LaCommission européenne se donne une semaine pour finir l'évaluation de la de corps découverts dans des fosses communes. Jusqu'à 1 200 corps, dont certains ont été découverts dans des

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Anomalies maladies. La cause la plus fréquente de fausse couche est une anomalie chromosomique : ce ne sont pas les parents qui ont transmis cette anomalie, elle s'est fabriquée toute seule au cours de la fécondation. L'œuf ainsi formé n'est pas viable et la grossesse s'arrête d'elle-même. Divers facteurs peuvent entraîner une fausse
A trois mètres sous le niveau du sol, les archéologues de l'INRAP ont mis au jour ce matin deux sépultures humaines sous la place d'Armes de Belfort. Ils ont en même temps mis au jour un imposant mur de fortification qui pourrait remonter au Moyen Âge, mur inconnu des historiens jusqu'à maintenant. Les archéologues ont donc effectué ce jour des découvertes majeures pour la compréhension du passé de notre ville. Il me semble temps de faire avec vous un point sur ces fouilles archéologiques, uniquement à partir de mes observations, comme tous les Belfortains en me promenant autour du périmètre de fouilles, et pour avoir échangé rapidement avec l'archéologue en charge du chantier qui ne veut cependant rien dire avant d'avoir fini de fouiller le secteur. Voilà mes premières déductions 1/ les fouilles confirment la présence du canal de Vauban couvert au XIXe siècle devant le pressing Zattarin et les Trois Maillets 2/ le souterrain que l'on voit passer sous le kiosque à musique depuis le Tabac Rouby photo ci-dessous est bien de l'époque Vauban entre 1687 et 1725 environ. C'était un canal d'adduction d'eau qui permettait de drainer les eaux usées et pluviales des maisons neuves situées entre la place d'armes et l'actuelle place de la République. Il est organisé en patte d'oie deux conduits viennent, l'un du secteur Bar des Marronniers, l'autre du côté Perello. Ils se rejoignaient au niveau des actuelles fouilles, pour ne faire plus qu'un en passant sous le kiosque, avant de se jeter dans le canal, au niveau des Trois Maillets. 3/ les souterrains Vauban ont été construits en détruisant en partie un mur de fortification médiéval complètement inattendu à cet endroit. Ce mur suit, en légère courbe, l'orientation de la place d'Armes. Jusqu'à maintenant, on pensait qu'au Moyen Âge, la ville de Belfort s'arrêtait au niveau de ce fameux canal axe rue du Quai - rue des Boucheries qui était le fossé extérieur. En 1975, lors des dernières fouilles d'ampleur sur le secteur, l'archéologue Michel Rilliot avait suivi le mur intérieur de fortification tout au long de la rue Roussel. Selon les usages de l'époque, il y avait ensuite un espace d'une vingtaine de mètres avant d'arriver au mur de fortification externe. Cet espace était parfois utilisé pour des jardins potagers ou des carpieres. Et maintenant, grande surprise il y avait un mur de fortification environ un mètre de profondeur bien au delà du canal. Était-ce un ouvrage avancé ? Ou la fortification était-elle plus loin que prévue, laissant passer dans la ville entre le mur intérieur et le mur extérieur l'eau de la Savoureuse afin d'alimenter les carpières ?? J'opterai volontiers pour cette deuxième solution...jusqu'à obtenir des informations plus précises. 4/ deux squelettes ont été exhumés "au pied du mur" de fortification découvert, trois mètres sous le niveau actuel de la place d'Armes. Il semble s'agir de sujets adultes, enterrés les pieds orientés vers l'Est, les bras soigneusement repliés sur le torse pour l'un des deux. A quand remontent-ils, et pourquoi sont-ils enterrés là ? - il s'agit forcément de sujets enterrés avant Vauban, donc avant 1687, puisqu'ils se trouvent dans la couche archéologique inférieure. - on n'inhumait jamais à cet endroit à Belfort. Dans la Vieille-Ville, à l'époque médiévale et moderne, il y avait des tombes autour de la vieille église Saint-Denis sous la cour de l'actuelle école Jules Heidet. Hors la ville, les Belfortains allaient se faire enterrer autour de la chapelle de Brasse citée dès 1187. - en cas d'épidémie la peste a sévi plusieurs fois à Belfort il pouvait y avoir des fosses communes, mais à l'écart de la ville, et avec peu de soins dans l'ensevelissement des cadavres. Ce n'est pas le cas ici, et deux corps, ce serait trop peu pour une fosse commune. Il faudrait collecter d'autres éléments pour avoir une datation plus précise. Y avait-il du mobilier autour des deux squelettes bagues, armes, morceaux de bois... ? L'archéologue ne m'a pas répondu sur ce point, mais un témoin habitant la Vieille-Ville m'a certifié qu'ils a vu les archéologues sortir des morceaux de tissu vêtements?. J'ose une hypothèse. Ces corps pourraient remonter au XVIIe siècle, à l'époque de la guerre de Trente Ans 1618-1648. Belfort a essuyé plusieurs sièges importants lors de cette "guerre des Suédois", notamment en 1633. A l'époque, les cimetières sont confessionnels ils sont réservés aux catholiques. Or, l'armée suédoise comptait de très nombreux soldats protestants français, allemands, danois.... Aurait-on voulu enterrer deux "Suédois" en dehors des murs de la ville catholique ?? C'est tout le charme de l'Histoire réfléchir, imaginer toutes les réponses à une énigme, puis les confronter aux nouveaux indices recueillis sur le terrain pour confirmer les hypothèses, ou les rejeter. Nous en saurons sans doute bientôt un peu plus. En attendant, vue l'importance de ces découvertes pour l'Histoire de Belfort, je demande au maire de Belfort de tout mettre en œuvre pour aider les archéologues dans leur enquête historique. Il faut pour cela qu'il arrête de voir dans ces fouilles une entrave à ses travaux, mais bel et bien une opportunité pour l'Histoire de notre ville. Unhomme a perdu le contrôle de son véhicule sur la 2x2 voies d’Étrœungt ce vendredi vers 17 h 30 en tentant d’effectuer une manœuvre de dépassement. Il
Bamako – Des fosses communes contenant au moins 180 corps ont été découvertes dans une ville du nord du Burkina Faso au cours des derniers mois, et les preuves disponibles suggèrent l'implication des forces de sécurité gouvernementales dans des exécutions extrajudiciaires de masse, a déclaré aujourd'hui Human Rights Watch. Le gouvernement devrait demander l'aide des Nations Unies ainsi que d'autres partenaires afin de procéder aux exhumations appropriées, de restituer les corps aux familles et de demander des comptes aux responsables. Les habitants de la ville de Djibo qui ont vu les corps ont déclaré à Human Rights Watch que les morts, tous des hommes, avaient été abandonnés entre novembre 2019 et juin 2020, par groupes de 3 à 20 selon les cas, le long des routes principales, sous des ponts, ainsi que dans des champs et des terrains vagues. À quelques exceptions près, les corps ont été retrouvés dans un rayon de cinq kilomètres du centre de Djibo. Les habitants ont enterré la plupart des corps dans des fosses communes en mars et avril, tandis que d'autres ne sont toujours pas enterrés. Ils ont indiqué qu'ils pensaient que la majorité des victimes étaient des hommes appartenant aux ethnies Fulani ou Peul, identifiés d’après leurs vêtements et leurs caractéristiques physiques, et que nombre d’entre eux avaient été retrouvés les yeux bandés et les mains attachées, et avaient été abattus. Plusieurs habitants ont déclaré qu'ils connaissaient de nombreuses victimes, dont des membres de leurs propres familles. Les autorités du Burkina Faso devraient dévoiler de toute urgence qui a fait de Djibo un terrain d’exécutions sommaires », a déclaré Corinne Dufka, directrice pour l’Afrique de l’Ouest à Human Rights Watch. Les informations existantes désignent les forces de sécurité gouvernementales, il est donc essentiel de mener des enquêtes impartiales, de recueillir correctement des preuves, et d'informer les familles de ce qui est arrivé à leurs proches » Depuis novembre, Human Rights Watch a interrogé 23 personnes, par téléphone et en personne, qui ont affirmé avoir vu les corps. Plusieurs ont fourni des cartes dessinées à la main de l'endroit où elles ont trouvé et enterré les morts. Toutes pensaient que les forces de sécurité gouvernementales, qui contrôlent Djibo, avaient exécuté la grande majorité des hommes. Cependant, aucune n'avait été témoin des meurtres et Human Rights Watch n'a pas été en mesure de vérifier ces allégations de manière indépendante. Human Rights Watch analyse des images satellites des emplacements des fosses communes dans les environs. Le 28 juin, Human Rights Watch a écrit au gouvernement burkinabé, détaillant les principales conclusions de ses recherches, et le 3 juillet, le ministre de la Défense a répondu au nom du gouvernement, s'engageant à enquêter sur les allégations et à garantir le respect des droits humains dans les opérations de sécurité. Il a indiqué que les exécutions avaient eu lieu lors d'une augmentation des attaques menées par des islamistes armés, et a suggéré qu'elles auraient pu être commises par ces groupes, en utilisant des uniformes et moyens logistiques de l'armée volés, notant qu’il est parfois difficile pour les populations de faire la différence entre les Groupes Armés terroristes et les Forces de Défense et de Sécurité. » Le ministre a également confirmé l’accord du gouvernement quant à la création d’un bureau à Ouagadougou par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme. À partir de 2016, des groupes islamistes armés alliés à Al-Qaïda ou à l'État islamique ont attaqué des postes des forces de sécurité ainsi que des civils dans tout le Burkina Faso, mais principalement dans la région du Sahel limitrophe du Mali et du Niger. Human Rights Watch a documenté depuis 2017 les meurtres de plusieurs centaines de civils par des groupes islamistes armés ainsi que leurs attaques généralisées contre des écoles. Human Rights Watch a également documenté l’exécution extrajudiciaire de plusieurs centaines d'hommes, apparemment par les forces de sécurité gouvernementales pour leur soutien présumé à ces groupes, notamment 31 hommes retrouvés exécutés après que les forces de sécurité les ont détenus à Djibo le 9 avril. Les 23 personnes interrogées, dont des agriculteurs, des commerçants, des éleveurs, des fonctionnaires, des dirigeants communautaires et des travailleurs humanitaires, pensaient que les forces de sécurité avaient détenu les hommes en tant que membres ou partisans présumés de groupes armés islamistes. Tant de morts ont eu les yeux bandés, ont eu les mains attachées ... et ont reçu une balle dans la tête », a expliqué un chef de la communauté. Les corps que j'ai vus sont apparus le matin… jetés pendant la nuit, à la périphérie de Djibo, une ville sous le contrôle de l'armée et au milieu d'un couvre-feu imposé et surveillé par l'armée. » Certains habitants ont déclaré avoir retrouvé les corps après avoir entendu le bruit de véhicules qui passaient, et des rafales de coups de feu pendant la nuit. Nous nous sommes habitués à entendre le son des coups de feu qui retentissent la nuit, puis à voir des corps dans la brousse ou le long de la route », a expliqué un aîné de Djibo. La nuit, tant de fois j'ai entendu le bruit des véhicules et puis, pan ! pan ! pan ! », a déclaré un agriculteur. Et le lendemain matin, on voit, ou en entend dire, que des corps ont été trouvés dans tel ou tel endroit. » Au moins 114 hommes ont été enterrés dans 14 fosses communes, lors d'un enterrement collectif les 8 et 9 mars organisé par des habitants avec l'approbation des autorités militaires et locales. Les habitants de la localité ont également enterré 18 hommes, découverts à un kilomètre environ à l’est de Djibo, dans une fosse commune début avril. Les corps d'une quarantaine d’autres hommes, dont 20 auraient été découverts à la mi-mars au sud de Djibo et 18 autres trouvés en mai près de l'aéroport, n'avaient pas encore été enterrés. Une dynamique ethnique sous-tend la violence au Burkina Faso. Les groupes armés islamistes recrutent en grande partie dans la communauté nomade des Peuls ou des Fulanis, et leurs attaques ont principalement visé les communautés agraires, notamment les Mosssi, les Foulse et les Gourmantche. La grande majorité des hommes qui auraient été tués par les forces de sécurité sont des Peuls, en raison de leur soutien supposé aux islamistes armés. Les habitants de Djibo devraient se sentir protégés et non terrifiés par leur propre armée. Le fait que le gouvernement n’ait pas tenu ses promesses de rendre des comptes pour les précédentes allégations d’abus des forces de sécurité, notamment à Djibo, semble avoir enhardi les auteurs de ces actes », a conclu Corinne Dufka. Il est indispensable que les autorités du Burkina Faso mettent un terme aux exécutions extrajudiciaires par des enquêtes crédibles et indépendantes. » Des corps retrouvés à Djibo Les habitants de Djibo ont indiqué avoir commencé à voir des corps dans les parties les plus rurales et les moins habitées de la localité en novembre 2019. Des restes humains sont éparpillés partout dans les limites extérieures de la ville de Djibo… le long des routes, près d'un étang, près du barrage de Djibo, près de maisons abandonnées, sous un pont et dans la brousse », a expliqué un homme. Depuis novembre 2019, tant de corps ont commencé à apparaître », a expliqué un autre homme. Cinq ou six ici, 10 ou 16 là, le long des trois autoroutes hors de la ville… au nord, à l'est et au sud. » Les habitants ont indiqué que la grande majorité des morts étaient des Peuls, identifiés comme tels par leurs vêtements, leurs traits et, dans une dizaine de cas, par ceux qui connaissaient personnellement les victimes et leurs noms. Les personnes interrogées étaient extrêmement anxieuses lors de leur entretien avec Human Rights Watch et ont déclaré qu'elles craignaient des représailles de la part des forces de sécurité, qui avaient été impliquées dans les exécutions extrajudiciaires de 31 hommes à Djibo en avril, et d'autres exécutions dans cette ville, depuis 2017. Les habitants ne croyaient pas que les hommes avaient été tués lors d’échanges de coups de feu. Oui, Djibo a été attaqué et il y a des djihadistes [islamistes armés] pas très loin de Djibo », a expliqué un habitant qui avait vu plusieurs groupes de corps. Mais les jours qui ont précédé la découverte des corps, nous n’avions connaissance d’aucun affrontement ou d’échanges de coups de feu entre les djihadistes et l’armée, ni en plein Djibo ni en périphérie. Les nouvelles vont vite et nous le saurions si c’était le cas. » Un autre habitant, qui a indiqué qu'il voyageait fréquemment depuis Djibo, a expliqué S'il y avait eu des affrontements avec les terroristes, les transports publics se seraient arrêtés… Nous n'aurions jamais pu voyager. » Neuf personnes ont identifié certains des morts par leur nom, notamment des membres de leur famille, dont ils avaient été témoins de l’arrestation par les forces de sécurité ou avaient été informés par quelqu'un d'autre qui avait vu les hommes arrêtés. Pour chacun de ces incidents, le corps identifié avait été retrouvé avec de nombreuses autres victimes. Un homme, par exemple, a reconnu un homme du nom de Tamboura d'un village plus au sud, que j'avais vu arrêté au marché aux bestiaux de Djibo par des soldats quelques jours plus tôt ». Un autre a reconnu un homme qui travaillait comme agent de sécurité et qui avait été arrêté par des militaires quelques jours avant la découverte de son corps. D'autres ont indiqué avoir reconnu les corps d'hommes qu'ils avaient vus être arrêtés par les autorités au marché, à l'hôpital, lors d’une distribution de nourriture ou à la gare routière. Plusieurs habitants ont déclaré qu'ils pensaient que de nombreuses victimes non identifiées avaient été détenues lors d’opérations militaires ou étaient des villageois déplacés à l'intérieur du pays qui, au cours des mois précédents, s'étaient installés à Djibo et aux alentours après avoir fui leurs villages d'origine. Djibo n'est pas une si grande ville où nous ne reconnaîtrions pas les gens, c'est pour cela que nous pensons qu'un si grand nombre de morts étaient des personnes déplacées », a expliqué un habitant. De nombreux habitants ont émis l'hypothèse que l'armée avait arrêté des personnes déplacées pour les interroger, craignant l'infiltration de groupes islamistes armés, qui avaient attaqué Djibo à plusieurs reprises. Les militaires ont vraiment visé les PDI [personnes déplacées à l’intérieur du territoire] », a indiqué un habitant. Ils les ont cherchées au marché aux animaux, car elles viennent à Djibo pour acheter et vendre. Après tant d'attaques djihadistes majeures au Mali et au Burkina, ils ont vraiment peur de l'infiltration. » Exécutions extrajudiciaires apparentes Des habitants ont expliqué avoir vu des groupes de cadavres près de chez eux alors qu'ils faisaient paître leurs animaux, ou bien lorsqu’ils marchaient ou conduisaient le long des principales routes menant à l’extérieur de Djibo. Exécution apparente de cinq hommes, le 13 juin 2020 Le 14 juin, plusieurs habitants ont déclaré avoir vu les corps de cinq hommes éparpillés sur un demi-kilomètre dans deux des quartiers sud de Djibo, secteurs 3 et 8. L'un des cinq corps trouvés, Sadou Hamadoume Dicko, 54 ans, chef local et conseiller municipal du Gomdè-Peuhl, avait été vu arrêté par des militaires la veille. Les habitants n'ont pas pu identifier les quatre autres corps. Un commerçant a décrit l'arrestation de Dicko le 13 juin En tant que chef, il venait de finir de ramasser des sacs de riz et de mil pour son peuple, maintenant à Djibo après avoir fui leur village, à environ 125 kilomètres de là. En avril 2018, M. Dicko avait été enlevé et détenu pendant plusieurs jours par les djihadistes, mais cette fois, c'est l'armée qui l'a emmené. Vers 11 h 30, quatre hommes en moto l'ont encerclé, lui et environ six autres personnes, et les ont emmenés dans un bâtiment inachevé pour les interroger. Finalement, les soldats ont laissé partir les autres mais sont partis avec M. Dicko. Trois habitants ont dit avoir entendu des coups de feu le 13 juin et trouvé le corps des cinq hommes le lendemain. Les coups de feu ont retenti vers 20 heures. Et le lendemain, 14 juin, on m'a appelé pour me dire que le chef était mort », a expliqué un habitant. C'était ce que nous craignions. Ses mains étaient étroitement liées derrière son dos et il avait reçu une balle dans la tête et à la poitrine. » Un autre habitant a ajouté Les coups de feu ont retenti quelques heures après le couvre-feu de 19 heures. …. [P]lus tard nous avons vu un corps vers le nord, près de la Maison de la Femme, un autre au sud près d’un grand puits, et trois autres à côté d'une élévation de sable. » Tous les hommes ont été enterrés plus tard le même jour. Exécution apparente de 18 hommes, les 13 et 19 mai 2020 Des habitants ont expliqué avoir vu les forces de sécurité arrêter 17 hommes près d'un marché de Djibo le 13 mai. Les corps de ces 17 hommes ont été retrouvés le lendemain le long d'un chemin traversant le secteur 5, également connu sous le nom de Mbodowol. Les hommes avaient reçu une balle dans la tête, selon les habitants. Un autre homme, atteint d'un handicap mental, a été retrouvé aux alentours du même endroit après avoir été arrêté le 19 mai. Les corps n'avaient pas encore été enterrés. Un habitant a expliqué J'étais au marché quand, vers 10 heures du matin, j'ai vu arriver deux véhicules avec une dizaine de militaires. Je ne sais pas s'ils étaient des gendarmes ou de l’armée. J'avais trop peur de les regarder, mais j'ai vu qu'ils étaient en uniforme, avec des casques et des gilets, et tous portaient des armes semi-automatiques. Les 17 hommes étaient venus d'autres villages pour acheter et vendre ce jour-là. J'en ai reconnu plusieurs, qui travaillaient comme forgerons. Un habitant du secteur 5 qui a entendu des coups de feu le 13 mai, et a vu les corps un jour plus tard près de l'aérodrome de Djibo, a relaté Ils ont été tués à la tombée de la nuit. J'ai vu un véhicule de loin, venant de la direction de la ville. Quelque temps plus tard, nous avons entendu des coups de feu. Environ 15 minutes plus tard, le même véhicule est revenu, cette fois avec les phares allumés. Le jeudi 14 mai, vers 9 heures du matin, nous avons découvert les corps — huit d'un côté, rapprochés ... leurs visages couverts avec leurs chemises — et à environ 20 mètres, neuf autres corps. Ils avaient reçu une balle dans la tête. On pouvait le voir clairement… et il y avait des douilles de balles sur le sol. Les hommes semblaient avoir entre 25 et 45 ans. Le corps d'un autre homme a été retrouvé au même endroit quelques jours plus tard. Celui-là, je l'avais vu être arrêté… il habite près de chez moi. Il n'est pas normal il avait un maladie mentale… Il a été pris devant sa maison en train d'écouter sa radio. Il y a un couvre-feu et seule l'armée peut circuler la nuit comme ça. Exécution apparente de 18 hommes, le 17 mars 2020 Des habitants ont déclaré que le 18 mars, ils avaient vu 18 corps à environ 500 à 700 mètres à l'est de Djibo. Les corps ont été retrouvés près de plusieurs grands panneaux publicitaires qui bordent la route entre Djibo et Tongomayel. Un homme, qui craignait que son frère soit parmi les morts, a expliqué pourquoi il pensait que les forces de sécurité gouvernementales étaient responsables de la mort des 18 hommes Le 17 mars, vers 7 heures du matin, j'ai reçu un appel paniqué de la gare routière disant que mon frère et un autre homme venaient d'être arrêtés par des gendarmes alors qu'ils montaient à bord d'un bus pour Ouagadougou [la capitale]. Plus tard dans la soirée, vers 21h, j'ai entendu de nombreux coups de feu et j'ai pensé Oh mon Dieu, mon frère est mort. Juste après l'aube, je suis allé dans la direction des coups de feu et j'ai trouvé 18 corps. Leurs mains étaient liées et ils avaient les yeux bandés, chacun d’entre eux avait reçu une balle dans le front. Le sang coulait comme une mare. Les corps étaient tous empilés. J'ai cherché mon frère parmi les cadavres…. les bougeant suffisamment pour voir s'il était là. Mais ce n'était pas le cas. Parmi les morts, j'ai reconnu six hommes… ils avaient tous été arrêtés par les FDS [Forces de défense et de sécurité]. L'un d’entre eux était [nom confidentiel] qui avait récemment subi une opération au pied et avait été arrêté devant de nombreuses personnes près de l'hôpital. J'ai reconnu son boubou [robe à manches larges]; son pied était encore bandé. Parmi les morts, figuraient également cinq commerçants que j'avais moi-même vus être arrêtés par les FDS le jour du marché la semaine précédente. Quant à mon frère, il est toujours porté disparu, même à ce jour. Exécution apparente de 9 hommes, le 15 janvier 2020 Un homme qui a vu neuf corps sur la route en direction de l’est vers Tongomayal, dont un membre de sa famille, le 16 janvier, a expliqué J'ai découvert les corps de neuf personnes à quelques mètres de la route, dont l'un était mon neveu de 23 ans. Ils avaient été arrêtés la veille. Un ami a appelé vers 11 heures du matin pour dire qu'il y avait des problèmes au marché, que mon fils avait été arrêté. Je suis allé au marché immédiatement et j'ai vu les neuf hommes attachés et face contre terre. Quatre gendarmes les ont conduits jusqu’à leur véhicule et les ont emmenés. Cette nuit-là vers 20 heures, j'ai entendu des coups de feu près du barrage de Djibo, et le matin je les ai vus dans la brousse, les mains liées, criblés de balles. … Huit étaient des Peuls et un était un Bellah. Nous avions trop peur de les enterrer… nous avons dû regarder mon fils se transformer en squelette. Il n'a pas été inhumé avant l'enterrement de masse en mars, avec des dizaines d'autres, mais ce n'étaient guère des funérailles et mon fils n'était pas djihadiste. Corps trouvés près du secteur 4 de Djibo, novembre 2019 et janvier 2020 Cinq habitants du secteur 4 de Djibo également connu sous le nom de Wourossaba et Boguelsawa, au sud de la ville, ont décrit avoir vu trois groupes de corps dans ce qu'ils ont indiqué être un rayon d'un kilomètre un groupe de 8 corps et un autre groupe d'au moins 16 corps en novembre 2019, et un autre groupe de 16 à 19 corps autour du 8 janvier 2020. Le nombre total de corps trouvés correspond largement aux 43 corps inhumés dans ce secteur lors de l'enterrement de masse des 8 et 9 mars. Un habitant du secteur 4 a décrit les trois groupes de cadavres La plupart n’avaient pas de chemise et étaient ligotés — certains les yeux bandés, d'autres les poignets liés, et ils avaient été abattus. Je ne connaissais aucun d’entre eux, mais je crois que les 43 étaient tous des prisonniers parce que les trois fois, j’avais entendu des véhicules venant de la ville et vu les phares… et entendu des coups de feu. C’était trop loin et il faisait trop sombre pour voir leurs uniformes, mais il n'y a pas eu d’échange de coups de feu et les djihadistes ne peuvent pas circuler dans un camion lourd aussi près de Djibo. Un autre habitant du secteur 4 a expliqué avoir vu 19 corps, autour du 8 janvier Je les ai vus vers 7 heures du matin, 19 corps en ligne – tous des hommes, sauf un âgé d'environ 15 ans. La veille, j'avais vu les phares d'un véhicule – il était environ 20 heures et nous étions sous couvre-feu. Puis j'ai entendu les coups de feu. Les corps se trouvaient à environ un kilomètre au sud de Djibo et à 150 mètres à l'ouest de l'autoroute – bon nombre d’entre eux avaient les bras liés et les yeux bandés. Ils avaient reçu une balle dans la tête, d’autres dans la poitrine et d’autres dans le ventre. Nous n'en connaissions aucun, alors ils sont restés là jusqu'à l'enterrement de mars ; à ce moment-là, ils étaient presque devenus des squelettes. Une professionnelle de la santé a expliqué qu'en février sur le chemin de Ouagadougou, elle avait vu cinq corps depuis la fenêtre de son bus, à environ 15 kilomètres au sud de Djibo, près du village de Mentao Ils étaient à 20 mètres de la route – les corps sentaient – on aurait dit qu'ils étaient là depuis environ une semaine. D’après leurs vêtements, tous les hommes semblaient être des Peuls. Quand je suis revenue une semaine plus tard, ils étaient toujours là. » Ces corps n'ont pas été inhumés lors de l'enterrement de masse en mars. Enterrements en mars et avril 2020 Les habitants de Djibo ont décrit un enterrement collectif organisé les 8 et 9 mars, au cours duquel au moins 114 corps ont été rassemblés et inhumés dans 14 fosses communes. Des habitants qui ont assisté aux enterrements ont déclaré que les corps étaient à divers stades de décomposition. Certains venaient d'être tués, d'autres avaient commencé à se décomposer et bon nombre d'autres étaient des squelettes », a expliqué l'un d'eux. Étant donné le temps passé par les corps à l'extérieur, notamment sous le soleil brûlant, bon nombre d’entre eux n'étaient identifiables que par leurs vêtements », a ajouté une autre personne. Plusieurs habitants ont affirmé que les morts n'avaient pas été enterrés soit parce que les familles n'étaient pas de Djibo, soit parce qu'elles avaient trop peur de réclamer le corps. La peur a empêché les gens d'enterrer les morts », a expliqué un ancien du village. Vous avez besoin de la permission de forces de sécurité pour enterrer un corps, et étant donné le niveau de tension à Djibo ces jours-ci, les gens ont tout simplement trop peur que s'ils réclament le corps d'un homme accusé d'être un terroriste, ils seront également emmenés et finiront morts. » Un grand nombre d’habitants ont décrit les enterrements comme un sujet délicat » qui n'a pas été couvert par les médias locaux. La peur nous a empêchés de parler des enterrements de masse », a indiqué un homme. Les corps étaient éparpillés le long et à proximité des principales routes menant à Djibo et en provenant », a expliqué un habitant. Le premier jour, nous avons travaillé de 9 h à midi et enterré 42 corps au sud, le long de la route entre Djibo et Ouagadougou. Le deuxième jour, c'était pire ... de 8 h à 12 h 30 nous avons enterré 72 personnes, 20 au nord et 52 à l'est, le long de la route entre Djibo et Dori. Certaines personnes ont ramassé les corps tandis que d'autres ont creusé les tombes. Les morts ont été enterrés dans 14 fosses communes, avec 3, 6, 7 et jusqu’à 23 corps. » Ils ont indiqué que les habitants de Djibo avaient obtenu l'autorisation d'enterrer les morts de la part des autorités civiles et militaires basées à Djibo, en grande partie en raison du risque potentiel pour la santé et l'assainissement. Nous avions peur des épidémies, surtout à l'approche de la saison des pluies », a expliqué un responsable communautaire. Nous étions accablés de voir les corps de personnes sans vie, et nous nous sommes donc organisés et avons demandé aux autorités la permission d'enterrer les morts », a expliqué une autre personne. D'autres habitants ont évoqué l'impact sur la santé mentale de la population de la ville. Nous avons organisé l'enterrement pour des raisons de santé, mais également en raison de l'impact psychologique sur les personnes, en particulier les enfants, obligés de marcher près des corps chaque jour pour se rendre au marché ou à l'école », selon un habitant. Un éleveur a ajouté Imaginez ce que c'est que de voir ces corps tous les jours, certains mangés par des chiens et des vautours. Ce n'est pas facile de vivre jour après jour avec cette terrible réalité. » Les personnes qui ont assisté aux enterrements collectifs ont relaté que les autorités civiles y ont participé et, selon elles, ont aidé à organiser les funérailles ; de même que les autorités sanitaires, qui ont fourni des masques et du désinfectant ; et les forces de sécurité, qui assuraient la sécurité. Ces personnes ont indiqué qu'il leur était strictement interdit » de prendre des photos des enterrements. Personne n'oserait faire ça parce que les FDS regardaient », a expliqué un habitant. Un habitant qui se trouvait à l'enterrement a expliqué Après avoir obtenu l'autorisation – de l'armée – et après avoir associé des agents de santé – nous avons passé deux jours à enterrer les morts, qui étaient en groupes de 5, 7, 9, 20 – dispersés partout. Je n'ai reconnu aucun d'eux, mais plusieurs personnes qui ont regardé l'inhumation m'ont confié plus tard qu'elles avaient reconnu leur père, leur frère ou leur fils… qu'il avait disparu depuis son arrestation par les soldats à Djibo ou dans leur village – des semaines ou des mois plus tôt. Mais elles n'ont rien dit pendant l'enterrement ... de peur d’être elles aussi arrêtées. Un homme qui a enterré 13 des corps trouvés dans le nord de Djibo, notamment un membre de sa famille qu'il avait vu pour la dernière fois détenu par les forces de sécurité en janvier, a déclaré La route de Tongomayel était pleine de cadavres et de restes humains. Honnêtement, la plupart n'étaient que des squelettes… et leurs corps avaient été éparpillés par des animaux. Nous étions divisés en groupes et nous nous sommes mis à chercher des côtes, des morceaux de corps. » Deux personnes ont décrit l'enterrement début avril des 18 hommes dont les corps ont été retrouvés sur la route de Tongomayel vers le 18 mars. Les corps sont apparus après que les services de sécurité auraient arrêté les hommes. Nous avons creusé un grand trou, assez grand pour eux tous, et nous l’avons recouvert avec du sable et des branches », a expliqué un homme. La route de Tongomayel est pleine de corps ... les 52 inhumés lors de l'enterrement de masse, les 18 de la mi-mars, et ça ne s'est pas arrêté. » Corps trouvés, non enterrés Trois habitants ont décrit avoir vu 20 corps qui auraient été laissés à la mi-mars à environ 100 mètres du cimetière du quartier de Boguelsawa, à plusieurs kilomètres au sud de Djibo. Quelques jours seulement après avoir enterré plus de 100 corps, nous nous sommes réveillés pour trouver 20 autres corps », a déclaré un habitant. C'est comme si, quelque soit la personne qui commet les meurtres, elle se moquait de nous. » Ils ont affirmé à Human Rights Watch le 14 juin que les corps, maintenant dispersés et décomposés, n'avaient pas encore été enterrés. Avec la mort tout autour, nous pensons que demain pourrait être mon tour de mourir », a écrit un habitant. Un autre homme a déclaré que le 1er juin, mon neveu a trouvé trois morts en ramassant du bois au nord de Djibo, dont deux Bellahs [ethnie] que nous connaissons bien. Il avait tellement peur qu'il a couru directement chez lui sans prendre le bois. » Au 30 juin, les 18 morts trouvés près de l'aéroport à la mi-mai n'avaient pas non plus été enterrés. Recommandations Les habitants qui se sont entretenus avec Human Rights Watch n'avaient connaissance d'aucune enquête judiciaire sur ces apparentes exécutions. Quelques incidents mettant en cause les forces de sécurité se seraient produits, après l'engagement du gouvernement à enquêter pleinement sur l'exécution apparente de 31 hommes détenus par les forces de sécurité le 9 avril 2020. Human Rights Watch exhorte les autorités du Burkina Faso à Enquêter rapidement et en toute impartialité sur les meurtres perpétrés à Djibo depuis novembre 2019, et poursuivre de manière équitable et appropriée tous les responsables d'exécutions extrajudiciaires et d'autres crimes, notamment au titre de la responsabilité de commandement. S’assurer que les résultats soient rendus publics. Mettre les commandants des deux bases des forces de sécurité à Djibo – la gendarmerie et l'armée – en congé administratif, dans l'attente des résultats des enquêtes. Inviter les Nations Unies ou d'autres experts légistes internationaux neutres, notamment ceux ayant une expérience de travail devant les tribunaux pénaux, pour aider à préserver et analyser les preuves dans les fosses communes. Les exhumations sans experts médico-légaux peuvent détruire des preuves critiques et compliquer considérablement l'identification des corps. Restituer les corps des personnes qui ont été inhumées dans des tombes ou laissées non enterrées à leurs familles. - Presse/Radio Le Monde/AFP France24 RFI B. Jeannerod VOA C. Dufka France Inter P. Haski Courrier Int. LExpressDuFaso réponse du gouvt réf. UE Tweets BurkinaFaso Des fosses communes contenant au moins 180 corps ont été découvertes à Djibo, dans le nord du pays. HRW appelle d’urgence à une enquête indépendante sur ce qui s'apparente à des exécutions extrajudiciaires de masse. — HRW en français hrw_fr July 8, 2020 Human Rights Watch dénonce des exécutions extrajudiciaires de masse dans le nord du BurkinaFaso via lemondefr LeMonde_Afrique AFP — HRW en français hrw_fr July 8, 2020 HRW dénonce des exécutions extrajudiciaires de 180 personnes au Burkina Faso — FRANCE 24 Français France24_fr July 8, 2020 [Audio] BurkinaFaso Des exécutions extrajudiciaires auraient eu lieu à Djibo, selon Human Rights Watch. Interview de CorinneDufka hrw. via VOAAfrique — HRW en français hrw_fr July 9, 2020 Interview de Corinne Dufka Rapports préoccupants de hrw_fr concernant des exécutions extrajudiciaires par les forces de sécurité au Burkina Faso. Les autorités burkinabé doivent en faire + pour empêcher ces abus & traduire les auteurs de ces crimes en justice. — USA en Français USAenFrancais July 8, 2020

Septfosses communes avec des centaines de dépouilles non identifiées ont été découvertes près de la ville de Boukamal, ex-fief de Daesh, dans l'est de la Syrie, a indiqué mardi l'agence syrienne officielle Sana. "Les autorités compétentes ont découvert sept fosses communes contenant des

La solution à ce puzzle est constituéè de 9 lettres et commence par la lettre C Les solutions ✅ pour FOSSE COMMUNE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots Croisés pour "FOSSE COMMUNE " 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Suggéré par les utilisateurs Utilisateur Solution Lettres Anonyme La Platine 10 Partagez cette question et demandez de l'aide à vos amis! Recommander une réponse ? Connaissez-vous la réponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires
Dansune méta-analyse parue en 2015 dans la revue Perspectives on Psychological Science, des chercheurs calculent que le fait de vivre seul augmente le risque de mourir de 32 % ; être isolé socialement, c’est-à-dire avoir peu d’interactions avec les autres, gonfle le risque de 29 % ; le simple fait de se sentir seul, de 26 %.
/ / / Voici la liste des derniers incidents classés en risques technologies ou naturels autour de la mairie de Fossé. Ces risques sont ordonnées du plus récent au plus ancien. En terme de risques naturels et technologiques on peut retrouver des innondations, des tempêtes, des mouvements de terrains, des coulées de boue ou encore des mouvements sismiques qui sont tout de même plus rare chez nous en France. L'historique ci-dessous vous permet d'avoir une bon visibilité sur ce qui a pu et pourrait se passer sur la commune de Fossé.
0Fosse septique : Conseils, Informations et Devis. Une fosse septique ou une fosse toutes eaux est indispensable et même obligatoire lorsqu’un propriétaire n’a pas la possibilité de relier son habitation au système d’assainissement collectif, notamment à cause de son éloignement avec la station d’épuration la plus proche.

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ManuelMarie de la Ligue de Normandie de tir souhaite qu’une expertise judiciaire ait lieu dans le futur « pour rassurer la commune de Verson et la DGAC. On sait qu’il y a des interrogations
Deux jours d’épreuve pour sept spéciales chronométrées, c’est ce qui attend les 130 concurrents qui vont s’élancer samedi et dimanche au 40e rallye de Fourmies en Avesnois. Parmi eux, Aurélien Frison de Cartignies qui aura pour co-pilote son père Réjean Frison. Aurélien Frison de Cartignies pose avec sa voiture de 34 ans BMW. - VDN Publié 4 Août 2022 à 15h00 Temps de lecture 3 min Parmi les équipages engagés, samedi et dimanche, au rallye automobile de Fourmies-en-Avesnois, il en est un de Cartignies. Aurélien Frison, 38 ans, aura effectivement le bonheur de rouler en pays connu. Il a pour co-pilote son père Réjean Frison, 62 ans, originaire de Savoie. C’est Aurélien qui pilotera la voiture. Nous roulons sur une BMW 325 IX E30 classe A8 de 1988 et oui une voiture qui a 34 ans et qui est pratiquement aussi âgée que moi ». Aurélien Frison dit avoir toujours été attiré par les sports mécaniques et nous nous sommes décidés de sauter le grand pas avec papa. Cela fait maintenant six ans que je fais de la compétition en tant que pilote et nous avons dû disputer une petite vingtaine de Rallye. ». La participation à un rallye a un coût. Nous sommes dans l’obligation de trouver des sponsors, car franchement sans eux cela serait impossible et nous tenons d’ailleurs à les remercier. En retour, nous leur faisons de la publicité sur la voiture. Nous organisons aussi des petites manifestations. Cette année, nous allons disputer notre troisième rallye de la saison Les boucles Capelloises-Le Centurion et là l’Avesnois et il nous restera Le Charlemagne fin septembre et peut-être un cinquième mais là on verra selon les finances. » Finir l’épreuve sans pépin Quand on prend le départ d’une telle compétition, l’objectif numéro un est de finir l’épreuve sans le moindre pépin. Pour nous, le risque serait de faire un excès de confiance sur des routes que nous connaissons bien et se faire surprendre à n’importe quel moment. » Cette année, les organisateurs ont instauré une fameuse spéciale inédite de 28,880 km * qu’accueille très favorablement le pilote de Cartignies. C’est une excellente trouvaille des organisateurs et franchement bravo de nous permettre de pouvoir découvrir cela. Je pense que l’on risque tous de se retrouver dans le même sac. Une spéciale sur laquelle il va falloir rester concentré une bonne vingtaine de minutes du premier au dernier kilomètre. Il va falloir faire des calculs minutieux pour mettre l’essence et surtout que la voiture soit performante. Pour moi, c’est une première et je vais m’y faire plaisir. Le seul point noir, serait de casser la veille et de ne pas pouvoir disputer ce bijou qui nous est concocté. » * La spéciale inédite le dimanche de 28,880 km fait déjà parler tous les pilotes. Pour pratiquement tous, c’est une découverte La Quarantième. Elle empruntera plusieurs villages de notre bocage départ d’Étrœungt puis Boulogne-sur-Helpe - Floyon - Cartignies - Beaurepaire-sur-Sambre pour arriver sur Prisches. Au delà, le rallye c’est samedi et dimanche. Lire aussi Des études à l’hôpital, pourquoi les infirmiers sambriens sont attirés par la Belgique? Hecq l’école alternative Altra schola fait sa première rentrée ce lundi Football N3 Feignies-Aulnoye remporte le derby contre Maubeuge au forceps Poursuivez votre lecture sur ces sujets Rallye Automobile Financement Avesnes-sur-Helpe 59440, Nord Fourmies 59610, Nord Cartignies 59244, Nord Vu le prix du péage qui augmente régulièrement, si la vitesse max est abaisser à 110 km, il n'y aura plus aucun intérêt à prendre l'autoroute pourtan ...Lire plus A lire aussi Des études à l’hôpital, pourquoi les infirmiers sambriens sont attirés par la Belgique? Hecq l’école alternative Altra schola fait sa première rentrée ce lundi Football N3 Feignies-Aulnoye remporte le derby contre Maubeuge au forceps Semousies pour le loto bouse des vaches… il ne fallait pas arriver en retard Flambée du pellet en Sambre-Avesnois On a même des Parisiens avec des remorques» Sambre-Avesnois un agriculteur passé à tabac par des dizaines de motards venus de Belgique Voir plus d'articles RisqueDe Finir Dans Une Fosse Commune La solution à ce puzzle est constituéè de 14 lettres et commence par la lettre I Les solutions pour RISQUE DE FINIR DANS UNE FOSSE COMMUNE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois turc Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche bir toplu mezar bir mezara toplu mezara Veracruz'daki bir toplu mezarda Plus genre une fosse commune à l'Académie. Ils l'ont trouvé rampant dans une fosse commune. Puis il jetait leurs os dans une fosse commune. Tu refoules comme une fosse commune. Ağzı açık bir mezar gibi nefes alıyorsun. Je ne sais pas ce que c'est, une fosse commune. On a une fosse commune pas loin, mais je manque de bras pour les y emmener. Buranın batısında büyük bir mezarımız var ama onları taşımak için yeterli insan gücüm yok. Au Mexique, une fosse commune a été découverte près de la ville d'Iguala. Meksika'nın Iguala kenti yakınlarında bir toplu mezar ortaya çıktı. Le président haïtien René Préval annonce que 7000 personnes ont été enterrés dans une fosse commune. Haiti Devlet Başkanı Rene Preval, depremde ölen 7 bin kişinin toplu mezara gömüldüğünü açıkladı. Au moins 166 cadavres ont été découverts dans une fosse commune dans l'Etat de Veracruz à l'est du Mexique. Votre dépouille sera ensuite enterrée dans une fosse commune dans l'enceinte de la prison. Sonrasında cesediniz cezaevi çevresindeki alelade bir mezara gömülecek. Je peux m'apercevoir que cette terre est une fosse commune dans laquelle le roi Salomon, Ophélie et Himmler reposent côte à côte. Kısa kesersek, bu dünyanın, içinde kral Salomon, Ophélie ve Himmler'in birlikte yattıkları kocaman bir toplu mezar olduğunu idrak edebilirim. Alors, même étant balancé dans une fosse commune... il est toujours Hodge Joueur de tambour. Bir toplu mezarlığa atılmış olsa da, o yine de Davulcu Hodge. Il m'a dit qu'il irait dans une fosse commune. Tu finiras dans une fosse commune. Eski okul arkadaşına hoşçakal partisi de olmayacak mı? et en les jetant dans une fosse commune? On découvre en Colombie une fosse commune de 2000 cadavres. Au Mexique, 166 cadavres retrouvés dans une fosse commune Meksika'da toplu mezarda bulunan 166 kişiden oluşan ceset olarak keşfi Raqqa a été détruite à 90%, la ville est devenue une fosse commune Il est enterré dans une fosse commune, mais laquelle ? Bir adam öldürülmüş ve bir tarlaya gömülmüştür; ama hangi tarlaya? Et puis il l'a enterrée dans une fosse commune anonyme. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 40. Exacts 40. Temps écoulé 116 ms.
Lecamion toupie a heurté le balcon d'une maison avant de terminer sa course dans un pré, sur le flanc. Par chance, il n'y a aucun blessé. « Aussi bien le chauffeur que la famille : tout le
Publié le 14 janvier 2017 à 15h28 Un camion qui transportait du gaz propane s'est renversé ce samedi, vers 10 h, sur la commune de Dourdain 35, près de Liffré. Selon les premiers éléments de l'enquête, le chauffeur, qui a été légèrement blessé dans l'accident, circulait sur l'axe Dourdain – Liffré lorsqu'il a dérapé sur le verglas à la hauteur du lieu-dit Plessis-Pillet. Le camion qui contenait litres de propane a effectué des tonneaux avant de finir sa course dans un fossé, heurtant au passage un poteau téléphonique. Rapidement une vingtaine de pompiers ont été dépêchés sur place, dont l'unité spécialisée dans les risques chimiques et biologiques. Après avoir mis en place un périmètre de sécurité, les secours ont détecté une micro-fuite sur la cuve du camion qui a pu être colmatée. Une opération de relevage du poids-lourd est actuellement en cours avant que le gaz ne soit transféré dans une autre citerne. Au cours de la matinée, les pompiers ont ainsi effectué une dizaine d'interventions pour des accidents liés au verglas sur l'ensemble du département de l'Ille-et-Vilaine. CcPaQ.
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  • risque de finir dans une fosse commune