Dumoment que cela constitue un devoir religieux pour la musulmane, il n’est pas acceptable - du point de vue de la religion, de l’éthique, de la coutume, de la loi et de la constitution - qu’elle soit contrainte de l’enlever, violant ainsi ses convictions et sa conscience.

Travailler avec le voile en France se rĂ©vĂšle ĂȘtre le parcours du combattant. Pourtant, juridiquement, rien ne l’interdit. En effet, il n’existe aucune loi en France indiquant que les femmes musulmanes doivent obligatoirement l’enlever. Il est important de souligner que dans le secteur public tel que les administrations ou autres, le principe de laĂŻcitĂ© est appliquĂ©. En revanche, dans le secteur privĂ©, le voile est autorisĂ©. Mais attention, l’employeur est quand mĂȘme libre de mettre une condition de neutralitĂ© dans le rĂšglement intĂ©rieur de l’entreprise. Ce qui veut dire qu’il peut interdire tout signe philosophique, politique ou religieux. Et pour continuer dans la contradiction, un employeur n’a pas le droit d’interdire le voile pour seul motif religieux. Les seules raisons valables de le prohiber sont que celui-ci doit avoir des consĂ©quences nĂ©fastes au niveau de la sĂ©curitĂ© et de l’hygiĂšne. En 2009, la sociĂ©tĂ© Micropole a injustement licenciĂ© une sƓur voilĂ©e. CondamnĂ©s par la cour de Versailles, son renvoi a donc Ă©tĂ© annulĂ© et une indemnitĂ© de 15 000€ a dĂ» lui ĂȘtre versĂ©. Avant d’aller plus loin dans l’article, je t’invite Ă  regarder l’atelier d’Emma qui t’explique comment trouver une idĂ©e de formation rentable et la crĂ©er en 30 jours pour vivre de ton activitĂ© en ligne. Non ce n’est pas une arnaque ma soeur ! Quelles sont les rĂ©elles raisons pour lesquelles nous ne pouvons pas travailler avec le voile en entreprise ? Pour ma part, je n’en vois qu’une seule C’est tout simplement de l’islamophobie ! Je ne t’apprends rien
 En France, il rĂšgne un rejet de l’Islam ahurissant, et c’est bien pour cette raison que nous ne pouvons travailler avec le voile. Les causes Ă©tant que les mĂ©dias et le gouvernement ne font qu’accroĂźtre cette haine du musulman. Tout est bon pour nous pointer du doigt Selon eux, nous sommes soumises Ă  nos maris Les hommes de notre famille nous forcent Ă  porter le voileL’islam est une religion de terroriste, d’intĂ©griste, de radicaux, d’extrĂ©miste, bref tout ce qui finit en “iste”. Puis, ce sont les premiers Ă  dire qu’il ne faut pas faire d’amalgame entre les “musulmans” et les “islamistes” comme ils le disent si bien. Quand il y a un journaliste ou un dĂ©putĂ© qui a le courage de nous soutenir publiquement, il se fait insulter “d’islamo-gauchiste”. Évidemment, tout ça n’a aucun sens. Mais nous savons pertinemment que l’Islam est une religion qui prĂŽne la paix, l’amour, la misĂ©ricorde mais aussi la bienfaisance. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’il y a Ă©normĂ©ment de converties par la grĂące d’ALLAH. C’est une religion qui amĂšne la sĂ©rĂ©nitĂ© du coeur et que seul un musulman sincĂšre pourra comprendre et connaĂźtre. Comment faire pour trouver un employeur qui accepte de nous faire travailler avec le voile ? Si tu souhaites travailler avec le voile, c’est simple Il faut y aller au culot ! Rends-toi tout simplement avec en entretien d’embauche. En vĂ©ritĂ©, il existe encore des employeurs qui acceptent, notamment dans les centres d’appels. J’ai constatĂ© qu’il y a encore quelques sƓurs qui arrivent Ă  trouver du travail Ă©tant voilĂ©es. Certes, cela n’est pas une mince affaire, mais beaucoup sont prĂȘtes Ă  faire tous les efforts nĂ©cessaires pour ne pas avoir Ă  le retirer. Et cela passe avant tout par le fait de faire des recherches. Si tu es sur Facebook, tu trouveras un grand nombre de groupes d’annonces proposant de l’emploi pour femmes voilĂ©es dans diffĂ©rents domaines. Enlever son voile pour travailler ou le garder et placer sa confiance en Allah ? Je pense que la question ne se pose mĂȘme pas. Allah nous a appelĂ© Ă  patienter sur son obĂ©issance. Si tu ne trouves pas de travail avec ton voile, je t’enjoins Ă  invoquer trĂšs souvent Le TrĂšs-Haut ! Allah est Celui qui donne et Celui qui restreint Ă  qui Il veut. Que diras-tu le jour des comptes ? “Ô Allah, j’avais besoin d’argent pour vivre, j’ai donc troquĂ© mon voile pour gagner ma vie ». Qu’Allah nous raffermisse. Ceci n’est pas une excuse. C’est plutĂŽt un manque de confiance en notre Seigneur. Chaque crĂ©ature a sa subsistance. Et parfois, pour Ă©viter de tomber dans l’interdit, il vaut mieux se contenter de peu. Ô les croyants ! ObĂ©issez Ă  Allah, et obĂ©issez au Messager » An Nissa – 59 Je te mets en lien la fatawa du noble Sheikh Bazmoul qu’Allah le prĂ©serve au sujet de la femme qui retire son voile par nĂ©cessitĂ©. Quelles sont les meilleures alternatives pour Ă©viter de devoir enlever ton voile ? Sans aucun doute, l’entrepreneuriat ! Je pense que tu as dĂ» remarquer sur les rĂ©seaux sociaux que de plus en plus de femmes musulmanes se dirigent vers une activitĂ© en ligne. Étant donnĂ© que nous sommes rejetĂ©es du monde du salariat, il faut donc ouvrir d’autres portes. C’est pourquoi beaucoup de sƓurs se lancent dans divers business, tels que le e-commerce, l’affiliation, la vente de formation en ligne, le coaching etc
 Ce sont les business qui marchent le mieux. D’ailleurs, j’ai Ă©crit un article oĂč je te donne des idĂ©es d’activitĂ© en ligne. Par expĂ©rience, si tu souhaites te lancer rapidement et gĂ©nĂ©rer des revenus avec peu de clients, je te recommande vivement la prestation de services ou le coaching/accompagnement. Ces domaines d’activitĂ©s nĂ©cessitent un faible investissement financier et avec un seul rĂ©seau social tu pourras trĂšs vite dĂ©marrer. Quand je parle de prestation de services, cela peut ĂȘtre dans tout domaine confondu graphiste, webmaster, community manager, assistante virtuelle etc
 Idem pour le coaching et l’accompagnement. Il suffit d’avoir une compĂ©tence ou de te former dans un domaine pour en acquĂ©rir une. Beaucoup de gens en ont assez des formations en ligne Ă©tant donnĂ© que les conseils sont trĂšs gĂ©nĂ©raux. Les gens veulent des rĂ©sultats et prĂ©fĂšrent dĂ©sormais se faire accompagner. Le but d’un accompagnement/coaching est d’amener une personne d’un point A Ă  un point B. C’est-Ă -dire qu’une personne a un problĂšme et qu’avec ton expĂ©rience et tes compĂ©tences, tu vas pouvoir lui apporter des solutions adaptĂ©es. Exemple 1 Tu as des enfants et une trĂšs bonne gestion de ton foyer. Sache que cela n’est pas donnĂ© Ă  tout le monde ! Beaucoup de mamans sont en plein burn-out et souhaiteraient avoir une meilleure organisation pour allĂ©ger leur quotidien. Tu peux donc les aider et leur donner des outils nĂ©cĂ©ssaires pour gĂ©rer au mieux leur foyer. Exemple 2 Tu es arabophone. Tu peux donc accompagner des femmes et/ou enfants dans l’apprentissage de la langue arabe. Des exemples comme ceux-ci, je peux en citer plein. Comme mentionnĂ© plus haut, il suffit d’avoir une compĂ©tence ou te former pour aider les autres dans divers domaines. L’affiliation m’a permis de mettre un pied dans l’entrepreneuriat Pour t’en dire un peu plus sur moi, je m’appelle Leslie, j’ai 31 ans et je suis dans le business depuis maintenant plus de 4 ans. J’ai créé plusieurs activitĂ©s qui m’ont permis de gagner de l’argent sur internet. Dont l’affiliation qui me permet de gĂ©nĂ©rer un complĂ©ment de revenu. La formation qui m’a le plus profitĂ© est celle de notre chĂšre soeur Emma, du blog Ambitions FĂ©minines. Tu as peut-ĂȘtre dĂ» en entendre parler autour de toi ou sur internet. Emma est la rĂ©fĂ©rence dans le domaine de l’affiliation. C’est pourquoi je ne peux que te la recommander. J’ai touchĂ© plus de 1500 € de commissions, ce qui n’est pas nĂ©gligeable. Si tu souhaites en savoir plus je t’invite Ă  dĂ©couvrir la mĂ©thode qui lui a permis de gĂ©nĂ©rer 996 € de commissions en 2 jours. Alors tout le monde n’aura pas ce rĂ©sultat-lĂ , mais ça vaut largement le coup pour de tenter de gagner un complĂ©ment de revenu sur internet non ? Clique ici pour accĂ©der Ă  la mĂ©thode. Voici une petite liste de domaines d’activitĂ©s dans lesquels tu peux te former afin de lancer ton business depuis ton foyer Affiliation RĂ©dactrice web Graphiste Assistante digitale Formation GRATUITE 3 business Ă  lancer de chez vous sans budget en 2021 » Deviens Freelance Une fois que tu auras acquis une compĂ©tence, il te sera indispensable de maĂźtriser un rĂ©seau social pour attirer du monde vers tes offres. Pour cela, Instagram is THE PLACE TO BE! Nous sommes tous d’accord pour dire Ă  quel point les rĂ©seaux sociaux sont une perte de temps. Mais crois-moi, pour le business c’est le top ! En quelques clics tu peux lancer ton activitĂ© et toucher trĂšs rapidement tes premiers euros sur internet. Par contre, Instagram demande de la rigueur, de la patience, et une prĂ©sence constante. Mais tout est possible avec l’aide d’Allah. De plus, tu n’es pas obligĂ© de te montrer ! Et ça, c’est le luxe quand on sait qu’en tant que salariĂ© nous ne pouvons pas travailler avec le voile. Que demander de plus ? Voici donc un cours gratuit qui te permettra d’optimiser ta page Instagram et augmenter ta visibilitĂ© dans le but de vendre tes produits et/ou services Tu seras ensuite redirigĂ©e vers une formation hyper complĂšte qui va t’apprendre toutes les stratĂ©gies nĂ©cessaires pour dĂ©velopper ton activitĂ© sur cette plateforme. Je l’ai testĂ©e et c’est une mine d’or ! Tout ça c’est bien, mais comment rĂ©ellement trouver un domaine d’activitĂ© qui te fera vibrer ? Il ne faut pas chercher midi Ă  14h. Il va falloir que tu testes plusieurs types de business. Dans l’entrepreneuriat, il est trĂšs rare de trouver sa voie du 1er coup. D’ailleurs, c’est souvent pareil dans le salariat. On nous pousse vers nos 15-16 ans Ă  trouver notre voie. Une fois adulte, on se rend compte que certains choix ne nous conviennent pas. Surtout que ces choix d’activitĂ©s mĂšnent en prioritĂ© au salariat, et comme tu le sais, travailler avec le voile en France n’est vraiment pas une mince affaire. C’est pour cela que je recommande aux sƓurs d’essayer plusieurs domaines d’activitĂ©s pour voir ce qui pourrait leur convenir. Le mieux est d’exercer dans un domaine qui te plaĂźt. Ce sera pour toi le meilleur moyen de perdurer, persĂ©vĂ©rer et donner le meilleur de toi-mĂȘme dans ton activitĂ©. Je te conseille de noter sur un papier une liste de 10 choses que tu aimes faire. Ce dont tu portes un rĂ©el intĂ©rĂȘt. Regarde ensuite sur internet si il existe une activitĂ© en ligne Ă  lancer. Si c’est le cas, alors forme-toi pour acquĂ©rir des compĂ©tences et dĂ©marrer sans plus attendre. Si ce travail est trop fastidieux pour toi, sache que je peux t’aider Ă  trouver ton domaine de compĂ©tence en te fournissant un exercice sur feuille hyper complet. Pour en savoir plus, je t’invite encore une fois Ă  t’inscrire ici ! Je te contacterai pour t’envoyer l’exercice et te dire quoi complĂ©ter. Ensuite, je vais te citer le ou les domaines d’activitĂ©s les plus profitables pour toi. Le but ultime est de crĂ©er un business qui te ressemble, sur une thĂ©matique qui te passionne. Quoi de mieux ? Tu aimerais te lancer mais tu as encore trop de peurs et de blocages Sache que c’est normal ! On passe tous par lĂ . On se demande si on fait le bon choix. AprĂšs tout, c’est toujours plus simple de travailler pour un patron qui nous dit quoi faire. Mais seule devant ton ordinateur, c’est autre chose. Si tu penses comme ça, il va falloir que tu travailles ton mindset Ă©tat d’esprit. Ne laisse pas les ambiguĂŻtĂ©s de shaytan te bouffer au risque de te renfermer dans une situation qui te frustre. PĂšse le pour et le contre, entrepreneuriat ou salariat ? Je pense qu’au fond de toi le choix est vite fait. Alors jette tes peurs Ă  la poubelle et lance-toi dans une activitĂ© alignĂ©e Ă  tes principes et tes valeurs. Tu as vraiment tout Ă  y gagner ! Travailler Ă  la maison c’est bien, mais il y a une chose bien plus importante Ă  privilĂ©gier Je parle bien Ă©videmment de ta religion
 Nous vivons dans une Ă©poque oĂč nous sommes beaucoup trop attachĂ©s et noyĂ©s par le quotidien de ce bas monde. Il est clair que travailler depuis son domicile est un grand bienfait qu’Allah peut nous accorder. En effet, tu n’auras plus de soucis par rapport aux priĂšres, au voile, Ă  la mixitĂ© etc
 Mais sache que se lancer Ă  son compte demande beaucoup d’investissement personnel. Clairement, “le jeu” en vaut la chandelle. Il faudra donc que tu revoies ton organisation de fond en comble. Ne dĂ©laisse jamais ton foyer ni l’apprentissage religieux pour obtenir les biens de ce bas monde. Tu n’auras pas de baraka bĂ©nĂ©diction dans ton business. N’oublie jamais qu’Allah nous a créés pour qu’on l’adore. Le but ultime du croyant est d’obtenir l’agrĂ©ment d’Allah pour nous faire rentrer au jannah. Et ceci passe par accomplir ce qui est obligatoire pour chaque croyant et croyante. Perdurer mais aussi amĂ©liorer ses obligations religieuses et apprendre son din pour augmenter sa foi. Nul doute qu’Allah te facilitera dans tes affaires de ce bas monde et surtout dans l’au-delĂ . En espĂ©rant que cet article ait pu te donner quelques pistes. Travailler avec le voile en France ne sera dĂ©sormais plus un problĂšme si tu passes Ă  l’action dans le but de prĂ©server ta religion. Je dis souvent aux sƓurs qu’Allah nous a mis internet comme moyen de subsistance, il faut donc en profiter. Il ne fait pas les choses par hasard. Fais les causes et place ta confiance en Allah, c’est Lui qui facilite et qui accorde la rĂ©ussite. Cet article t’a plu ? N’hĂ©site pas Ă  le partager sur Pinterest âŹ‡ïž

DĂ©couvredes vidĂ©os courtes en rapport avec enlever le voile devant les femme sur TikTok. Regarde du contenu populaire des crĂ©ateurs suivants : MĂ©lanie.msk(@melanie.msk), 🍩(@qlf.2030), User(@user1312121212_spam), Redazere(@redazere), (@sdk_dzz), Ù„Ű§ Ű„ له Ű„ Ù„Ű§ لله(@anti.kufar), shawty’s(@sherwiie), Bilel(@bileeel6), Imane đŸ«¶đŸŒ(@imane_655), matteo(@lapolitiquedemat
Vous allez dĂ©couvrir le tĂ©moignage de 3 femmes qui travaillent avec leur voile dans des secteurs trĂšs diffĂ©rents. Je prĂ©cise que le but de cet article est d’encourager mes sƓurs qui sont contraintes de retirer leur voile pour travailler Ă  ne plus le faire et je sais qu’elles sont nombreuses, qu’Allah leur accorde une meilleure issue .À travers ces tĂ©moignages, je tiens Ă  montrer qu’Allah nous facilite lorsque l’on fait preuve de sincĂ©ritĂ© et de dĂ©termination face aux cependant, je me dois de prĂ©ciser que la situation des sƓurs prĂ©sentĂ©es ici n’est pas la meilleure qui soit. L’idĂ©al, bien sĂ»r, pour une femme musulmane qui souhaite travailler est de le faire dans une entreprise oĂč la mixitĂ© est Ă©vitĂ©e, dans laquelle elle peut prier Ă  l’heure et porter son voile sans avoir besoin de l’adapter, ou encore mieux de crĂ©er sa propre je suis aussi totalement consciente que ceci n’est pas donnĂ© Ă  tout le monde et que nombreuses sont les femmes qui sont contraintes de travailler pour vivre. C’est une rĂ©alitĂ© que l’on ne peut remercie les 3 sƓurs qui ont acceptĂ© d’apporter leur tĂ©moignage et je demande Ă  Allah qu’Il les rĂ©compense pour leurs efforts. Tout commentaire visant Ă  les juger et les dĂ©nigrer sera supprimĂ©. Je vous demande de faire preuve de douceur et de compassion pour ces sƓurs qui font du mieux qu’elles peuvent pour concilier travail et religion.Habiba, travaille sur une plate-forme courrier Je travaille sur une plate forme courrier depuis 3 ans mais fait partie de la sociĂ©tĂ© depuis 8 ans. Je ne suis pas en contact avec la clientĂšle Je ne portais pas le voile Ă  mon arrivĂ©e sur la plate forme. C’est un an aprĂšs que j’ai passĂ© le cap al hamdoullillah !Au dĂ©but, mon employeur ne disait rien, certains collĂšgues avaient parfois des propos blessants
mais tout allait bien tant qu’on Ă©tait en pĂ©riode de froid! Car en Ă©tĂ©, bonjour les rĂ©flexions! Car mĂȘme avec une forte chaleur j’étais obligĂ©e de porter un col roulĂ©, gilet
.Je vis bien le port du foulard au travail mĂȘme si c’est parfois difficile surtout quand on est victime de discrimination
mais al hamdoullillah, je tiens le coup et montre toujours une bonne image de notre noble religion! Et je dirai que ça paye! Car certaines personnes s’y intĂ©resse et se montre mĂȘme tolĂ©rante malgrĂ© l’image que nous donne les il y a toujours quelques irritables. ..mais on fait avec. Je conseille aux soeurs qui travaillent avec le voile de ne pas se laisser intimider car certains employeurs font tout pour nous dĂ©tourner de nos obligations
Dans le positif un jour un collĂšgue de travail qui ne partage pas la mĂȘme religion Ă  dit Ă  une autre collĂšgue qu’elle devrait s’habiller comme moi! Car c’est comme cela qu’une femme doit sortir! C’est trĂšs touchant et ça fait du bien de ne pas ĂȘtre prise pour une extra terrestre lol!Pour ce qui est du nĂ©gatif J’ai Ă©tĂ© convoquĂ©e et que m’a-t-on demandĂ© ?? De me decouvrir un peu, car je gĂȘnais quelques collĂšgues
. » quelle lĂąchetĂ© de la part de mes supĂ©rieurs
.pas de bol pour eux
ils n’ont gagnĂ© que mes larmes, car bi idhni Llahi je ne me dĂ©couvrirai jamais pour leur plaire! Et de plus j’ai eu le soutien de mes collĂšgues qui Ă©taient prĂȘts Ă  faire une pĂ©titions Soubhannallah
Qu’Allah 3azzawajal nous facilite car honnĂȘtement c’est difficile surtout lorsque qu’on est la seule. »Fatima, conseillĂšre en Ă©conomie sociale et familiale » Cela va faire 3 ans que je travaille alhamdoulillah. Je suis travailleur social dans une assoc qui aide les gens qui sont en prĂ©caritĂ© de logement. Je suis conseillĂšre en Ă©conomie sociale et familiale ou j’ai passĂ© l’entretien je ne portais pas encore le voile mais j y pensais de plus en plus. Le jour de l’entretien, j’y suis allĂ©e avec un foulard sur la tĂȘte en mode turban pour voir si ça passait. 2 semaines aprĂšs, l’employeur m’a rappelĂ©e pour me dire que ma candidature Ă©tait acceptĂ©e. Mais entre temps, j’avais dĂ©cidĂ© de porter le voile, travail ou pas ! Quand j’ai commencĂ© a travailler, je venais au bureau en hijab mais je le mettais en turban devant mes collĂšgues et la jour lors d’une rĂ©union d’équipe avec le directeur, chef de service
 je me suis rendue compte subhannallah en me grattant la tĂȘte que j’avais gardĂ© mon foulard en hijab et non en turban. J’ai regardĂ© Ă  ma gauche et Ă  ma droite et je n’ai senti aucun regard bizarre, du coup depuis je travaille avec mon hijab n’ai jamais eu de rĂ©flexion de la part de mes collĂšgues ou de la direction. Au dĂ©but je portais des pantalons avec d tuniques mais depuis 2 ans je mets que des jupes ou robes. Il m’arrive souvent d’enlever mon foulard quand je suis au bureau car mes collĂšgues sont des je fais des visites Ă  domicile chez des familles je garde mon foulard. Je sens bien l’étonnement de certaines familles lorsqu’elles me voient pour la 1Ăšre fois. Je n ai pas le profil type de l assistante sociale! Et oui, en plus d’ĂȘtre noire je suis musulmane! Je sens un peu de gĂȘne parfois quand je rencontre certains partenaires prĂ©fectures, bailleurs, assistantes sociales de secteur. Je me sens parfois gĂȘnĂ©e et anxieuse de les rencontrer mais Allah me donne la force de surmonter tout la priĂšre j’ai accĂšs Ă  une salle de rĂ©union ou je peux faire ma priĂšre en sous marin. Je sors de mon bureau sans rien dire et je reviens 10 min aprĂšs. Certaines collĂšgues pensent que je vais aux toilettes pour ĂȘtre plus tranquilles que dans celles qui sont dans nos bureaux! Alors je les laisse croire. Seules 2 personnes de qui je suis trĂšs proche sont au courantAlhamdoulillah, je me plains parfois de mon travail mais je sais que ce n’est pas donnĂ© a tout le monde. Le conseil que je peux donner Ă  mes sƓurs, c’est de chercher du boulot dans des associations ou des petites entreprises. C’est dĂ©jĂ  plus ouvert. La fonction publique et les grandes entreprises on oublie! Luz rĂ©dactrice, assistante chef de projets web » J’ai trouvĂ© mon emploi en rĂ©pondant Ă  une annonce sur internet, Ă  vrai dire, j’ai Ă©tĂ© contactĂ©e 4 mois aprĂšs avoir envoyĂ© mon CV. J’avais postulĂ© un peu partout et j’avais mĂȘme oubliĂ© que j’avais prĂ©sentĂ© mon CV pour ce poste lĂ  en particulier. Il s’agit d’un poste de RĂ©dactrice, Assistante Chef de Projets WebJe portais mon voile Ă  ce moment lĂ , mais je l’ai retirĂ© pour l’entretien. En dĂ©sespoir de cause, aprĂšs plusieurs revers, j’ai tentĂ© de postuler pour la premiĂšre fois sans mon voile. L’entretien s’est trĂšs bien passĂ© el-hamdulillEh. J’ai Ă©tĂ© rappelĂ©e l’aprĂšs-midi mĂȘme et on m’a proposĂ© de dĂ©marrer dĂšs le lundi suivant l’entretien s’est dĂ©roulĂ© un vendrediPour ma premiĂšre journĂ©e de travail, j’ai dĂ©jeunĂ© avec mon patron afin qu’on discute du poste et qu’on fasse mieux connaissance. LĂ , on a parlĂ© de tout et de rien, et de la religion, des croyances. J’ai dĂ©cidĂ© de lui dire que j’étais croyante et pratiquante, et qu’en dehors du travail je portais le voile, et que j’ai Ă©tĂ© contrainte Ă  le retirer parce que je ne trouvais pas de travail. Mon employeur m’a alors dit dĂšs demain tu peux venir avec ton voile, ça ne me pose aucun problĂšme et je me suis dit El hamdulillEh !Tout se passe trĂšs bien au travail, Dieu merci. Mes collĂšgues comme mon patron sont tous respectueux et gentils. Voile ou pas voile, ils m’acceptent et on forme une Ă©quipe harmonieuse, on s’entend bien. Cependant, lors de salons, ou bien pour certaines rĂ©unions ou rendez-vous Ă  l’extĂ©rieur, je suis contrainte de retirer mon voile, car les clients ne sont pas tous tolĂ©rants 
Petite anecdote Un jour j’ai assistĂ© Ă  une rĂ©union avec des clients extĂ©rieurs en gardant mon voile, durant toute la rĂ©union, l’un des clients me fixait, et je me disais eh bien, ça ne va pas marcher parce qu’il a l’air d’avoir un problĂšme avec mon voile celui-lĂ  
 » Avant de sortir, le monsieur m’a dit Salam alaykum ma sƓur », comme quoi il ne faut jamais prĂ©juger ni juger !Si j’avais un conseil Ă  donner aux soeurs qui veulent travailler avec le voile, c’est de persĂ©vĂ©rer, d’avoir foi en notre Seigneur. Allah rĂ©serve des Ă©preuves Ă  chacun et Ă  chacune d’entre nous, je pense qu’avant de faire un choix, ou d’entreprendre une action, il faut s’en remettre Ă  Lui. Il a Ă©tĂ© trĂšs difficile pour moi de trouver un emploi. MalgrĂ© mes compĂ©tences et mes expĂ©riences professionnelles, on m’a souvent refusĂ©e car je portais le voile sans me le dire clairement, cependant, souvent les entretiens prĂ©liminaires par tĂ©lĂ©phone se dĂ©roulaient trĂšs bien, et parfois ce sont mĂȘme les entreprises qui faisaient la dĂ©marche de venir vers moi et me contactaient car j’avais mis mon CV en ligne. Je sais donc quel sentiment de frustration on peut ressentir Ă  ne pas ĂȘtre prise malgrĂ© ses compĂ©tences, juste parce qu’on porte un carrĂ© de tissu sur la tĂȘte ! Quelques conseils Ă  nos sƓurs qui cherchent dĂ©sespĂ©rĂ©ment un emploiNe renoncez jamais Ă  vos valeursPlacez pleinement votre confiance en Allah et soyez persuadĂ©es qu’Il sait ce qu’il y a de mieux pour vous et qu’Il vous l’accordera en temps voulu si vous faites preuve de patienceFaites toutes les causes possibles pour amĂ©liorer votre situation entrepreneuriat, reconversion professionnelle, hijra
N’oubliez pas que cette vie est Ă©phĂ©mĂšre et qu’il vaut mieux un emploi simple » dans l’obĂ©issance Ă  Allah, qu’un poste prestigieux dans la dĂ©sobĂ©issance et le vous accorde le meilleur dans cette vie et dans l’autre.
Quisont les personnes en présence desquelles il est permis à la femme musulmane de retirer son voile ? Texte de la réponse Louange à Allah. Il est permis à la femme musulmane de retirer son voile devant ses mahram.
La Flandre vient d’avoir une idĂ©e gĂ©niale pour remĂ©dier Ă  la pĂ©nurie d’enseignants lever l’interdiction du voile ! C’est que de nombreuses jeunes femmes musulmanes, paraĂźt-il, sont titulaires d’un diplĂŽme d’enseignement mais ne trouvent pas de travail, parce qu’elles sont voilĂ©es et que la plupart des Ă©tablissements refusent que les enseignants portent des signes extĂ©rieurs de leurs convictions. Or, elles refusent de l’enlever, arguant de la libertĂ© religieuse que leur reconnaĂźt la voix s’élĂšvent donc pour rĂ©clamer que l’on mette fin Ă  cette interdiction. Car quel gaspillage de talents, rendez-vous compte ! Nous disposons en Flandre d’un vĂ©ritable vivier d’enseignantes dĂ»ment formĂ©es, et par ailleurs 3 000 postes sont Ă  pourvoir. L’équation est simple
 Savoir-ĂȘtre » de l'enseignantSimple en effet, mais peut-ĂȘtre trop simple, en ce qu’elle ne tient aucun compte des motifs pour lesquels tant d’écoles flamandes interdisent aux enseignants le port d’un signe religieux – Ă  l’instar, d’ailleurs, de la rĂšgle qui prĂ©vaut dans l’ensemble de l’enseignement francophone et qui interdit aux enseignants, en vertu du dĂ©cret neutralitĂ©, de tĂ©moigner de leur prĂ©fĂ©rence pour un systĂšme 
 religieux ».Or, admettre qu’un enseignant affiche, devant ses Ă©lĂšves, ses convictions religieuses, c’est considĂ©rer que la neutralitĂ© ne fait pas partie des compĂ©tences requises pour enseigner. C’est partir du principe qu’un bon enseignant est un enseignant qui maĂźtrise les savoirs qu’il lui incombe de transmettre, voire est dotĂ© d’un certain nombre de compĂ©tences strictement pĂ©dagogiques, mais exclure du champ de ces compĂ©tences ce que les pĂ©dagogues appellent un savoir-ĂȘtre ». Celui, prĂ©cisĂ©ment, qui permet Ă  l’enseignant de dissocier sa personne privĂ©e, porteuse de convictions, d’engagements et de prĂ©fĂ©rences personnelles variĂ©s, et la fonction qu’il de neutralitéÀ la question Pourquoi ne pourrait-on pas enseigner avec un voile ? », une autre question me paraĂźt donc devoir ĂȘtre prĂ©fĂ©rĂ©e Pourquoi des enseignantes diplĂŽmĂ©es refusent-elles d’enlever leur voile Ă  l’école ? ».PosĂ©e sous cet angle, la question ferait certainement Ă©merger des Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse pour le moins Ă©clairants, certes plus embarrassants que le sempiternel mantra Mon voile, ma libertĂ© » encore scandaleusement vĂ©hiculĂ© par la toute rĂ©cente campagne du Conseil de l’ il est pour le moins curieux qu’à l’heure oĂč fleurissent tant de thĂ©ories sur le savoir-ĂȘtre et la communication non verbale, il faille batailler pour faire admettre qu’afficher sa conviction religieuse devant ses Ă©lĂšves, tout au long de l’annĂ©e, est un acte de communication Ă  part entiĂšre qui dit quelque chose de soi. Et que ce quelque chose », outre qu’il n’a simplement pas sa place dans la relation pĂ©dagogique, a nĂ©cessairement Ă  voir, par quelque bout qu’on le prenne, avec le rapport au dogme religieux d’une part, avec le corps fĂ©minin de l’ fondamentalement encore, le refus de se dĂ©partir de ses signes religieux devant ses Ă©lĂšves signe un refus de voir le religieux peu ou prou assignĂ© Ă  la sphĂšre privĂ©e. En un mot comme en cent un refus de la sĂ©paration du politique et du religieux dont nous savons pourtant qu’il est la condition de possibilitĂ© de la paix LIRE AUSSI DerriĂšre la campagne pro-voile du Conseil de l’Europe, la galaxie des frĂšres musulmans Larmes de Crystal ~ Une silhouette Ă©tait dans les couloirs, ces couloirs sombres, sinistres cela faisait une drĂŽle d’impression surtout quand on sortait d’un Photo d'illustration - Damien Meyer - AFP -A Orange, une ville tenue par l'extrĂȘme droite, un prĂ©sident de bureau de vote a demandĂ© Ă  une femme de retirer son voile pour voter. L'Ă©lectrice a dĂ©cidĂ© de porter Ă  la sĂ©curitĂ© de la ville d'Orange, tenue par l'extrĂȘme droite depuis 1995, a demandĂ© Ă  une femme de retirer son voile pour pouvoir voter, rapporte ce mercredi France Bleu Vaucluse."Le monsieur me regardait avec un air bizarre. Il m'a dit 'Madame, vous enlevez votre voile, c'est la loi, sinon vous ne votez pas! J'ai un foulard, mĂȘme pas le voile... avec une chemise, un jean des baskets", a tĂ©moignĂ© NaĂŻma El Omar au micro de France Bleu Vaucluse. "J'ai Ă©tĂ© choquĂ©e, j'ai enlevĂ© mon foulard devant tout le monde. Quand je suis partie, j'ai pleurĂ©." Travaille Ă  la paroisse d'OrangeDans ce bureau de vote numĂ©ro 7, le prĂ©sident a affirmĂ© que la photo de la carte d'identitĂ© de cette Ă©lectrice ne lui ressemblait pas. D'oĂč sa demande. Sauf que la loi n'interdit pas les signes religieux dans les bureaux de vote, mais uniquement les vĂȘtements dissimulant le visage."Un voile encadrant le visage n'empĂȘche pas le contrĂŽle de l'identitĂ© de l'Ă©lecteur", rappelle la circulaire du Conseil constitutionnel de janvier sur le dĂ©roulement des opĂ©rations d'autres termes, une Ă©lectrice peut se prĂ©senter avec un foulard, si son visage n'est pas dissimulĂ©. Aussi cette Ă©lectrice, Ă©pouse d'un ancien lĂ©gionnaire, et qui travaille Ă  la paroisse d'Orange, a portĂ© plainte deux jours aprĂšs son vote.

Rachida la femme qui a retiré son voile face à Zemmour, est menacée de mort et le raconte chez Hanouna Rachida a expliqué qu'elle avait reçu des menaces de mort pour son geste devant Eric

PubliĂ© le 24/05/2018 Ă  2116, Mis Ă  jour le 24/05/2018 Ă  2137 Une buraliste qui avait refusĂ© de dĂ©livrer un colis Ă  une musulmane voilĂ©e, au motif qu'elle ne pouvait pas contrĂŽler son identitĂ©, a comparu aujourd'hui devant le tribunal correctionnel d'Albi. La plaignante avait expliquĂ© que son visage restait visible lorsqu'elle a prĂ©sentĂ© sa carte d'identitĂ© pour rĂ©cupĂ©rer son colis, en avril dernier. Le procureur a requis trois mois de prison avec sursis et 3000 euros d'amende. Le tribunal rendra son jugement le 28 lire aussiOuverture du procĂšs de la buraliste qui exigeait que sa cliente retire son voileCette convertie, ĂągĂ©e d'une trentaine d'annĂ©es, avait acceptĂ© d'enlever son voile Ă  l'Ă©cart des regards des hommes, ce que la commerçante avait refusĂ©. La cliente avait alors portĂ© plainte pour discrimination en raison de la religion. Le Mrap et la Licra s'Ă©taient portĂ©es partie civile, rĂ©clamant entre 1500 et 2000 euros de buraliste albigeoise comparaissait pour "refus de biens ou services au profit d'une personne physique ou morale en raison d'une appartenance supposĂ©e ou non Ă  une religion dĂ©terminĂ©e". Elle a affirmĂ© qu'elle n'avait "rien contre la religion, nous avons mĂȘme refusĂ© de servir une religieuse qui refusait d'enlever son voile". Elle a dit avoir "peur" depuis un braquage d'un bureau de poste Ă  proximitĂ©. Plaidant la relaxe, son avocat Me Simon Cohen a accusĂ© les parties civiles de "pratiquer l'amalgame", arguant que "dans ce bureau de tabac, la rĂšgle est appliquĂ©e pour tous".

Ilarrive que dans certains pays, les femmes musulmanes puissent ĂȘtre forcĂ©es Ă  enlever leur voile et de laisser leurs tĂȘtes dĂ©couvertes. Est-ce qu'il leur est permis de faire cela,

Je me promenais dans un parc, les cheveux dĂ©couverts pour la premiĂšre fois depuis prĂšs de 20 ans. Mes oreilles Ă©taient toutes rouges. Je m'Ă©tais prĂ©parĂ©e mentalement avant de quitter la maison, anticipant la sensation du vent qui allait souffler dans mes cheveux, les mĂšches caressant mes joues. Mais ce qui m'a le plus marquĂ© ce jour-lĂ , c'est cette sensation inhabituelle de picotement que j'ai ressenti sur mes oreilles, surprises par l'air frais de y a beaucoup de choses que j’aurais dĂ» prĂ©voir lorsque j’ai pris la dĂ©cision d’enlever mon voile il y a deux ans comme le froid sur mes oreilles rouges ce matin-lĂ , et pourtant, j’ai Ă©tĂ© prise au commencĂ© Ă  porter le hijab Ă  l'Ăąge de 10 ans et je l'ai retirĂ© Ă  28. J'ai flirtĂ© avec l'idĂ©e de longs mois avant de me dĂ©cider. Et quand je l'ai fait, ce n'Ă©tait pas exactement une occasion heureuse pour moi. J'avais l'impression d'ĂȘtre dans une impasse dans ma vie spirituelle et je devais accepter la dure rĂ©alitĂ©, Ă  savoir que mon hijab n'avait plus la mĂȘme importance pour moi. Je n'Ă©tais pas moins musulmane, mais je ne comptais simplement plus sur ce voile pour m'aider Ă  me sentir proche de pendant 18 ans, j'ai passĂ© chaque matin devant le miroir, Ă©pinglant mon hijab avant de quitter la maison. Certains jours, le tissu se laissait faire, et cela ne me prenait que deux ou trois minutes. D'autres jours, il refusait de coopĂ©rer et pendait maladroitement ou glissait sur ma tĂȘte. Je soufflais alors de frustration en serrant la mĂąchoire si fort que je m'en donnais des j'ai dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter de porter le hijab, je ne savais pas combien ce rituel quotidien sacrĂ©, parfois exaspĂ©rant, allait me manquer. Ce geste simple Ă©tait une forme de culte, une priĂšre silencieuse, un engagement intime envers moi-mĂȘme, comme une seconde peau. Pendant les premiers mois, je me sentais nue en quittant la maison. Aujourd'hui encore, deux ans plus tard, il m'arrive d'oublier et de paniquer quand je suis dehors avant de rĂ©aliser que je ne le porte plus, ce voile qui continue de me hanter.“Ce que je n'avais pas anticipĂ©, ce sont les Ă©loges, les tapes dans le dos et les nombreuses fĂ©licitations pour mon "courage", ni la façon dont ces rĂ©actions allaient me dĂ©concerter.”Mais la perte de cette routine n'est pas la seule chose Ă  laquelle j'ai dĂ» m'habituer. Mes interactions ont aussi beaucoup changĂ©. Il y a des choses auxquelles je m'attendais et d'autres non. Je me souviens de la premiĂšre fois oĂč quelqu'un m'a fĂ©licitĂ©e, m'a dit que j'Ă©tais "courageuse" d'avoir retirĂ© mon voile. Et puis la deuxiĂšme fois, et la troisiĂšme. Je m'Ă©tais prĂ©parĂ©e Ă  rĂ©pondre Ă  des questions sur ma santĂ© spirituelle et religieuse. J'Ă©tais mĂȘme prĂ©parĂ© au jugement, au claquement de langues de dĂ©sapprobation des gens de ma communautĂ© qui allaient supposer que si je faisais ça, c'Ă©tait juste pour pĂ©cher en paix. Ce que je n'avais pas anticipĂ©, en revanche, ce sont les Ă©loges, les tapes dans le dos et les fĂ©licitations pour ce fameux courage, ni Ă  quel point ces rĂ©actions allaient me blesser. J'aurais peut-ĂȘtre dĂ» y mois aprĂšs avoir enlevĂ© mon hijab, je suis allĂ©e prendre un cafĂ© avec mon ancienne cheffe - une femme qui m'avait donnĂ© ma chance dans l'industrie des mĂ©dias - et une autre collĂšgue. Quand elles m'ont vue, mes boucles remplaçant le hijab de couleur neutre qu'elles avaient l'habitude de voir, elles ont toutes les deux criĂ© et agrippĂ© mes Ă©paules."Oh mon Dieu, tu es trop belle ! Pourquoi tu nous cachais ça ?!"J'ai ri - par surprise - ne sachant pas trop comment rĂ©pondre Ă  ce commentaire. Est-ce que j'Ă©tais moche avant ? Cette pensĂ©e m'a fait rire encore plus fort."C'est gĂ©nial, je suis tellement fiĂšre de toi", m'a dit mon ancienne patronne, en me serrant dans ses bras. Je l'ai regardĂ© avec perplexitĂ© et mon visage s'est mis Ă  chauffer. FiĂšre de moi ? Pourquoi ? Les deux femmes ont passĂ© leurs doigts dans mes cheveux alors que je me tenais lĂ , Ă  mi-chemin entre la colĂšre et la gĂȘne. Leur admiration en disait long sur la femme qu'elles pensaient que j'Ă©tais lorsque je portais le avec le temps cette expĂ©rience s'est renouvelĂ©e. Encore et encore. Pour ces personnes, j'Ă©tais une toute nouvelle femme - plus courageuse, plus audacieuse et plus libre. Mais en rĂ©alitĂ©, je suis toujours la mĂȘme personne, simplement sans hijab. Je n'avais pas peur avant, et je ne suis pas plus libre maintenant. Je ne suis pas du genre Ă  rougir devant les Ă©loges, quand c'est mĂ©ritĂ©. Ce n'est tout simplement pas le cas prĂšs de vingt ans, mon hijab a Ă©tĂ© une partie intĂ©grante de mon identitĂ©. Le porter m'a appris une leçon importante sur la façon de me comporter dans le monde - plus prĂ©cisĂ©ment, il m'a appris la signification du mot "courage". J'ai dĂ» marcher en gardant la tĂȘte haute et l'esprit toujours en alerte. J'ai appris Ă  la dure Ă  choisir les micro-agressions auxquelles je voulais rĂ©pondre aprĂšs m'ĂȘtre Ă©puisĂ©e Ă  vouloir toutes les confronter. J'ai Ă©galement dĂ» faire face Ă  un monde de plus en plus islamophobe, en Ă©tant une femme visiblement musulmane, ce qui demande beaucoup plus de courage que de sortir les boucles au vent.“Pendant prĂšs de vingt ans, mon hijab a Ă©tĂ© une partie intĂ©grante de mon identitĂ©. Le porter m'a appris une leçon importante sur la façon de me comporter dans le monde - plus prĂ©cisĂ©ment, il m'a appris la signification du mot "courage".”J'ai Ă©galement dĂ» faire face Ă  ma propre culpabilitĂ©, au sentiment d'avoir abandonnĂ© ma communautĂ© en enlevant mon hijab. Lorsqu'en 2019, un homme armĂ© de 28 ans avait pĂ©nĂ©trĂ© dans deux mosquĂ©es de Christchurch, en Nouvelle-ZĂ©lande, tuant 51 personnes et en blessant 40 autres, ma culpabilitĂ© a enflĂ© au point de me rendre malade. À l'Ă©poque, mon chagrin m'a presque poussĂ©e Ă  remettre le voile, un moyen dĂ©sespĂ©rĂ© de m'absoudre de la honte irrationnelle que je m'a souvent demandĂ© si j'Ă©tais forcĂ©e de porter le hijab. J'ai appris Ă  encaisser la question, Ă  faire de mon mieux pour ne pas rouler des yeux, et Ă  rĂ©pondre poliment une rĂ©ponse rĂ©pĂ©tĂ©e plus de fois que je ne peux compter "Non, bien sĂ»r que non. C'est mon choix". La personne souriait en retour, cordialement, mais je dĂ©celais parfois dans leur expression un soupçon d'incrĂ©dulitĂ©. Peu importe ce que je leur disais de mon expĂ©rience, certains stĂ©rĂ©otypes sont trop profondĂ©ment encrĂ©s pour qu'on me croit sur parole. Parfois, ils m'affichaient ce sourire familier, les lĂšvres serrĂ©es, en me regardant, le cou rentrĂ©, la tĂȘte lĂ©gĂšrement penchĂ©e d'un cĂŽtĂ© en signe de depuis que j'ai arrĂȘtĂ© de porter le voile, je suis confrontĂ©e Ă  un tout autre type de sourire, un sourire d'admiration. Et je ne sais pas lequel est le pire.
Rachida qui a retiré son voile devant Eric Zemmour lors de l'émission "Face à la rue" sur Cnews, a confié dans TPMP avoir reçu des menaces de mort.
Capture d'Ă©cran de la vidĂ©o, le prĂ©sident du groupe RN Ă  l'assemblĂ©e rĂ©gionale Julien Odoul apparaĂźt de dos, main levĂ©e. © Capture d'Ă©cran 16/10/2019 Ă  1215, Mis Ă  jour le 16/10/2019 Ă  1241 Fatima E. a racontĂ© la maniĂšre dont elle avait vĂ©cu la demande de l'Ă©lu Julien Odoul d'enlever son voile en pleine sĂ©ance du conseil rĂ©gional de Bourgogne-France-ComtĂ© alors qu'elle accompagnait la classe de son fils en sortie scolaire. Fatima E. a d'abord choisi de ne pas s'exprimer dans les mĂ©dias. La mĂšre de famille accompagnait son fils et sa classe lors d'une sortie scolaire au conseil rĂ©gional de Bourgogne-France-ComtĂ© lorsqu'elle a Ă©tĂ© prise Ă  partie par l'Ă©lu RN Julien Odoul qui lui a demandĂ© d'ĂŽter son voile en plein hĂ©micycle . Quelques jours aprĂšs l'incident, Fatima E. a tĂ©moignĂ© sur le site du Collectif contre l'islamophobie en France . Elle explique d'abord qu'elle n'avait pas prĂ©vu d'accompagner les enfants lors de cette sortie, mais s'y est finalement rĂ©solue lorsque son fils a insisté» pour qu'elle y assiste. Il est vrai que je participe rĂ©guliĂšrement aux sorties scolaires. D’ailleurs la veille, la maĂźtresse m’a laissĂ© un mot dans le carnet pour me demander d’y participer, car aucune autre maman n’était disponible», Julien Odoul a rĂ©clamĂ© Ă  ce qu'elle enlĂšve son voile, la mĂšre de famille habitant Ă  Belfort explique avoir Ă©tĂ© lĂ  sans ĂȘtre là». La seule chose que j’ai vue, c’était la dĂ©tresse des enfants. Ils Ă©taient vraiment choquĂ©s et traumatisĂ©s», a-t-elle relatĂ©, affirmant avoir choisi de sourire face Ă  la bĂȘtise» de la requĂȘte de Julien Odoul et non pas pour narguer». Beaucoup d’autres conseillers m’ont Ă©galement souri, m’ont rassurĂ©e et m’ont demandĂ© de ne surtout pas sortir, pour ne pas donner raison Ă  Julien Odoul. Pendant ce moment oĂč on m’encourage Ă  rester, mon fils s’approche de moi et me saute dessus en pleurant. Et lĂ  aussi, je lui souris. Mais quand j’ai vu mon fils en train de craquer, je leur ai dit que je ne pourrai plus rester. J’avais aussi besoin de me retrouver toute seule. Je tremblais de la tĂȘte aux pieds et je me sentais en train de tomber. Je ne voulais pas craquer devant les enfants, donc je suis sortie». La suite aprĂšs cette publicitĂ© Son fils suivi par un psychologue Dans la suite de cet entretien, Fatima E. revient sur les consĂ©quences que cette journĂ©e a eu sur son mental. La nuit qui a suivi, elle s'est rĂ©veillĂ©e une dizaine de fois avec une boule au ventre». SincĂšrement, ils ont dĂ©truit ma vie», ajoute-t-elle, Ă©voquant Ă©galement les nuits agitĂ©es» de son garçon de 8 ans qui est dĂ©sormais suivi par un psychologue du CCIF. La suite aprĂšs cette publicitĂ© A lire aussi MĂšre voilĂ©e prise Ă  partie Ndiaye et Blanquer condamnent l'Ă©lu RN Aujourd’hui, j’ai une opinion nĂ©gative de ce qu’on appelle la RĂ©publique», a-t-elle conclu tout en qualifiant de honteux» les propos du ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer qui a rappelĂ© que la loi n'interdit pas aux femmes voilĂ©es d'accompagner les enfants» tout en dĂ©clarant que le voile en soi n'est pas souhaitable dans notre sociĂ©té». Contenus sponsorisĂ©s
Lesétablissements publics d'enseignement supérieur ne sont en aucun cas mentionnés, et se situent donc en dehors du champ d'application de la loi sur le voile. Mais ils restent soumis au

L'essayiste Caroline Fourest dĂ©nonce ce mercredi sur RMC une campagne publicitaire du Conseil de l'Europe, affirmant que "la libertĂ© est dans le hijab".Une campagne visant Ă  lutter contre l'islamophobie est au cƓur de la polĂ©mique. LancĂ©e par le Conseil de l'Europe Ă  la fin du mois d'octobre, cette campagne dĂ©fend, Ă  travers une dizaine de visuels disponibles sur le site de l'institution et diffusĂ©s sur les rĂ©seaux sociaux, le port du voile comme un choix. "Mon voile, mon choix" peut-on lire sur des photos de femmes voilĂ©es. Mais le slogan qui fait polĂ©mique c'est surtout "la beautĂ© est dans la diversitĂ©, comme la libertĂ© est dans le hijab".Sans surprise, de nombreux politiques de droite et d'extrĂȘme-droite ont promptement rĂ©agi, dĂ©nonçant notamment l'usage de fonds publics pour promouvoir le port du voile. Le gouvernement, par l'intermĂ©diaire de la SecrĂ©taire d'État chargĂ©e de la Jeunesse et de l'Engagement , a lui aussi rĂ©agit. Sarah El HaĂŻry a assurĂ© mardi soir sur LCI que "la France avait fait part de sa dĂ©sapprobation extrĂȘmement vive"."C'est trĂšs grave, c'est terrible. L'inĂ©galitĂ© est dans le hijab, Ă©tant donnĂ© que seules les femmes doivent porter le hijab et que les hommes ont la libertĂ© de montrer ce qu'ils veulent", a dĂ©plorĂ© ce mercredi sur RMC l'essayiste Caroline Fourest. La libertĂ© est dans la dĂ©mocratie, c'est la libertĂ© dĂ©mocratique qui permet Ă  des femmes de porter librement le voile dans la rue sans qu'on vienne leur demander de le retirer", ajoute-t-elle."Cette campagne ne vise pas Ă  lutter contre les agressions de femmes voilĂ©es dans la rue ce qui pourrait nous rĂ©unir mais seulement Ă  promouvoir le port du voile pour les femmes auprĂšs de la jeunesse et leur dire que la libertĂ© c'est de porter le voile", dĂ©nonce "la pire et la plus voyante" des campagnes qui existent depuis des annĂ©es. Et selon elle, ces campagnes sont organisĂ©es par le dĂ©partement inclusion et lutte contre les discriminations du Conseil de l'Europe qui travaille en partenariat avec des associations proches des FrĂšres Musulmans "Ces associations sont créées spĂ©cifiquement pour faire du lobbying auprĂšs des instances europĂ©ennes pour obtenir ce genre de campagnes". Et de citer l'European Forum for Muslim Women, la Femiso et l'European Network against Racism Enar. "L'Enar touche un million d'euros de subventions par an de notre poche pour mener des campagnes sous prĂ©texte d'anti-racisme. Ces organisations sont quasiment utilisĂ©es pour faire des formations sur la lutte contre l'incitation Ă  la haine. Mais l'incitation Ă  la haine pour eux, c'est de la lutte contre le blasphĂšme. DĂšs qu'un propos laĂŻque ou fĂ©ministe est tenu, il est considĂ©rĂ© comme islamophobe", assure Caroline selon elle, mĂȘme les pays du Golfe, trĂšs conservateurs, ont arrĂȘtĂ©, Ă  l'exception du Qatar, de financer ces Fourest dĂ©nonce Ă©galement les propos d'Eric Zemmour, le polĂ©miste d'extrĂȘme-droite dĂ©jĂ  condamnĂ© pour incitation Ă  la haine envers les musulmans, qui a rĂ©agi mardi Ă  la campagne du Conseil de l'Europe, Ă©voquant un djihad publicitaire "Les mots qu'il choisit d'employer, les sĂ©quences qu'il fait comme demander Ă  une femme dans la rue d'enlever son voile, c'est exactement ce qui nourrit la propagande victimaire des islamistes. Et les extrĂȘmes se font la courte Ă©chelle depuis des annĂ©es", ajoute l'essayiste qui plaide pour un travail "prĂ©cis et lucide" pour signaler et alerte les fondamentalistes au sein des populations musulmanes.>> A LIRE AUSSI - "La libertĂ© est dans le hijab" une campagne du Conseil de l'Europe rĂ©veille le dĂ©bat sur le voile en France

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Siune femme est seule avec son Ă©poux, elle a le droit d’ĂȘtre dans la tenue qu’elle dĂ©sire. Le ProphĂšte () a dit : « PrĂ©serve ta ‘Awra (nuditĂ©), sauf devant ta femme ou tes esclaves. » (AbĂ» DĂąwĂ»d et d’autres). En d'autres termes il n'y a pas de 'Awra entre Ă©poux. En effet, il est permis au mari de regarder n'importe quelle

La propriĂ©taire d’un restaurant hendayais qui a refusĂ© une cliente voilĂ©e comparaĂźtra devant le tribunal judiciaire de Bayonne. © CrĂ©dit photo LapĂšgue Bertrand Par le 02/06/2022 Ă  12h19Mis Ă  jour le 03/06/2022 Ă  18h36 La patronne de l’établissement en front de mer avait arguĂ© de la libertĂ© des femmes. Discrimination fondĂ©e sur la religion rĂ©elle ou supposĂ©e », estime le parquet de Bayonne. Le tribunal judiciaire se saisira de l’affaire Cette restauratrice du front de mer hendayais sera jugĂ©e, le 20 septembre, pour discrimination fondĂ©e sur la religion rĂ©elle ou supposĂ©e » d’une personne. En l’occurrence, la femme...Cette restauratrice du front de mer hendayais sera jugĂ©e, le 20 septembre, pour discrimination fondĂ©e sur la religion rĂ©elle ou supposĂ©e » d’une personne. En l’occurrence, la femme voilĂ©e que la patronne a refusĂ©e dans son Ă©tablissement, dimanche 29 mai. Le fils de cette dame, Nabil Allaoui, a signalĂ© l’incident Ă  la police de Pau, oĂč il vit. L’homme avait invitĂ© sa mĂšre au restaurant, Ă  l’occasion de la FĂȘte des mĂšres. Cela faisait vingt et un ans que nous n’avions plus eu de moment comme cela et je savais que manger au bord de l’ocĂ©an lui ferait plaisir », indiquait Nabil Allaoui Ă  Sud Ouest », le lendemain des faits. Ils ont choisi Hendaye. Mais nous n’avons pas eu le temps de franchir la porte que cette personne nous a sautĂ© dessus reprochant Ă  ma mĂšre de porter le voile, de s’habiller de façon prĂ©historique et autres rĂ©flexions dĂ©sobligeantes. »Au tribunalLa propriĂ©taire du restaurant se dĂ©fendra ainsi Religion ou pas, je n’accepte rien de ce qui peut s’apparenter Ă  un outil de soumission de la femme, assume la propriĂ©taire des lieux. Chez moi, vient qui veut. Mais en totale libertĂ©. Cette dame Ă©tait prĂȘte Ă  enlever son voile, mais c’est son fils qui a refusĂ©. » La mĂšre voilĂ©e, d’un foulard qui ne dissimulait pas son visage prĂ©cisera son fils, a portĂ© plainte. La propriĂ©taire du restaurant Ă©tait dĂ©fĂ©rĂ©e ce jeudi 2 juin devant la substitut du procureur, Amandine Boyer. Celle-ci a considĂ©rĂ© le fils et la mĂšre, tous deux empĂȘchĂ©s de s’attabler, comme victimes. Le tribunal judiciaire de Bayonne examinera cette histoire. La suite de cet articleest rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©es. DĂ©couvrez l'offre Premium Le journal + L’accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© des articles depuis 1944 + l’Édition du soir + Le Club abonnĂ©s DĂ©jĂ  abonnĂ© ? Se connecter qPkwrri.
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