.B. â Au fig. ou p. mĂ©taph. ReflĂ©ter, manifester. Dans ce dĂ©veloppement [de l'intelligence] survient le langage qui rĂ©flĂ©chit l'entendement, et le met, pour ainsi dire, en dehors de lui-mĂȘme Cousin, Hist. philos. XVIIIes.,1829, p. 3821. Comment un tel homme [Baudelaire], fait comme pas un autre pour rĂ©flĂ©chir le doute, la haine, le mĂ©pris, le dĂ©goĂ»t, la tristesse, pouvait-il manifester si hautement ses passions et vider le monde de son contenu pour en accuser les beautĂ©s dĂ©faites, les vĂ©ritĂ©s souillĂ©es, mais si soumises, si commodes? Ăluard, Donner,1939, p. 107.â Empl. pronom. La crainte de lui avoir dit indirectement une chose dĂ©sagrĂ©able succĂ©da Ă sa rĂ©pugnance pour le mauvais propos. Ce malheur se rĂ©flĂ©chit vivement dans ses traits si purs et si naĂŻfs Stendhal, Rouge et Noir,1830, p. 94.Je commence Ă croire que l'ami vraiment, c'est la page blanche oĂč se rĂ©flĂ©chit votre Ăąme Gide, Corresp.[avec ValĂ©ry], 1891, p. 101.Rem. On relĂšve a Dans le sens fig. ou mĂ©taph., la constr. sur un objet, image] Le moi n'a pas encore rĂ©flĂ©chi son image sur le miroir de Narcisse J. Vuillemin, Essai signif. mort, 1949, p. 98. b Un empl. abusif avec un compl. dĂ©signant la chaleur. Synon. rĂ©verbĂ©rer. Il s'endormit sur la paille tiĂšde, dans la chaleur de cette canicule que la Loire rĂ©flĂ©chissait sur Nantes Morand, P. de Saligny, 1947, p. 192. c Un empl. pronom. rĂ©fl. au sens de se replier sur soi-mĂȘme, revenir sur soi-mĂȘme ». Le pĂ©ritoine se rĂ©flĂ©chit sur les parois du petit bassin Lar. Lang. fr..II. A. â Qqn usage de sa rĂ©flexion, exercer sa rĂ©flexion. Agir sans rĂ©flĂ©chir; rĂ©flĂ©chir avant de parler; prendre le temps de rĂ©flĂ©chir; rĂ©flĂ©chir longuement, mĂ»rement, un moment, un peu. RĂ©flĂ©chissez donc un peu. Moi, j'ai beaucoup rĂ©flĂ©chi; je pense toujours Ă nous Balzac, Langeais,1834, p. 2762. Ces rĂ©flexions, je suis en train de me les faire, aprĂšs coup, pour lĂ©gitimer ma dĂ©cision. En rĂ©alitĂ©, je ne les ai point faites ou du moins je ne les ai point formulĂ©es. S'il fallait rĂ©flĂ©chir ainsi, peser toutes les consĂ©quences de ses actes, avant de sentir leur nĂ©cessitĂ©, je ne serais plus moi-mĂȘme, je ne pourrais plus vivre. H. Bazin, VipĂšre,1948, p. 202.â Locutions⊠Chose qui fait rĂ©flĂ©chir, qui donne Ă rĂ©flĂ©chir. Chose qui incite Ă la rĂ©flexion; qui fait modifier un jugement, une dĂ©cision; qui incite Ă la prudence. Lagache avait conservĂ©, comme preuve de sa victoire, une des dents du crocodile .... Cela fit rĂ©flĂ©chir Robert, qui ... Ă©tait souvent la victime de ses amis Champfl., Souffr. profess. Delteil,1853, p. 125.La premiĂšre chose maintenant c'Ă©tait d'avoir des gĂ©nĂ©raux patriotes, et rien que cette idĂ©e vous donnait Ă rĂ©flĂ©chir car nous pouvions en avoir d'autres, puisque le roi les choisissait Hist. paysan,t. 1, 1870, p. 456.⊠Je demande Ă rĂ©flĂ©chir, je rĂ©flĂ©chirai, laissez-moi rĂ©flĂ©chir. [Indique que le locuteur ne veut pas prendre de dĂ©cision immĂ©diate] Costals reconnut dans cette suggestion le gĂ©nie mĂȘme de la haute bourgeoisie. Il demanda Ă rĂ©flĂ©chir encore un peu Montherl., DĂ©mon bien,1937, p. 1270.B. â Qqn rĂ©flĂ©chit Ă , sur sa pensĂ©e, son attention sur un objet afin d'en avoir une connaissance approfondie, ou afin d'agir avec circonspection. RĂ©flĂ©chir Ă bien des choses, Ă ses paroles, Ă sa situation; rĂ©flĂ©chir Ă ce qu'on va dire; rĂ©flĂ©chir sur son avenir, sur le sens de la vie. Je vois bien que vous aimez Lucien, reprit-il d'un air tendrement rĂ©signĂ©, car il faut bien aimer un homme pour ne rĂ©flĂ©chir Ă rien, pour oublier toutes les convenances Balzac, Illus. perdues,1839, p. 163.En ce temps-lĂ , les critiques musicaux français s'Ă©taient dĂ©cidĂ©s Ă apprendre la musique. Il y en avait mĂȘme quelques-uns qui la savaient c'Ă©taient des originaux; ils s'Ă©taient donnĂ© la peine de rĂ©flĂ©chir sur leur art et de penser par eux-mĂȘmes Rolland, 1908, p. 684.C. â Qqn rĂ©flĂ©chit Examiner longuement. Attends!... T'as pas tout rĂ©flĂ©chi?... Reste lĂ ! T'as encore cinq minutes! CĂ©line, Mort Ă crĂ©dit,1936, p. 694.Rem. On ne relĂšve que qq. ex. att. de cet empl. trans. dir. notĂ© comme incorrect par la plupart des grammaires et des dict.â Loc. Tout bien rĂ©flĂ©chi; c'est tout rĂ©flĂ©chi. AprĂšs avoir tout bien examinĂ©. C'est tout rĂ©flĂ©chi, je ne me marie pas, ça n'est pas mon idĂ©e Loti, PĂȘch. Isl.,1886, p. 1033. â Vous allez, une fois encore, m'offrir votre dĂ©mission. Et vous croyez que cela suffit? Non, Monsieur Salavin. Non! Tout bien rĂ©flĂ©chi, je vous garde. Vous m'entendez? Vous me comprenez? Je vous garde. Autrement dit, je ne vous lĂąche pas. Vous ĂȘtes un homme dangereux. Duhamel, Journal Salav., 1927, p. Qqn rĂ©flĂ©chit quea S'apercevoir au cours de ses rĂ©flexions du fait que. Je t'avais Ă©crit toutes mes peines sans rĂ©flĂ©chir que je t'Ă©crivais des choses qui ne peuvent qu'ĂȘtre dites, et dites Ă toi seule Hugo, Lettres fiancĂ©e,1821, p. 48.Son chocolat lui avait donnĂ© soif. Il rĂ©flĂ©chit qu'il n'avait pas dĂ©jeunĂ© et qu'il avait une alimentation absurde. Puis, brusquement, une idĂ©e saugrenue lui passa par la tĂȘte Ai-je seulement Ă©teint ma lampe Ă alcool? » Martin du G., Thib.,ĂtĂ© 14, 1936, p. 26.b Juger, estimer aprĂšs rĂ©flexion que. Il rĂ©flĂ©chit que dans un corps Ă corps il aurait sĂ»rement le dessous Gide, Caves,1914, p. 857.Il avait rĂ©flĂ©chi que les engagements qu'il avait pris lui interdisaient de publier ses Confessions, mais non pas de les lire GuĂ©henno, Jean-Jacques,1952, p. 283.V. allumoir ex. de On relĂšve la constr. rĂ©flĂ©chir si. Il s'arrĂȘta, rĂ©flĂ©chit si toutes les prĂ©cautions Ă©taient prises PĂ©ladan, Vice supr., 1884, p. 272.Prononc. et Orth. [ÊefleÊiÊ], il rĂ©flĂ©chit [-Êi]. Ac. 1694, 1718 refleschir; dep. 1740 rĂ©flĂ©chir. Ătymol. et Hist. 1. 1269-78 reflechir renvoyer par rĂ©flexion » Jean de Meun, Rose, Ă©d. F. Lecoy, 18220; 2. 1314 se reflecir se courber, se replier en revenant sur soi » Chirurgie Henri de Mondeville, Ă©d. A. Bos, n o337, p. 96; 3. 1609 se reflechir revenir sur sa pensĂ©e pour l'approfondir » Prop. d'Epict., p. 647 ds Gdf. Compl.; 1672 rĂ©flĂ©chir penser mĂ»rement » Bossuet, TraitĂ© de la connoissance de Dieu et de soi-mĂȘme ds Livet MoliĂšre t. 3, p. 480; 1701 part. passĂ© adj. Fur., Refleschi les Grammairiens appellent verbes reflechis, ceux qui signifient une action qui retourne sur l'agent qui la produit; 1845-46 subst. Besch.. Adapt. d'apr. flĂ©chir* du lat. reflectere courber en arriĂšre, recourber; ramener », en lat. mĂ©diĂ©v. rĂ©verbĂ©rer d'un miroir » ca 1240 ds Latham, dĂ©r. de flectere flĂ©chir, ployer », prĂ©f. re- marquant le mouvement en arriĂšre. FrĂ©q. abs. littĂ©r. 4 158. FrĂ©q. rel. littĂ©r. xixes. a 5 177, b 4 977; xxes. a 5 527, b 7 subst. de rĂ©flĂ©chir. a [Corresp. Ă supra I A] RĂ©flĂ©chissement de la lumiĂšre. TrĂŽnant au comptoir de bar parmi les bouteilles dont le rĂ©flĂ©chissement de la glace doublait le nombre, l'hĂŽtelier, avec la dignitĂ© d'un roi jaloux de ses faveurs, refusa net, sans cesser de rincer ses petits verres GuĂšvremont, Survenant,1945, p. 229.b [Corresp. Ă supra I B] De lĂ , j'imagine, le rĂŽle des tarots, du marc de cafĂ© ou de la baguette du sourcier ... qui permettent ce phĂ©nomĂšne de rĂ©flĂ©chissement, de perception indirecte Huyghe, Dialog. avec visible,1955, p. 380.â [ÊefleÊismÉ Ì]. Ac. 1694, 1718 refleschissement; 1740-1878 rĂ©flĂ©chissement. â 1reattest. ca 1380 Jean LefĂšvre, Vieille, Ă©d. Cocheris, p. 245; dĂ©r. de la forme du part. prĂ©s. de rĂ©flĂ©chir, suff. -ment1*. -euse, rĂ©flĂ©chit supra I A. Le phĂ©nomĂšne acoustique ... ricochet des ondes sonores sur des surfaces rĂ©flĂ©chissantes ... n'est plus d'ordre statique, mais plutĂŽt d'ordre biologique â bouche ou oreille, Ă©metteur, transmetteur, rĂ©flĂ©chisseur Gds cour. pensĂ©e math.,1948, p. 487.Empl. subst. Personne qui rĂ©flĂ©chit supra II. Comme tous les rĂ©flĂ©chisseurs Ă©minents, vous avez deux grands cĂŽtĂ©s par un de ces cĂŽtĂ©s, vous ĂȘtes philosophe; par l'autre, vous ĂȘtes poĂ«te Hugo, Corresp.,1840, p. 569.â [ÊefleÊisĆÊ], fĂ©m. [-Ăžz]. â 1resattest. av. 1686 adj. Chapelle, Epitaphe d'un chien ds LittrĂ©, puis 1870 LittrĂ©, 1731 subst. Du Plessis, Hist. de l'Ăglise de Meaux, t. 1, p. 525; dĂ©r. de la forme du part. prĂ©s. de rĂ©flĂ©chir, suff. -eur2*.BBG. â Gohin 1903, p. 304, 339, 359. â Ieremia E.. Essai d'analyse sĂ©mique. B. de la SociĂ©tĂ© roum. de ling. rom. 1974, t. 10, pp. 23-35.
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Parfois, lâĆil du journaliste indiscret sâĂ©gare. Et se dĂ©tourne, honteux. Sur le bureau de Corinne Van Oost, mĂ©decin en soins palliatifs, dans la clinique dâOttignies, entre Bruxelles et Namur, on nâa pu sâempĂȘcher de voir cette feuille manuscrite qui dĂ©passait dâune pochette. "Je soussignĂ©, X, demande lâendormissement c'est-Ă -dire lâeuthanasie. Je souhaite ĂȘtre incinĂ©rĂ© et que les cendres reviennent Ă mes proches". Une dĂ©claration vraisemblablement remise par un patient. On nâa pu sâempĂȘcher Ă©galement dâentendre des bribes de conversations dans les couloirs du service "soins palliatifs". La famille dâun ou dâune patiente. Impression de rentrer par effraction dans cette zone interdite, ce tĂȘte-Ă -tĂȘte douloureux et intime avec la mort⊠Le tabou ultime Corinne Van Oost est mĂ©decin, catholique, et travaille dans les soins palliatifs. Depuis 2002, date Ă laquelle lâeuthanasie a Ă©tĂ© lĂ©galisĂ©e en Belgique, le mĂ©decin pratique dĂ©sormais ce geste, qui lui semblait ĂȘtre le tabou ultime euthanasier son patient. Dans ce service, Ă la clinique dâOtttignies, mais aussi au sein de Domus, un rĂ©seau de soins palliatifs Ă suite aprĂšs la publicitĂ© La moitiĂ© des euthanasies quâon pratique se passent Ă domicile les gens veulent mourir chez eux."Corinne Van Oost, catholique, Ă©tait pourtant opposĂ©e Ă la lĂ©galisation de lâeuthanasie. "J'ai pĂ©titionnĂ©. Nous avons demandĂ© Ă ce qu'on dĂ©veloppe d'abord les soins palliatifs, car je continue Ă constater que beaucoup de demandes, si la douleur est prise en charge et la souffrance accompagnĂ©e, n'ont plus lieu d'ĂȘtre. Nous avons Ă©tĂ© entendus". La Belgique a en effet parallĂšlement promulguĂ© une loi sur les soins palliatifs, devenue un droit pour tout citoyen. Corinne restait nĂ©anmoins trĂšs partagĂ©e sur ce texte. Elle a changĂ© dâavis. Et contrairement Ă des confrĂšres qui se refusaient Ă pratiquer ce geste, elle, elle a fait ce qui longtemps lui semblait impensable. Cela mâa obligĂ© aller encore plus loin dans l'Ă©coute et l'accompagnement du patient.""Se salir les mains" A lâĂ©poque, en Belgique, certains confrĂšres lui avaient reprochĂ© de "se salir les mains". "Je nâai plus jamais ce genre de rĂ©action. Il nây a plus vraiment dâopposition Ă cette loi" assure-t-elle. "Officiellement, bien sĂ»r, ce sujet reste ultra tabou pour la hiĂ©rarchie religieuse. Mais, dans les hĂŽpitaux, les aumĂŽniers accompagnent aussi les personnes qui demandent lâeuthanasie". Selon la Commission fĂ©dĂ©rale de contrĂŽle et dâĂ©valuation de lâeuthanasie en 2013, personnes ont demandĂ© Ă ĂȘtre euthanasiĂ©es. Un nombre en constante progression, certes, mais Ă relativiser il ne reprĂ©sente que des dĂ©cĂšs. Câest donc avec Ă©tonnement que le mĂ©decin regarde les dĂ©bats en France sur le sujet. Sortant de sa rĂ©serve, Corinne Van Oost a souhaitĂ© tĂ©moigner via un livre de sa pratique 1 Jâen avais assez de voir quâon se faisait une idĂ©e fausse de ce qui se passe chez nous en Belgique. Nos confrĂšres français sont persuadĂ©s que nous pratiquons l'euthanasie, sans garde fou, bref, en ayant mis notre Ă©thique de cĂŽtĂ©. Mais nous avons une commission de contrĂŽle, trĂšs stricte".Pour les opposants au modĂšle belge, comme le dĂ©putĂ© Jean Leonetti, auteur de la loi Ă©ponyme, qui vient de prĂ©sider une mission parlementaire sur le sujet, la Commission de contrĂŽle nâest quâun paravent "Il nây a eu aucune poursuite juridique ! Une transgression attire dâautres transgressions." Corinne, elle, rappelle au contraire, que prĂšs de 20% des euthanasies ont fait lâobjet dâun signalement, avec enquĂȘte de la commission "Nâest ce pas un Ă©chec que de voir une dĂ©cision mĂ©dicale dĂ©battue en procĂšs ?". Choc des cultures. Chez nous, câest devant les tribunaux que le dĂ©bat sur lâeuthanasie sâenflamme. Des drames humains deviennent tout dâun coup des "Affaires". Affaire Chantal Sebire, Affaire Vincent Humbert, et plus rĂ©cemment, Affaire Bonnemaison, ou affaire Vincent Lambert⊠Avec Ă chaque fois, les mĂȘmes rĂ©actions, extrĂȘmes, binaires, du cĂŽtĂ© des "anti", comme des "pro". En France, Corinne Van Oost a reçu des rĂ©actions violentes face Ă son suite aprĂšs la publicitĂ© Il y a une radicalisation des catholiques traditionnels trĂšs net en France. Auparavant, nous Ă©tions plusieurs Ă ĂȘtre invitĂ©s Ă nous exprimer sur lâeuthanasie palliative, dans des cercles de rĂ©flexion. Plus maintenant."Albertine et la mort Comment, en effet, Ă©viter de parler de la mort, dans un service de soins palliatifs ? Ne pas sây confronter ? Bien avant la lĂ©galisation, Corinne Van Oost a dĂ», une fois, se rĂ©soudre Ă ce geste dâeuthanasie. Elle sâappelait Albertine 2, et de cette jeune femme, au beau visage calme, elle a gardĂ© la photo dans son portefeuille. Albertine Ă©tait atteinte dâune maladie neurodĂ©gĂ©nĂ©rative dramatique, amenant Ă une paralysie progressive de tous les muscles. Elle a commencĂ© Ă avoir du mal Ă avaler, Ă ne plus pouvoir sâexprimer. Elle rĂ©clamait de mourir. "Cela me heurtait. Je lui proposais alors de lâendormir, pour calmer ses douleurs. Elle refusait. Elle tenait Ă rester consciente". Au bout de quelques mois, Albertine ne pouvait plus communiquer quâen clignant des paupiĂšres. Corinne a acceptĂ© de la faire partir. "Je ne pouvais demeurer sur la rive Ă la regarder. Jâai acceptĂ© de partager sa souffrance. Câest le sens du mot compassion."Car il est douloureux, ce geste, pour le mĂ©decin. CompliquĂ©. "On ne dit pas oui, sans rĂ©flĂ©chir, Ă une demande d'euthanasie. Câest un cheminement, plein de doutes, dans le dialogue avec le patient, mais aussi avec ses proches." Comment faire par exemple, face Ă un patient qui rĂ©clame lâeuthanasie, et des proches qui y sont opposĂ©s? Comment obtempĂ©rer quand lâĂ©pouse, ou les enfants refusent la dĂ©cision de lâĂȘtre aimĂ© ? Deux visions sâopposent. En Flandre, oĂč la notion dâautonomie est souveraine â et oĂč lâon pratique beaucoup plus lâeuthanasie- câest la volontĂ© du patient qui prime. En Wallonie, câest plus compliqué⊠"Personnellement, je rĂ©pugne Ă pratiquer une euthanasie contre lâavis des proches. Je tente de trouver un consensus. Lâeuthanasie nâest pas un geste dâurgence, qui se dĂ©cide, comme ça sur un coup de tĂȘte. Câest une dĂ©cision qui se prend dans la paix." En ce moment, dans le service, il y a un patient, justement, qui, rĂ©guliĂšrement "rĂ©clame une piqĂ»re pour mourir".Les enfants sont paniquĂ©s Ă cette idĂ©e. Lui, impossible de savoir sâil est vraiment rĂ©solu Ă partir, maintenant, tout de suite il nâa toujours pas fait sa demande par Ă©crit. "Câest la preuve que sa rĂ©solution n'est pas aussi nette que cela." Pour lâinstant, pour cet homme, lâĂ©quipe attend. EspĂ©rant quâun consensus se fera. Parfois, il ne se fait pas. Et la mort survient, sur fonds de dĂ©chirement familiaux, laissant ceux qui restent, brisĂ©s. Le dĂ©tenu qui voulait se faire euthanasier Comment Ă©galement traiter la "souffrance psychique", invoquĂ©e par beaucoup de patients, raison suffisante en Belgique pour justifier une demande de mourir? Le mĂ©decin Ă©voque ce vieil homme, qui en parle, souvent, de mourir. Il se sent seul. Son fils est lĂ , pourtant, il lâa mĂȘme fait venir habiter Ă la maison, mais il travaille, beaucoup. La journĂ©e est longue et le vieil homme suite aprĂšs la publicitĂ© Parfois, certains patients rĂ©clament une euthanasie, seulement parce qu'ils ont peur d'ĂȘtre une charge pour leurs proches. Ce n'est pas une raison suffisante pour moi. L'euthanasie ne doit ĂȘtre pratiquĂ©e que lorsque nous sommes allĂ©es au bout de ce que nous pouvons tenter, pour soulager la souffrance physique et morale".En septembre 2014, lâhistoire de ce dĂ©tenu rĂ©clamant une euthanasie car il ne pouvait ĂȘtre transfĂ©rĂ© aux Pays-Bas et recevoir un traitement adĂ©quat a fait scandale. Lâhomme a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© dans un hĂŽpital, mais son cas continue Ă agiter la communautĂ© mĂ©dicale mĂȘme Wim Distelmans, pourtant fervent dĂ©fenseur de lâeuthanasie, a refusĂ© de pratiquer le geste, considĂ©rant quâil n'Ă©tait pas justifiĂ© "Lâeuthanasie ne doit pas servir Ă combler les failles de notre sociĂ©tĂ©", a-t-il dĂ©clarĂ© Ă la tĂ©lĂ©vision belge. Les refus sont parfois mal vĂ©cus. Corinne se rappelle ainsi ce couple fusionnel. La femme Ă©tait atteinte de sclĂ©rose, invalidante. Le mari sâen Ă©tait toujours occupĂ©e, avec dĂ©vouement. Mais il est tombĂ© malade. Un cancer. Son Ă©tat sâest dĂ©gradĂ©. Il a alors demandĂ© une euthanasie, Ă laquelle lâĂ©quipe a consenti. "Au dernier moment, sa femme a voulu faire de mĂȘme. J'ai refusĂ©. Beaucoup disent vouloir mourir juste aprĂšs la mort d'un conjoint, par peur d'avoir Ă affronter le deuil. Jâavais lâimpression que câĂ©tait son cas." Les enfants, eux, soutenaient leur mĂšre. Entre lâĂ©quipe mĂ©dicale et eux, la relation est devenue intenable. "Ils ont trouvĂ© un autre confrĂšre pour pratiquer l'acteâŠ" Je veux mourir de ma mort... non de la mort des mĂ©decins. Je veux mourir de la mort de ma vie", disait le poĂšte Rainer Maria qui meurt aujourdâhui "de la mort de sa vie" ? La mission parlementaire conduite par Jean Leonetti et Alain Claeys, va vraisemblablement permettre dâoffrir aux patients une "sĂ©dation profonde". Corinne Van Oost sâinterroge "Câest comme si on pensait tout rĂ©gler avec ce mot la sĂ©dation. Calmer la souffrance, mourir sans sâen rendre compte. Mais quâest quâon sait du sommeil du mourant ? A-t-il des cauchemars ? Se rĂ©veille-t-il, pendant une infime fraction de seconde, au moment de passer de lâautre cĂŽtĂ©. Aujourd'hui, en soins palliatifs, la plupart des gens meurent en dormant. Souvent seuls. C'est la rĂ©alitĂ©. C'est compliquĂ©, dans nos sociĂ©tĂ©s actuelles, de rester au chevet d'un proche pendant longtemps nuit et jour."Pour certains, demander l'euthanasie, programmer leur mort, c'est juste une façon d'ĂȘtre sĂ»rs d'ĂȘtre entourĂ©s, au moment de ce grand passage. Est ce si terrible que de rĂ©clamer cela?" Doan Bui 1 MĂ©decin catholique, pourquoi je pratique lâeuthanasie. Corinne Van Oost, avec JosĂ©phine Bataille. Presses de la Renaissance. 2 Le prĂ©nom a Ă©tĂ© changĂ©
BlessĂ©ealors quâelle tentait dâempĂȘcher Kevin dâachever le pĂšre Krzysztof Ă Nice dimanche 24 avril, sĆur Marie-Claude raconte la scĂšne à « Nice-Matin ».
Par Yucheng, Ătats-Unis Il y a quelque temps, une cheffe de groupe, SĆur Li, a proposĂ© Wang Mei pour lâabreuvement. LâhumanitĂ© de Wang Mei me paraissait assez mĂ©diocre. Toujours nĂ©gligente dans son devoir, elle ne protĂ©geait pas le travail de la maison de Dieu. Jâai donc demandĂ© Ă SĆur Li son Ă©valuation de Wang Mei pour voir comment elle Ă©tait maintenant. Si elle Ă©tait encore irresponsable dans son devoir, elle ne conviendrait pas pour abreuver les nouveaux arrivants. SĆur Li a dit Wang Mei accorde de lâimportance Ă sa rĂ©putation et Ă son statut, mais elle a une attitude correcte dans son devoir et je ne vois pas de problĂšmes majeurs. » Je me suis sentie soulagĂ©e dâentendre ça. Si SĆur Li avait examinĂ© la question, Wang Mei devait ĂȘtre la personne quâil fallait pour abreuver. Quelques jours plus tard, jâavais tout arrangĂ© pour le transfert de rĂŽle et jâavais tout prĂ©parĂ© pour que Wang Mei commence ce travail. Câest alors que SĆur Li mâa dit que Wang Mei, qui sâĂ©tait montrĂ©e nĂ©gligente et nâacceptait pas la vĂ©ritĂ©, avait Ă©tĂ© dĂ©mise de son devoir. ChoquĂ©e de lâapprendre, jâai pensĂ© Nâas-tu pas dit quâil nây avait pas de problĂšmes majeurs quand tu lâas Ă©valuĂ©e il y a quelques jours ? Ăa ne fait que quelques jours, comment a-t-elle pu ĂȘtre renvoyĂ©e comme ça ? » Je nâai pas pu mâempĂȘcher de me plaindre Tu nâes vraiment pas fiable ! Je tâai demandĂ© de te renseigner sur elle et tu as bĂąclĂ© le travail. Ăa montre un sĂ©rieux manque de discernement de ta part. Choisir la mauvaise personne a aussi eu une incidence sur mon devoir. Cela ne va-t-il pas retarder les choses ? Comment peux-tu ĂȘtre cheffe de groupe avec ce calibre ? » Plus jây pensais, plus jâĂ©tais en colĂšre, mais je ne comprenais pas la situation rĂ©elle et je continuais Ă porter des jugements sur SĆur Li. Sur le coup, jâai vraiment eu envie de lui envoyer un message pour lui demander ce qui nâallait pas chez elle, si elle avait eu le moindre discernement sur cette personne, pourquoi elle ne sâĂ©tait pas bien renseignĂ©e et comment elle pouvait ĂȘtre aussi irresponsable. Mais je me suis dit Envoyer un message sous le coup de la colĂšre, ce nâest pas raisonnable. » Je ne lâai donc pas fait, et on est passĂ© Ă autre chose. Lors dâune rĂ©union, un frĂšre a Ă©changĂ© sur la maniĂšre dont il se mettait en colĂšre et blĂąmait les gens quand les choses nâallaient pas comme il voulait. Il a cherchĂ© la vĂ©ritĂ©, rĂ©flĂ©chi et appris sur lui-mĂȘme. Jâai eu honte en lâĂ©coutant parler, et je nâai pu mâempĂȘcher de repenser Ă ma propre expĂ©rience. Ce frĂšre et moi nâĂ©tions-nous pas dans la mĂȘme situation ? Lui a obtenu des rĂ©sultats parce quâil a cherchĂ© la vĂ©ritĂ© et en a tirĂ© une leçon. Et moi, pourquoi ne tirais-je aucune leçon ? Jâai donc portĂ© cette question devant Dieu dans la priĂšre, en cherchant la leçon Ă en tirer. Une fois, pendant mes dĂ©votions, jâai lu la parole de Dieu LâobĂ©issance aux orchestrations et aux arrangements de Dieu est la leçon la plus fondamentale dâobĂ©issance Ă Dieu. Les orchestrations et les arrangements de Dieu, ce sont les personnes, les Ă©vĂ©nements et les choses â et les diverses situations â que Dieu fait advenir autour de toi. Alors, comment dois-tu rĂ©agir face Ă ces situations ? Le plus fondamental, câest lâacceptation de Dieu. Que signifie âlâacceptation de Dieuâ ? Se plaindre et rĂ©sister, est-ce lâacceptation de Dieu ? Trouver des excuses et trouver des fautes, est-ce lâacceptation de Dieu ? Non. Alors, comment lâacceptation de Dieu doit-elle ĂȘtre mise en pratique ? Il sâagit dâabord de se dĂ©tendre, de chercher la vĂ©ritĂ© et de pratiquer lâobĂ©issance. Ne pas invoquer des excuses ou des raisons. Ne pas essayer de deviner ni de dĂ©terminer qui a raison et qui a tort. Et ne pas dĂ©terminer quelle erreur est la plus grave et laquelle lâest moins. Toujours analyser ces choses, est-ce une attitude dâacceptation de Dieu ? Est-ce une attitude dâobĂ©issance ? Non. Ce nâest pas lâattitude dâobĂ©issance Ă Dieu, ce nâest pas lâattitude dâacceptation de Dieu, ce nâest pas lâattitude dâacceptation de la domination et des arrangements de Dieu. Lâacceptation de Dieu, câest un aspect des principes pour pratiquer lâobĂ©issance Ă Dieu. [âŠ] Ne pas analyser le bien ou le mal, ne pas rationaliser, ne pas critiquer les gens, ne pas couper les cheveux en quatre, ne pas analyser les raisons objectives, et ne pas analyser ni examiner en utilisant lâesprit humain ce sont lĂ autant de dĂ©tails, et câest accepter de Dieu. Et la façon de mettre cela en pratique est de commencer par obĂ©ir. MĂȘme si vous avez des notions ou si les choses ne sont pas claires pour vous, obĂ©issez, ne trouvez pas des excuses et ne vous rebellez pas ; et aprĂšs avoir obĂ©i, cherchez la vĂ©ritĂ© priez Dieu et cherchez » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Dieu dit que dans une situation donnĂ©e, que lâon comprenne ou non Sa volontĂ©, on ne doit pas aller Ă son encontre ou essayer de se justifier. On doit avoir une attitude dâacceptation et dâobĂ©issance envers la situation oĂč Dieu nous met. Ce comportement consiste Ă accepter les choses comme venant de Dieu. Quand il arrivait quelque chose, je le considĂ©rais toujours de lâextĂ©rieur, analysant le bien et le mal, me plaignant de ceci et de cela. Je pensais toujours que la cheffe de groupe Ă©tait nĂ©gligente et irresponsable dans son devoir, ayant une incidence sur mon travail et me faisant faire beaucoup dâefforts inutiles. Dans cette situation, mon attitude nâa pas Ă©tĂ© dâaccepter les choses de Dieu, quelles quâelles soient. Mon cĆur ne sâest pas apaisĂ© et je nâai pas cherchĂ© la volontĂ© de Dieu ni rĂ©flĂ©chi aux leçons Ă en tirer. Au contraire, jâai reportĂ© mon attention sur la cheffe de groupe. Je voulais me mettre en colĂšre, la reprendre et critiquer ses dĂ©fauts. Ce nâĂ©tait pas une attitude dâacceptation ou dâobĂ©issance ! Les difficultĂ©s rencontrĂ©es dans le travail Ă ce moment-lĂ vraiment la faute des autres ? Certaines nâavaient-elles pas quelque chose Ă voir avec moi ? Jâavais toujours rĂ©sistĂ© aux situations dans lesquelles Dieu me mettait. MĂȘme si, en fin de compte, les problĂšmes Ă©taient entiĂšrement la faute des autres, et que je nâĂ©tais pas responsable, les autres pouvaient rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes, en tirer des leçons et grandir. Or moi, quâest-ce que jây gagnais, Ă part une colĂšre refoulĂ©e Ă lâintĂ©rieur de moi ? Câest Ă ce moment-lĂ que jâai compris que jâĂ©tais dans un mauvais Ă©tat. Je ne pouvais pas continuer Ă analyser et Ă enquĂȘter, Ă me demander qui a raison et qui a tort. Je devais me calmer, chercher la vĂ©ritĂ© et en tirer une leçon. Au cours de ma rĂ©flexion, jâai lu un passage de la parole de Dieu. Si tu ne dĂ©pends pas de Dieu, que tu ne te tournes pas vers Dieu quand tu accomplis ton devoir et que tu fais simplement ce que tu veux, alors tu auras beau ĂȘtre intelligent, il y aura toujours des moments oĂč tu Ă©choueras. Les gens qui sont volontaires sont susceptibles de suivre leurs propres idĂ©es, alors ont-ils un cĆur qui craint Dieu ? Les gens qui sont trop volontaires ont oubliĂ© Dieu, et ils ont oubliĂ© lâobĂ©issance Ă Dieu ; ce nâest que lorsque des choses arrivent, lorsque ces gens se sont heurtĂ©s Ă un mur ou nâont rien accompli, quâil leur vient Ă lâesprit quâils nâont pas obĂ©i Ă Dieu et ne Lâont pas priĂ©. De quoi sâagit-il ? Ils nâont pas Dieu dans leur cĆur. Leurs actions indiquent que Dieu est absent de leur cĆur, que tout vient dâeux-mĂȘmes. Et donc, que tu fasses du travail dans lâĂglise, que tu accomplisses un devoir, que tu tâoccupes de certaines affaires extĂ©rieures ou que tu traites des affaires dans ta vie personnelle, il faut quâil y ait des principes dans ton cĆur, il faut quâil y ait un Ă©tat spirituel. Quel Ă©tat ? âQuoi quâil en soit, avant que quelque chose ne mâarrive, je dois prier, je dois obĂ©ir Ă Dieu, je dois obĂ©ir Ă Sa domination, tout est arrangĂ© par Dieu et quand quelque chose arrive, je dois chercher la volontĂ© de Dieu, je dois avoir cet Ă©tat dâesprit, je ne dois pas faire mes propres plans.â AprĂšs avoir vĂ©cu ainsi pendant un certain temps, les gens verront la domination de Dieu dans de nombreuses choses. Si tu as toujours tes propres plans, tes propres considĂ©rations, tes propres souhaits, tes propres motifs Ă©goĂŻstes et tes propres dĂ©sirs, alors ton cĆur sâĂ©loignera involontairement de Dieu, tu seras aveugle Ă la façon dont Dieu agit et la plupart du temps, Dieu te sera cachĂ©. Nâaimes-tu pas faire les choses selon tes propres idĂ©es ? Ne fais-tu pas tes propres plans ? Tu as un esprit, tu es Ă©duquĂ©, bien informĂ©, tu as la capacitĂ© et la mĂ©thodologie pour faire les choses, tu peux les faire par toi-mĂȘme, tu es bon, tu nâas pas besoin de Dieu, et donc Dieu te dit âVas donc faire les choses par toi-mĂȘme, et prends la responsabilitĂ© de savoir si ça se passe bien ou pas, Je mâen fiche.â Dieu ne te prĂȘte aucune attention. Quand les gens suivent leur propre volontĂ© de cette maniĂšre dans leur foi en Dieu et croient ce quâils veulent, quelle est la consĂ©quence ? Ils ne peuvent jamais faire lâexpĂ©rience de la domination de Dieu, ils ne peuvent jamais voir la main de Dieu, ils ne peuvent jamais ressentir lâĂ©clairage et lâillumination du Saint-Esprit, ils ne peuvent pas ressentir la direction de Dieu. Et que se passera-t-il avec le temps ? Leurs cĆurs sâĂ©loigneront de plus en plus de Dieu, et il y aura des rĂ©percussions. Quelles rĂ©percussions ? Ils douteront de Dieu et Le renieront. Il ne sâagit pas seulement de douter de Dieu et de Le renier quand Dieu nâa pas de place dans le cĆur des gens et quâils font ce quâils veulent sur le long terme, une habitude sâinstalle quand quelque chose leur arrivera, la premiĂšre chose quâils feront sera de rĂ©flĂ©chir Ă leur propre solution, Ă leurs propres objectifs, Ă leurs propres motivations et Ă leurs propres projets. Ils se demanderont dâabord si cela leur est bĂ©nĂ©fique si câest le cas, ils le feront, et si ce nâest pas le cas, ils ne le feront pas ; cela deviendra leur habitude dâaller directement suivre cette voie. Et comment Dieu traitera-t-Il de telles personnes si elles continuent Ă agir ainsi, sans se repentir ? Dieu ne leur prĂȘtera aucune attention et les mettra de cĂŽtĂ© » Les principes de la pratique pour la soumission Ă Dieu », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir rĂ©flĂ©chi aux paroles de Dieu, jâai vu plus clairement mon propre Ă©tat. DâaprĂšs la parole de Dieu, les gens particuliĂšrement tĂȘtus commencent souvent par planifier et Ă©tablir des rĂšgles, calculant ce quâils vont faire et comment. Ils Ă©laborent et finalisent dâabord un plan avant de lâexĂ©cuter en utilisant les moyens et les mĂ©thodes quâils ont choisis, tout en exigeant des autres quâils suivent la mĂȘme mĂ©thode quâeux. On dirait quâils font leur devoir, protĂšgent le travail de lâĂglise et sâassurent que leur travail donne de bons rĂ©sultats. Mais quand ils font les choses ainsi, leur propre volontĂ© et leurs rĂšgles prennent trop de place. Ils ne prient pas ou ne cherchent pas assez Dieu, une attitude dâobĂ©issance leur fait dĂ©faut et ils ne prennent pas soin de suivre le Saint-Esprit qui les guide. Ils font tout selon leurs propres dĂ©sirs et voudraient que les choses Ă©voluent comme ils le souhaitent. Dieu dit que leur propre dĂ©sir est trop fort et quâil nây a pas de place pour Lui dans leur cĆur. Il dĂ©teste et ignore ce genre de personnes. RĂ©flĂ©chir Ă mon comportement mâa montrĂ© que jâavais Ă©tĂ© trop tĂȘtue dans mes devoirs et quâen toute circonstance, dĂšs que ma dĂ©cision Ă©tait prise, rien ne pouvait me faire changer dâavis. Jâobligeais mĂȘme les autres Ă se plier Ă mes exigences, et sâils ne le faisaient pas, je pensais quâils nâĂ©taient pas loyaux dans leur devoir et ne protĂ©geaient pas le travail de lâĂglise. Câest ce qui sâĂ©tait passĂ© avec lâĂ©valuation de la personne chargĂ©e de lâabreuvement. Ayant entendu dire quâil nây avait pas de problĂšmes avec Wang Mei, jâai planifiĂ© un moment pour quâelle vienne commencer ce travail. La cheffe de groupe mâa alors dit que Wang Mei avait Ă©tĂ© dĂ©mise de son devoir, semant la confusion dans mes plans. Jâavais envie de mâĂ©nerver. Mon cĆur Ă©tait rempli de plaintes. Jâai jugĂ© que la cheffe de groupe manquait de calibre et de discernement, quâelle Ă©tait irresponsable. Jâai Ă©tĂ© prĂ©somptueuse, arrogante et irrationnelle ! MĂȘme si ce que je planifie et dĂ©cide est correct et que ça ne viole pas les principes de la maison de Dieu, les choses ne se passent pas toujours comme je veux et nâont pas toujours lâeffet escomptĂ©. Je fais des plans et des arrangements, câest mon devoir, et câest ainsi que je dois coopĂ©rer, mais je ne dois pas prĂ©destiner le rĂ©sultat final. Je dois faire ce que je peux, puis me soumettre Ă la volontĂ© de Dieu. Quant Ă savoir si une affaire peut ĂȘtre menĂ©e Ă bien au bout du compte, quelles variables entrent en jeu et comment elle Ă©volue, je dois suivre le Saint-Esprit qui me guide et me soumettre Ă la rĂšgle de Dieu. Câest le sens de la raison que je devrais avoir. Ce que je faisais relevait entiĂšrement de ma propre volontĂ©, je ne connaissais pas la souverainetĂ© de Dieu et il nây avait pas de place pour Dieu dans mon cĆur. Comment pouvais-je ĂȘtre illuminĂ©e et guidĂ©e par Dieu en accomplissant mon devoir de cette façon ? Plus tard, jâai lu un autre passage de la parole de Dieu qui mâa donnĂ© un aperçu du tempĂ©rament corrompu qui se cache derriĂšre ma colĂšre. Dieu dit Si, au fond de toi, tu comprends vraiment la vĂ©ritĂ©, alors tu sauras pratiquer la vĂ©ritĂ© et obĂ©ir Ă Dieu et tu tâengageras naturellement sur le chemin de la poursuite de la vĂ©ritĂ©. Si le chemin que tu empruntes est le bon et quâil est conforme Ă la volontĂ© de Dieu, alors lâĆuvre du Saint-Esprit ne te quittera pas auquel cas il y aura de moins en moins de risque que tu trahisses Dieu. Sans la vĂ©ritĂ©, il est facile de faire le mal, et tu le commettras involontairement. Par exemple, si tu as un tempĂ©rament arrogant et vaniteux, alors le fait de te dire de ne pas tâopposer Ă Dieu ne fait aucune diffĂ©rence, tu ne peux pas tâen empĂȘcher, câest incontrĂŽlable pour toi. Tu ne le ferais pas exprĂšs ; tu le ferais sous la domination de ta nature arrogante et vaniteuse. Ton arrogance et ta vanitĂ© te feraient mĂ©priser Dieu et te Le feraient voir comme nâayant pas dâimportance ; elles feraient que tu tâexaltes, que tu te mettes constamment en valeur ; elles te feraient mĂ©priser les autres, elles ne laisseraient dans ton cĆur que toi-mĂȘme ; ton arrogance et ta vanitĂ© te priveraient de la place de Dieu dans ton cĆur et elles finiraient par tâamener Ă prendre la place de Dieu et Ă exiger que les gens se soumettent Ă toi, et elles te feraient vĂ©nĂ©rer tes propres pensĂ©es, idĂ©es tes notions comme la vĂ©ritĂ©. Tant de mal est perpĂ©trĂ© par les hommes sous la domination de leur nature arrogante et vaniteuse ! » Ce nâest quâen cherchant la vĂ©ritĂ© quâon peut rĂ©aliser un changement de tempĂ©rament », dans Sermons de Christ des derniers jours. En mĂ©ditant les paroles de Dieu, jâai acquis une certaine comprĂ©hension de ma nature arrogante et vaniteuse. Il sâavĂšre que je nâagissais pas seulement selon mes propres dĂ©sirs, mais quâun tempĂ©rament arrogant se cachait derriĂšre tout ça. En repensant Ă ce problĂšme survenu au travail, je nâen ai pas compris le contexte et je nâai pas demandĂ© si la cheffe de groupe avait des difficultĂ©s. Je me suis contentĂ©e de me plaindre et de la juger sans discernement. En la mĂ©prisant et en la jugeant, je la rabaissais pour me mettre en valeur, me mettant sur un piĂ©destal et pensant ĂȘtre meilleure que les autres, comme si jâavais une comprĂ©hension spĂ©ciale de la vĂ©ritĂ© que les autres nâavaient pas, comme si jâĂ©tais la seule Ă ĂȘtre consciencieuse et que tous les autres Ă©taient nĂ©gligents, comme si jâĂ©tais lucide sur tout et que les autres Ă©taient aveugles. Je croyais ĂȘtre maĂźtresse de la vĂ©ritĂ© alors que les autres en Ă©taient les serviteurs. Je rappelais aux autres de rĂ©flĂ©chir Ă leurs actions, de se connaĂźtre et dâen tirer des leçons, comme si moi, je nâĂ©tais pas corrompue par Satan et que je nâavais pas besoin de rĂ©flexion ni dâintrospection. Ă mes yeux, les autres Ă©taient incompĂ©tents et insupportables et moi, jâĂ©tais la meilleure. Donc quand un problĂšme survenait dans le devoir de quelquâun, je me disais toujours Tu appelles ça faire ton devoir ? Es-tu seulement capable de faire ton devoir ? Tu nâes quâun Ă©lĂ©ment perturbateur », et je le traitais de ceci et de cela. Je ne pensais quâĂ blĂąmer et Ă rĂ©primander les autres. En fait, jâavais moi-mĂȘme commis un grand nombre de ces erreurs en remplissant mes devoirs, jâĂ©tais tombĂ©e dans les mĂȘmes Ă©cueils, alors Ă©tais-je vraiment meilleure quâeux ? On a tous des fois oĂč on nâarrive pas Ă percer Ă jour une personne ou une situation, et on a inĂ©vitablement des lacunes et des manquements en faisant son devoir. Tant que les problĂšmes et les dĂ©viations sont dĂ©tectĂ©s Ă temps et quâils sont continuellement revus et corrigĂ©s, il ne sâagit que dâun processus de croissance. En fait, je commets souvent des erreurs dans mon devoir, comme dans lâincident avec Wang Mei. Je savais avec clairvoyance que le comportement de cette personne avait Ă©tĂ© mauvais dans le passĂ©, mais quand SĆur Li a dit quâil nây avait pas eu de problĂšmes avec son comportement rĂ©cemment, jâai renoncĂ© Ă la clairvoyance. Je suis partie du principe que SĆur Li avait Ă©valuĂ© la situation et quâil nây avait pas de problĂšme. Au bout du compte, il y en avait bien un, et il est clair que jâavais ma part de responsabilitĂ©, mais jâai rejetĂ© la faute sur SĆur Li en la montrant du doigt, en la jugeant et en la critiquant. Quelle arrogance de ma part et quel manque total dâhumanitĂ© ! Faire son devoir de cette façon non seulement nâaide pas les autres ou ne les Ă©difie pas, mais risque de les restreindre et de les rendre nĂ©gatifs. Face Ă un problĂšme, je ne considĂ©rais pas les choses ou les gens conformĂ©ment Ă la parole de Dieu. Je me plaignais, jâĂ©tais impulsive et je rĂ©primandais les gens, câest tout. Je pensais mĂȘme que câĂ©tait ça ĂȘtre responsable, que câĂ©tait un acte de justice et que je protĂ©geais le travail de lâĂglise. Cette façon de voir Ă©tait absolument absurde ! Plus tard, jâai lu un passage de la parole de Dieu qui a illuminĂ© mon cĆur. Dieu Tout-Puissant dit Une fois quâun homme a un statut, il a souvent du mal Ă contrĂŽler son humeur, et donc il aura le plaisir de saisir les occasions pour exprimer son mĂ©contentement et donner libre cours Ă ses Ă©motions ; il se mettra souvent en colĂšre sans raison apparente afin de rĂ©vĂ©ler sa capacitĂ© et de faire savoir aux autres que son statut et son identitĂ© sont diffĂ©rents de ceux des gens ordinaires. Bien sĂ»r, les personnes corrompues sans aucun statut perdent souvent le contrĂŽle aussi. Leur colĂšre est souvent causĂ©e par des dommages Ă leurs intĂ©rĂȘts privĂ©s. Afin de protĂ©ger leur propre statut et leur propre dignitĂ©, elles se dĂ©fouleront souvent de leurs Ă©motions et rĂ©vĂ©leront leur nature arrogante. Lâhomme Ă©clate de colĂšre et laisse libre cours Ă ses Ă©motions pour dĂ©fendre et maintenir lâexistence du pĂ©chĂ©, et ces actions sont les moyens par lesquels lâhomme exprime son insatisfaction ; elles regorgent dâimpuretĂ©s, de machinations et dâintrigues, de la corruption et de la mĂ©chancetĂ© de lâhomme et, plus que tout autre chose, elles regorgent des ambitions et des dĂ©sirs effrĂ©nĂ©s de lâhomme. Quand la justice entre en collision avec la mĂ©chancetĂ©, la colĂšre de lâhomme nâĂ©clate pas pour dĂ©fendre lâexistence de la justice ou pour la maintenir ; au contraire, lorsque les forces de la justice sont menacĂ©es, persĂ©cutĂ©es et attaquĂ©es, lâattitude de lâhomme est dâignorer, de fuir ou de se dĂ©rober. Toutefois, face aux forces du mal, lâattitude de lâhomme est celle du service, de la soumission et de lâaccommodation. Par consĂ©quent, le dĂ©foulement de lâhomme est une Ă©vasion pour les forces du mal, une expression de la conduite perverse, effrĂ©nĂ©e et imparable de lâhomme charnel. Quand Dieu manifestera Sa colĂšre, cependant, toutes les forces du mal seront arrĂȘtĂ©es, tous les pĂ©chĂ©s qui causent du tort Ă lâhomme seront rĂ©frĂ©nĂ©s, toutes les forces hostiles qui obstruent lâĆuvre de Dieu seront dĂ©voilĂ©es, sĂ©parĂ©es et maudites, tandis que tous les complices de Satan qui sâopposent Ă Dieu seront punis et extirpĂ©s. Par contre, lâĆuvre de Dieu se dĂ©roulera sans aucun obstacle, le plan de gestion de Dieu continuera Ă se dĂ©velopper Ă©tape par Ă©tape comme prĂ©vu et les Ă©lus de Dieu seront libres de la perturbation et de la tromperie de Satan, tandis que ceux qui suivent Dieu jouiront de la direction et de lâapprovisionnement de Dieu dans un environnement tranquille et paisible. La colĂšre de Dieu est une sauvegarde empĂȘchant toutes les forces du mal de se multiplier et de se dĂ©chaĂźner, et elle est aussi une sauvegarde qui protĂšge lâexistence et la propagation de toutes choses qui sont justes et positives et les garde Ă©ternellement de la suppression et de la subversion » Dieu Lui-mĂȘme, lâUnique II », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. AprĂšs cette lecture, jâai compris que pour protĂ©ger leurs intĂ©rĂȘts personnels et satisfaire leurs dĂ©sirs et leurs ambitions, les gens sâĂ©nervent sans rĂ©flĂ©chir Ă la raison, au principe ou Ă lâobjet de leur colĂšre. Ce sont lĂ des formes dâimpulsivitĂ© et lâexpression dâun tempĂ©rament corrompu, et elles dĂ©goĂ»tent Dieu. Mais si on peut voir les choses et les gens conformĂ©ment Ă la parole de Dieu, aimer ce que Dieu aime, haĂŻr ce que Dieu hait, dĂ©tester ces malfaiteurs perturbateurs et ces antĂ©christs pour protĂ©ger le travail de lâĂglise et les intĂ©rĂȘts des Ă©lus de Dieu, alors câest lâexpression dâune humanitĂ© normale et la manifestation dâun sens de la justice. MĂȘme si vous parlez parfois un peu trop fermement ou sĂ©vĂšrement, tant que tout ce que vous dites repose sur la parole de Dieu, ne contredit pas les faits, ne donne pas libre cours Ă la rancune personnelle et nâest pas embrouillĂ© par vos propres motivations, alors les gens seront convaincus et verront plus clairement lâessence des problĂšmes, et vos commentaires auront des rĂ©sultats positifs. Ce type de colĂšre est une chose positive et nâest pas lâexpression dâun tempĂ©rament corrompu. Se fĂącher en raison dâun tempĂ©rament corrompu, câest diffĂ©rent. La colĂšre est alors contaminĂ©e par des motivations personnelles et des objectifs inavouables. Certains se fĂąchent pour protĂ©ger leur rĂ©putation et leur statut, dâautres pour quâon les Ă©coute et quâon agisse selon leurs souhaits, dâautres encore parce que leurs intĂ©rĂȘts personnels ont Ă©tĂ© lĂ©sĂ©s. Tout ça, ce sont des formes dâimpulsivitĂ© et de corruption. Quand jâai constatĂ© des problĂšmes dans les devoirs des autres qui retardaient la progression, ma colĂšre semblait ainsi motivĂ©e par le dĂ©sir de protĂ©ger le travail de lâĂglise, alors quâen fait, jâĂ©tais en colĂšre parce que les gens ne rĂ©pondaient pas Ă mes exigences et que je devais me donner beaucoup de mal inutilement. Jâen profitais pour donner libre cours Ă mon sentiment dâinsatisfaction, jugeant et rabaissant intĂ©rieurement les gens. CâĂ©tait clairement de lâimpulsivitĂ© qui se manifestait. Jâai souvent rencontrĂ© ce genre de situation dans lâexercice normal de mes devoirs. Avant, ma nature prenait le dessus, mais je nây prĂȘtais pas beaucoup dâattention. Alors, comment agir si, Ă lâavenir, je rencontre cette situation ? Pendant mes dĂ©votions, jâai lu un passage de la parole de Dieu. Quand il sâagit de travail ou de dĂ©brouille, Ă tout le moins nâenfreins pas les normes de conscience et de bon sens. Implique-toi avec les gens et interagis avec eux â et gĂšre les choses â selon le sens dâune humanitĂ© normale. Naturellement, le mieux est de pratiquer selon les principes de vĂ©ritĂ© exigĂ©s par Dieu, câest ce qui satisfait Dieu. Quels sont donc les principes de vĂ©ritĂ© exigĂ©s par Dieu ? Que les gens comprennent la faiblesse et la nĂ©gativitĂ© des autres lorsquâils sont faibles et nĂ©gatifs, que les gens soient conscients de la douleur et des difficultĂ©s des autres, puis sâenquiĂšrent de ces choses, offrent aide et soutien et lisent les paroles de Dieu pour les aider rĂ©soudre leurs problĂšmes, afin quâils ne soient plus faibles et quâils soient amenĂ©s devant Dieu. Est-ce une façon de pratiquer qui est conforme aux principes ? Pratiquer ainsi est conforme aux principes. Naturellement, les relations de ce type sont Ă©galement conformes aux principes. Lorsque des personnes sont dĂ©libĂ©rĂ©ment indiscrĂštes et perturbatrices, ou dĂ©libĂ©rĂ©ment nĂ©gligentes et superficielles dans lâaccomplissement de leurs devoirs, si tu vois cela, que tu es capable de gĂ©rer les choses selon les principes et que tu peux leur signaler ces choses, les rĂ©primander et les aider, alors câest conforme aux principes de la vĂ©ritĂ©. Si tu fermes les yeux ou que tu es tolĂ©rant envers eux, que tu les couvres, et que tu vas mĂȘme jusquâĂ leur dire des choses gentilles, les fĂ©liciter et les applaudir, en les manipulant avec des paroles fausses, alors de tels comportements, de telles façons dâinteragir avec les gens, de traiter les problĂšmes et de gĂ©rer les problĂšmes, sont clairement en contradiction avec les principes de la vĂ©ritĂ© et nâont aucun fondement dans les paroles de Dieu auquel cas ces comportements et ces façons dâinteragir avec les gens et de gĂ©rer les problĂšmes sont clairement illĂ©gitimes » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 4, Les responsabilitĂ©s des dirigeants et des ouvriers. AprĂšs avoir lu la parole de Dieu, jâai compris que la façon dâagir la meilleure et la plus rationnelle quand surviennent des problĂšmes dans les devoirs des autres, câest dâĂ©changer sur la vĂ©ritĂ©, de les aider et de les soutenir. Si les autres retardent le travail Ă cause dâun oubli momentanĂ© ou parce quâils nâont pas saisi les principes, il faut patiemment Ă©changer avec eux sur la vĂ©ritĂ©, tout en leur expliquant clairement les principes pour leur faire prendre conscience des problĂšmes qui existent et leur montrer un chemin. Certains sont toujours nĂ©gligents dans leur devoir. Ils ne portent pas de fardeaux, des problĂšmes surgissent sans arrĂȘt et ce qui pourrait ĂȘtre bien fait ne lâest pas. Les mĂȘmes problĂšmes reviennent sans cesse, affectant le travail et causant mĂȘme parfois de graves dommages. On peut alors traiter ce genre dâindividu, lâĂ©monder ou le mettre en garde. Sâil ne change pas malgrĂ© plusieurs remontrances, il peut ĂȘtre rĂ©affectĂ© ou renvoyĂ©. Mais, quelle que soit la situation, il faut toujours considĂ©rer et traiter les questions selon la parole de Dieu et les principes de la vĂ©ritĂ©, et non agir sous lâemprise de lâimpulsivitĂ© ou dâun tempĂ©rament corrompu. AprĂšs avoir mĂ©ditĂ© ces choses-lĂ , mon cĆur sâest Ă©clairci et jâai trouvĂ© un chemin de pratique. Sur ce, je suis allĂ©e trouver SĆur Li pour comprendre ce qui sâĂ©tait passĂ© avec Wang Mei. Ce nâest quâĂ ce moment-lĂ que jâai appris que Wang Mei avait auparavant rempli des devoirs dans dâautres Ăglises et quâelle nâavait Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e que rĂ©cemment dans la nĂŽtre. SĆur Li ne la connaissait donc pas encore trĂšs bien. En se renseignant auprĂšs dâautres Ăglises, elle a dĂ©couvert plus tard que Wang Mei avait toujours Ă©tĂ© nĂ©gligente et sournoise. Ce quâelle disait avait lâair bien en apparence, mais elle ne joignait pas le geste Ă la parole, elle manquait dâhumanitĂ© et aimait contraindre les gens, si bien quâelle avait finalement Ă©tĂ© dĂ©mise de son devoir. Jâai eu tellement honte quand jâai dĂ©couvert cette histoire. SĆur Li nâavait pas Ă©tĂ© irresponsable, contrairement Ă ce que jâavais cru. Câest juste que des enquĂȘtes avaient dĂ» ĂȘtre menĂ©es dans dâautres Ăglises, que des erreurs sâĂ©taient produites en cours de route et que la vĂ©rification nâavait pas Ă©tĂ© faite clairement. Jâai arrĂȘtĂ© de critiquer SĆur Li Ă ce sujet et je lui ai simplement rappelĂ© de profiter de cette affaire pour revoir ces erreurs et Ă©viter que ce genre de problĂšme ne se reproduise. Cette fois-ci, quand jâai traitĂ© le problĂšme, cela ne dĂ©coulait pas de la colĂšre ou de ma propre volontĂ©, mais simplement de la recherche des principes de la vĂ©ritĂ©. En pratiquant ainsi, mon cĆur sâest apaisĂ©. Cette expĂ©rience mâa permis de comprendre quâil ne faut pas se fier Ă ses notions personnelles, Ă son imagination ou Ă sa colĂšre, que ce soit en faisant son devoir ou en traitant les autres. Tout doit reposer sur les paroles de Dieu. Cherchez les principes de la vĂ©ritĂ© dans les paroles de Dieu, et pratiquez et accomplissez vos devoirs conformĂ©ment Ă Ses exigences. Ainsi seulement pourrez-vous vĂ©ritablement poursuivre la vĂ©ritĂ© et le chemin pour entrer dans la vie.dessolutions et en profite. Ce cadre est trĂšs respectueux des participants en assurant la confidentialitĂ© des propos Ă©changĂ©s, mais surtout parce que la personne qui expose son questionnement est Ă©galement celle qui dĂ©cide Ă la fin de sĂ©ance de ce quâelle fera des apports des autres participants. Un groupe de directeurs, encadrĂ©s
PubliĂ© le 31/05/2018 Ă 15h35 RĂ©flĂ©chir est une chose qui nâest plus tout Ă fait innĂ©e chez lâHomme. En effet, Ă force dâagir machinalement, dâĂ©viter de faire preuve de rĂ©flexion et de prendre pour acquis tout ce que lâon nous dit, il est difficile de faire la part des choses et de rĂ©flĂ©chir dans lâaction. Cela arrive Ă tout le monde, lâintelligence nâa pas rĂ©ellement grand-chose Ă voir. Câest plutĂŽt la perspicacitĂ© qui fait dĂ©faut. Photo d'illustration Voici 18 personnes qui nâont pas rĂ©ellement fait preuve de rĂ©flexion avant de faire ce quâelles ont fait ! 1. Ce livreur UPS nâa pas imaginĂ© une seule seconde que quelquâun pouvait ĂȘtre dans la maison⊠HĂ© UPS, votre livreur a laissĂ© le colis sous la clenche de la porte comme ça et nous a empĂȘchĂ© de sortir de chez nous. Il a fallu que nous appelions un serrurier pour sortir ! » GallowBoob 2. Quitter la route et se retrouver sur un lac gelĂ©, ça ne pardonne pas ! Rgnxsupreme 3. Hum⊠Comment lui dire⊠?! IllIDANIllI 4. Elle voulait avoir lâair sexy, mais a plutĂŽt lâair stupide du coup⊠Kwasbeb 5. Quand tu te sens plus puissant que le bĂ©ton fraĂźchement coulé⊠Zanzibear 6. La mĂ©tĂ©o prĂ©voyait des chutes de neige, mais il nây a pas cru Twistedripper 7. Une belle preuve de rĂ©flexion collective ! 8. Se garer et retrouver sa voiture prise dans la glace⊠Mrbluebob1 9. Parfois, lâon se dit que certains avertissements sur les produits sont abusĂ©s, tellement ils sont logiques⊠Mais en fait⊠need_my_amphetamines 10. CâĂ©tait sa premiĂšre machine Ă laver⊠Bon ben, soirĂ©e mousse ce soir ! iBleeedorange 11. Vu devant Ikea⊠Lâoptimisme nâa pas de limite NeeNee9 12. Alors comment et surtout pourquoi ?! JerryfromTomandJerry 13. Elle ne voulait pas perdre les clĂ©s de son cadenas xAIRGUITARISTx 14. Câest drĂŽle !! Gospel Un mensonge ne devient pas vĂ©ritĂ© juste parce que les gens y croient » Kirbykid12 15. Voici les biscuits dĂ©posĂ©s sur les plateaux des patients de lâhĂŽpital pour Halloween PM_me_MS_point_Codes 16. Cette mĂšre de famille et secrĂ©taire de lâentreprise familiale pensait avoir achetĂ© une carte du monde pour la salle de confĂ©rence⊠mgoor91 17. Le retour de lâoptimisme⊠Cacanot 18. Elle nâa pas compris lâutilisation du cuiseur Ă riz Uedn Par Desruisseaux Audrey RĂ©dactrice Depuis mon enfance, l'Ă©criture a toujours Ă©tĂ© ma passion. Durant mes heures perdues, j'Ă©crivais divers poĂšmes et petites histoires. Aujourd'hui, je rĂ©dige pour le web et c'est avec amour que je fais ça quotidiennement ! Attention Ă cette arnaque des pirates tentent de voler vos identifiants sur Instagram 28/08/2022 Ă 19h15 Ces 15 objets qui ne sont pas ce qu'on croit 28/08/2022 Ă 14h45 Retraite avec la nouvelle rĂ©forme, voici les personnes concernĂ©es par le dĂ©part Ă 62 ans 28/08/2022 Ă 14h37
Quest ce qui rĂ©flĂ©chit sans rĂ©flĂ©chir ?ï€ï€ï€
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