Jai “terminĂ©â€ un petit programme permettant de gĂ©rer sa bibliotheque personelle. Tri des livres par titre/auteur/sĂ©rie tout ce qui vou passe par la tete Insertion d’images de livres dans les fiches Choix des colonnes affichĂ©es dans la liste des livres Statistiques diverses sur la base de livre. Remplissage d’une partie des renseignements Ă  partir d’internet (dont l Le patrimoine constitue un rĂ©el enjeu financier pour les collectivitĂ©s il coĂ»te cher Ă  entretenir. Mettre en place une gestion active de son patrimoine immobilier permet aux Ă©lus de rationaliser ce parc, d’offrir le meilleur service au meilleur endroit, tout en dĂ©gageant de rĂ©elles marges de les Ă©lus s’intĂ©ressent peu Ă  leur parc immobilier, estimant que cela est du ressort des services techniques. Nombreux sont les mauvais esprits aimant Ă  souligner que les maires prĂ©fĂšrent construire du neuf, pour laisser une trace et valoriser leur mandat auprĂšs de la population, plutĂŽt que de rĂ©utiliser des bĂątiments existants dans leur est-il que le parc immobilier des collectivitĂ©s progresse toujours et encore. Si l’acte 2 de la dĂ©centralisation a contribuĂ© Ă  l’accroissement du nombre de biens immobiliers avec le transfert notamment des collĂšges et des lycĂ©es mais aussi de certains monuments historiques, les collectivitĂ©s ont une tendance Ă  accumuler les bĂątiments sans se poser la question de l’impact financier d’un tel entretenir un parc et le maintenir aux normes a un coĂ»t important. C’est pourquoi, dans un environnement budgĂ©taire de plus en plus contraint, il est nĂ©cessaire de passer Ă  une gestion active de son patrimoine immobilier. A l’image des grandes entreprises, les collectivitĂ©s doivent valoriser leurs biens, vendre ceux dont elles n’auront pas l’utilitĂ© pour pouvoir entretenir ou racheter un bien plus adaptĂ© aux besoins de la Mener un inventaireOn ne peut gĂ©rer correctement que ce que l’on connaĂźt bien. RĂ©aliser un inventaire de tous les biens immobiliers de la collectivitĂ© est donc un exercice les plus grandes, cela reprĂ©sente un travail titanesque il faut reprendre tous les titres de propriĂ©tĂ© et travailler avec la trĂ©sorerie pour recenser les diffĂ©rents biens. Avec les transferts de l’Etat vers les collectivitĂ©s, ou au niveau des intercommunalitĂ©s, savoir qui a la propriĂ©tĂ© de certains bĂątiments s’avĂšre gĂ©nĂ©ral, des inventaires existent dĂ©jĂ  mais ne sont pas utilisables parce qu’incomplets et insuffisamment renseignĂ©s. Le parc des collectivitĂ©s est constituĂ© d’immeubles de bureaux et de bĂątiments techniques tels que les Ă©coles, les bibliothĂšques et les Ă©quipements, mais pas uniquement. Les locaux d’habitations ou commerciaux, les bĂątiments prĂȘtĂ©s Ă  des associations sont souvent beaucoup moins suivis. Et, au fil des annĂ©es, Ă  la faveur de dons et de legs, d’achats dans le cadre d’opĂ©rations immobiliĂšres, de construction de route, des biens plus ou moins hĂ©tĂ©roclites s’ l’occasion de son travail d’inventaire, la ville de Bordeaux a ainsi dĂ©couvert qu’elle Ă©tait notamment propriĂ©taire d’un centre de vacances et d’une grotte en noter. L’inventaire doit donner des informations prĂ©cises sur la surface du bĂątiment, sa date et son mode d’acquisition, son prix d’achat, le coĂ»t cumulĂ© des travaux effectuĂ©s, son occupation ou sa non-occupation, son Ă©tat de vĂ©tustĂ©, son coĂ»t d’entretien annuel
 Le rĂ©gime juridique du bien doit Ă©galement y figurer recevant du public, propriĂ©tĂ© totale ou partielle, bail commercial, mise Ă  disposition gratuite, occupation partagĂ©e
.2. ConnaĂźtre ses coĂ»tsLa Cour des comptes recommande d’attribuer un numĂ©ro d’inventaire unique Ă  chaque bĂątiment. Tous les services, qu’ils soient gestionnaires, en relation avec les structures hĂ©bergĂ©es, en charge de leur maintenance
 utilisent ainsi le mĂȘme numĂ©ro, ce qui facilite la collecte des informations au fil de l’eau. Toutes les donnĂ©es recueillies permettent qu’acquĂ©rir une connaissance exhaustive du patrimoine, une vision de sa valeur rĂ©elle, des charges affĂ©rentes Ă  sa remise en Ă©tat, de ses frais de existe des logiciels qui aident Ă  organiser toute cette information. La ville de Besançon, grĂące Ă  une application informatique partagĂ©e entre plusieurs services, peut ainsi reconstituer tous les coĂ»ts d’un bĂątiment chauffage, travaux
. Elle a Ă©galement calculĂ© des coĂ»ts moyens standards au mĂštre carrĂ© par grand type d’infrastructures maison de quartier, Ă©cole, gymnase
.Tous ces Ă©lĂ©ments constituent pour les services et les Ă©lus des outils d’aide Ă  la dĂ©cision. En effet, en examinant tous les coĂ»ts d’un bĂątiment, on peut parfois en conclure qu’il est plus rentable de le dĂ©molir et de le reconstruire, plutĂŽt que de coller des rustines annĂ©e aprĂšs annĂ©e, souvent peu satisfaisantes en termes de qualitĂ© de service rendu et trĂšs consommatrices de Avoir une gestion active de ses bĂątimentsAccumuler les bĂątiments est coĂ»teux en entretien, en assurance
 Mieux vaut donc faire tourner son stock de biens en fonction de l’évolution des besoins. La gĂ©ographie d’une ville bouge, ses Ă©quipements aussi. La gestion du patrimoine ne peut donc ĂȘtre uniquement faut s’assurer que le patrimoine est utilisĂ© Ă  bon escient, que les surfaces sont bien optimisĂ©es et adaptĂ©es
 Ainsi, la ville de Bordeaux vend chaque annĂ©e cinq Ă  dix millions d’euros de patrimoine et rachĂšte des biens mieux adaptĂ©s aux besoins du moment ou assemblĂ©es dĂ©libĂ©rantes ne doivent pas se contenter de dĂ©battre sur les investissements portant sur la construction de bĂątiments neufs. C’est aussi Ă  elles de prendre la dĂ©cision de vendre les locaux dont la collectivitĂ© n’a plus besoin Ă  moyen terme, d’acheter, de louer ou de rĂ©utiliser des bĂątiments existants dĂ©cider s’il faut ou non bĂątir un nouvel immeuble afin de rassembler sur un mĂȘme site diffĂ©rents services, les Ă©lus devraient savoir Ă  combien les anciens bĂątiments pourront ĂȘtre revendus, avoir un chiffrage des coĂ»ts de fonctionnements du nouvel immeuble, les comparer avec ceux des anciens, savoir combien coĂ»terait une location, la rĂ©habilitation de tel ou tel bĂątiment
A noter. Au dĂ©but des annĂ©es 1980, la valeur des actifs des collectivitĂ©s les ponts, les routes, le foncier, les bĂątiments Ă©tait de 140 milliards d’euros dans la comptabilitĂ© nationale. Trente ans plus tard, ces actifs dĂ©passent les 1 100 milliards. Les collectivitĂ©s accumulent les biens sans se poser de questions sur les consĂ©quences financiĂšres de cette Planifier l’entretien de ses locauxL’entretien des biens immobiliers est trĂšs coĂ»teux, surtout s’il n’a pas Ă©tĂ© fait rĂ©guliĂšrement. Leur mise aux normes rĂ©glementaires est aussi source de nombreuses dĂ©penses. Lorsque les budgets se tendent, il est tentant de rogner sur ces postes. En effet, ne pas effectuer certains travaux ou les retarder sine die, Ă©vite Ă  court terme de dĂ©tĂ©riorer ses ratios ville peut sembler en trĂšs bonne santĂ© financiĂšre alors qu’en fait, n’ayant pas entretenu son patrimoine, elle aura de trĂšs grosses dĂ©penses Ă  effectuer, souvent dans l’urgence. Ne pas entretenir rĂ©guliĂšrement son patrimoine constitue une vĂ©ritable bombe Ă  retardement. NĂ©gliger l’entretien du patrimoine peut conduire Ă  l’alourdissement des charges de fonctionnement par l’accĂ©lĂ©ration de la dĂ©gradation du bĂąti provoquant des interventions plus lourdes, voire une dĂ©tĂ©rioration irrĂ©versible du bĂątiment », soulignait la Cour des comptes dans son rapport 2013 consacrĂ© aux est donc conseillĂ© de mettre en place des plans pluriannuels d’investissements, afin de lisser l’effort dans le temps et d’éviter que l’entretien ne soit une variable d’ajustement du Grouper certaines opĂ©rationsEn ayant une vision globale de leur parc et en connaissant les prochains chantiers, les collectivitĂ©s peuvent coupler certains projets et optimiser les dĂ©penses. Par exemple, elles pourront passer un mĂȘme marchĂ© plomberie pour plusieurs groupant diffĂ©rents petits chantiers, grĂące Ă  la planification des travaux, elles obtiendront plus de rĂ©ponses Ă  leur appel d’offres et, grĂące Ă  l’effet de volume, obtiendront probablement des prix plus ailleurs, une ville qui, sur une mĂȘme pĂ©riode, sait qu’elle va devoir dĂ©truire un site contenant de l’amiante, rĂ©habiliter un gymnase et valoriser une parcelle fonciĂšre en construisant une nouvelle zone d’habitation, aurait intĂ©rĂȘt lĂ  encore Ă  coupler ces opĂ©rations qui semblent n’avoir rien en aura peut-ĂȘtre des propositions revues un peu Ă  la baisse de la part des promoteurs pour le projet de construction de logement, mais n’aura ainsi pas Ă  trouver un prestataire pour la destruction ses bĂątiments polluĂ©s Ă  l’amiante, le promoteur se chargeant de trouver ce prestataire. Au global, elle sera probablement gagnante et n’aura eu qu’un projet, avec un seul interlocuteur Ă  Professionnaliser la fonction immobiliĂšreSouvent, le service culture gĂšre les bĂątiments des bibliothĂšques, conservatoires et salles de spectacles, le service des sports les piscines, stades, gymnases
 Le service urbanisme s’occupe lui des ventes et des achats, la direction du patrimoine prend en charge le suivi des certaines grandes collectivitĂ©s commencent Ă  rassembler dans un seul service toutes les compĂ©tences nĂ©cessaires pour gĂ©rer le patrimoine en termes juridiques, techniques, comptables et budgĂ©taires. Ce service doit ĂȘtre capable de mener des Ă©tudes de besoins et d’ elles peuvent s’appuyer sur les Domaines, les collectivitĂ©s ont intĂ©rĂȘt Ă  ĂȘtre capable d’évaluer la valeur du bien qu’elles souhaitent vendre sur le marchĂ©. Pour les communes, cette centralisation peut s’opĂ©rer au niveau de l’ Valoriser son patrimoine auprĂšs des banquesUne collectivitĂ© qui a besoin d’emprunter, alors que ses ratios financiers ne sont pas trĂšs bons, peut mettre en avant la valeur de son patrimoine bĂąti et foncier afin de rassurer les banques. Elle leur dĂ©montre ainsi qu’elle est risque Ă©tant moindre, elle obtiendra de meilleures conditions. Pour cela, il faut cependant avoir dressĂ© la liste des biens qui sont cessibles, et avoir Ă©tabli leur valeur de noter. Un bien d’une collectivitĂ© ne peut ĂȘtre vendu que s’il n’est plus affectĂ© au domaine public. Selon l’article du Code gĂ©nĂ©ral de la propriĂ©tĂ© des personnes publiques, le domaine public d’une personne publique est constituĂ© des biens lui appartenant qui sont soit affectĂ©s Ă  l’usage direct du public, soit affectĂ©s Ă  un service public pourvu qu’en ce cas ils fassent l’objet d’un amĂ©nagement indispensable Ă  l’exĂ©cution des missions de ce service public ».Actualiser la valeur de ses biens Les collectivitĂ©s connaissent la valeur comptable de leur patrimoine immobilier et non sa valeur vĂ©nale. Et, le dĂ©calage entre les deux peut ĂȘtre trĂšs important. En effet, certains biens, qui avaient plus de 100 ans ont Ă©tĂ© valorisĂ©s pour 1 euro symbolique, alors qu’ils peuvent ĂȘtre situĂ©s dans un quartier trĂšs prisĂ© et avoir une valeur de marchĂ© trĂšs Ă©levĂ©e. A l’inverse, un bĂątiment oĂč des travaux trĂšs importants ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s peut avoir une valeur comptable supĂ©rieure Ă  la valeur vĂ©nale. Les experts estiment cependant que dans la plupart des cas, la valeur du patrimoine des collectivitĂ©s est largement sous estimĂ©e. Les collectivitĂ©s n’étant pas taxĂ©es sur les plus-values de cession, contrairement aux entreprises, elles n’ont pas d’incitations financiĂšres Ă  actualiser la valeur de leur patrimoine. C’est pourtant un Ă©lĂ©ment important pour mener une gestion active de son patrimoine. Danssa classe de CM1-CM2 Ă  Saint-Jean-sur-Mayenne (53), HĂ©lĂšne Guerrier propose un ambitieux et motivant projet Ă  ses Ă©lĂšves : placer chacun dans une dynamique de dĂ©couverte. Il s'agit pour chaque Ă©lĂšve de devenir virtuellement un explorateur dans un pays Ă©tranger afin de pouvoir ensuite exposer Ă  la classe le fruit de ses dĂ©couvertes. Mais comment brevet blanc mai 2012 le corrigĂ© BREVET BLANC – Mai 2012 MathĂ©matiques – Le corrigĂ© La rĂ©daction et la prĂ©sentation sont prises en compte pour 4 points. Les calculatrices sont autorisĂ©es. DurĂ©e de l'Ă©preuve 2 heures. ACTIVITES NUMERIQUES – 12 points EXERCICE 1 On donne A= x −3 2+ x−31−2 x 1. DĂ©velopper et rĂ©duire A. 2 2 A=x + 9−6 x + x−2 x −3+ 6 x A=−x 2+ x+ 6 2. Prouver que l'expression factorisĂ©e de A est x−3−x−2 . A=x−3 x−3+ x−31−2 x A=x−3[ x−3+ 1−2 x ] A= x−3−x−2 3. Calculer A pour x= √ 2 on Ă©crira le rĂ©sultat sous la forme a+ b √ 2 avec a et b deux entiers relatifs Pour x= √ 2 , A=−√ 2 2+ √ 2+ 6 A=−2+ √ 2+ 6 A=4+ √ 2 4. RĂ©soudre l'Ă©quation A=0 . x−3−x−2=0 Si un produit est nul alors au moins un des facteurs est nul x−3=0 −x−2=0 ou x=3 x=−2 Les deux solutions de l'Ă©quation son x=3 et x=−2 . EXERCICE 2 1. Écrire un systĂšme de deux Ă©quations Ă  deux inconnues reprĂ©sentant la situation. x et y sont solutions du systĂšme suivant 2 x + 10 y=152 x+ 12 y=160 { 2. RĂ©soudre le systĂšme obtenu. En multipliant par 2 la deuxiĂšme ligne, on obtient 2 x+ 10 y=152 2 x + 24 y=320 On soustrait la 1Ăšre ligne Ă  la 2nde 14 y=168 168 =12 donc y= 14 { Comme x+ 12 y=160 x+ 12×12=160 x+ 144=160 x=16 Page 1 sur 6 CollĂšge François Manac'h 3. En dĂ©duire la longueur en mĂštres d'une locomotive et celle d'un wagon-citerne. Une locomotive mesure 16 mĂštres et un wagon-citerne 12 mĂštres. EXERCICE 3 d 70000 1. v= = ≈ 530,3 t 132 La vitesse de la fusĂ©e est d'environ 530 530,3×3600=1909080 1909080 ≈ 1909 1000 La vitesse de la fusĂ©e est donc d'environ 1909 2. Ariane 5 libĂšre un satellite de tĂ©lĂ©communication Ă  une altitude h=1,9×10 6 mĂštres. a Calculer r + h 6 6 r + h=6,4×10 + 1,9×10 6 r + h=8,3×10 b Quelle doit ĂȘtre la vitesse de la fusĂ©e Ă  cette altitude ? On arrondira au prĂšs. Écrire ce rĂ©sultat en notation scientifique. v= √ 13,4×10−11×6×10 24 8,3×106 v ≈ 9842 ACTIVITES GEOMETRIQUES – 12 points EXERCICE 1 1. On souhaite faire une couture suivant le segment [CT]. a Si CT est parallĂšle Ă  MW, quelle sera la longueur de cette couture ? On sait que - MC et WT sont sĂ©cantes en P - CT et MW sont parallĂšles D'aprĂšs le thĂ©orĂšme de ThalĂšs PC PT CT = = PM PW MW 3,78 CT = 4,20 3,40 3,78×3,4 CT = =3,06 m 4,2 donc b La quantitĂ© de fil nĂ©cessaire est le double de la longueur de la couture ? Est-ce que 7 mĂštres de fil suffiront ? Il faut au minimum 6,12 mĂštres de fil, donc 7 mĂštres suffiront. Page 2 sur 6 CollĂšge François Manac'h 2. Une fois la couture terminĂ©e, on mesure PT = 1,88 m et PW = 2,30 m. La couture est-elle parallĂšle Ă  MW ? D'une part PC 3,78 9 = = PM 4,2 10 D'autre part PT 1,88 94 = = PW 2,3 115 PC PT  , les droites CT et MW ne sont pas parallĂšles car le thĂ©orĂšme de PM PW ThalĂšs n'est pas vĂ©rifiĂ©. Comme EXERCICE 2 2. Montrer que AB = 4,8 cm. Dans le triangle ABC rectangle en B, d'aprĂšs le thĂ©orĂšme de Pythagore AC 2 =AB 2+ BC 2 5,22= AB2+ 22 AB 2=5,22−22 AB 2=23,04 donc AB=√ 23,04=4,8 cm. 3. Calculer le volume de SABC en cm3. 4,8×2 =4,8 cm2 L'aire de la base est Aire = 2 4,8×3 =4,8 cm3 Volume de la pyramide V = 3 4. On coupe la pyramide SABC par un plan parallĂšle Ă  sa base pour obtenir une pyramide SA'B'C' telle que SB' = 1,5 cm. Calculer le volume de la pyramide SA'B'C' en cm3. Il s'agit d'une rĂ©duction de rapport 3 1 = 1,5 2 3 1 =0,6 cm3 Donc le volume de la pyramide SA'B'C' est 4,8× 2 PROBLEME – 12 points PARTIE 1 installation d'un ordinateur dans une bibliothĂšque d'Ă©cole 1. Si on dĂ©place les deux Ă©tagĂšres de 1 mĂštre, on a CF = CG = 1. Combien mesure alors GF ? On donnera la valeur exacte. Dans le triangle rectangle CGF, d'aprĂšs le thĂ©orĂšme de Pythagore GF 2=CF 2+ CG 2 GF 2=1 2+ 12 donc GF =√ 2 GF 2=2 Page 3 sur 6 CollĂšge François Manac'h 2. Dans cette question, toute trace de recherche, mĂȘme incomplĂšte, sera prise en compte dans l'Ă©valuation. On souhaite avoir GF = 1 m. De combien doit-on alors dĂ©placer les Ă©tagĂšres ? Soit x la longueur cherchĂ©e, d'aprĂšs le thĂ©orĂšme de Pythagore, il faut que x 2+ x 2=1 2 donc x 2= 1 , on obtient donc x= 1 = √ 2 ≈ 0,71 2 x =1 2 √2 2 On doit donc dĂ©placer les Ă©tagĂšres d'environ 71 cm. PARTIE 2 achat d'un logiciel de gestion de bibliothĂšque L'Ă©cole dĂ©cide de tester un logiciel pour sa bibliothĂšque. Elle tĂ©lĂ©charge ce logiciel sur Internet. 1. Le fichier a une taille de 87,1 Mo mĂ©gaoctets et le tĂ©lĂ©chargement s'effectue en 2 minutes et 14 secondes. Quel est le dĂ©bit de la connexion internet ? On donnera le rĂ©sultat en Mo/s. 2 min 14 s = 120+14 s = 134 s 87,1 =0,65 134 Le dĂ©bit est de 0,65 Mo/s AprĂšs une pĂ©riode d'essai de 1 mois, l'Ă©cole dĂ©cide d'acheter le logiciel. Il y a 3 tarifs ‱ Tarif A 19 € ‱ Tarif B 10 centimes par Ă©lĂšve ‱ Tarif C 8 € + 5 centimes par Ă©lĂšve ‱ 2. Recopier et complĂ©ter le tableau suivant Nombre d' Ă©lĂšves 100 200 300 Tarif A 19,00 € 19,00 € 19,00 € Tarif B 10,00 € 20,00 € 30,00 € Tarif C 13,00 € 18,00 € 23,00 € 3. a Si x reprĂ©sente le nombre d'Ă©lĂšves, laquelle des fonctions suivantes correspond au tarif C ? x 8+5 x x 8+0,05 x x 0,05+8 x La deuxiĂšme fonction correspond au tarif C. b Quelle est la nature de cette fonction ? C'est une fonction affine. 4. Sur le graphique donnĂ© en annexe, reprĂ©senter les tarifs A, B et C. 5. Par lecture graphique, Ă  partir de combien d'Ă©lĂšves le tarif A est-il plus intĂ©ressant que le tarif C ? Page 4 sur 6 CollĂšge François Manac'h On fera apparaĂźtre sur la feuille Annexe les tracĂ©s nĂ©cessaires Ă  la lecture graphique. La droite reprĂ©sentant le tarif A passe en dessous du tarif C Ă  partir de x=220 , ce tarif devient donc plus intĂ©ressant Ă  partir de 220 Ă©lĂšves. 6. Dans l'Ă©cole, il y a 209 Ă©lĂšves. Quel est le tarif le plus intĂ©ressant pour l'Ă©cole ? Justifier. Graphiquement pour x=209 , c'est la droite d'Ă©quation y=0,05 x +8 qui est en dessous. Elle reprĂ©sente le tarif C, c'est donc le tarif C le plus avantageux. Sinon, par un calcul Pour 209 Ă©lĂšves, le logiciel coĂ»te 19 euros avec le tarif A, 20,90 euros avec le tarif B et 18,45 euros avec le tarif C. PARTIE 3 fonctionnement de la bibliothĂšque GrĂące au logiciel, on peut obtenir des informations prĂ©cises sur les emprunts effectuĂ©s par les 209 Ă©lĂšves de l'Ă©cole. On a, par exemple, les donnĂ©es suivantes Nombre d'emprunts en novembre 2010 0 1 2 3 4 5 6 7 8 Nombre d'Ă©lĂšves 30 36 23 20 22 18 10 11 39 1. Quel est le nombre moyen d'emprunts par Ă©lĂšve ? Moyenne= 0×39+1×30+ 2×36+ 3×23+ 4×20+5×22+6×18+7×10+ 8×11 =3 209 Le nombre moyen d'emprunts est de 3 livres. 2. Quelle est la mĂ©diane de cette sĂ©rie ? Commme 39+30+ 36=105 et 105 est plus grand que la moitiĂ© de 209, la mĂ©diane est donc de 2 livres. PARTIE 4 fĂȘte de fin d'annĂ©e A la fin de l'annĂ©e scolaire, l'Ă©cole dĂ©cide d'offrir des colis lecture aux Ă©lĂšves. 1. Étienne a reçu un colis. Ce colis contient 3 bandes-dessinĂ©es et 2 albums. Il sort, au hasard, un premier livre du colis sans regarder. Quelle est la probabilitĂ© que ce soit une bande-dessinĂ©e ? La probabilitĂ© est de 3 . 5 2. Étienne a sorti un album au premier tirage. Comme il veut lire une bande-dessinĂ©e, il sort, au hasard, un deuxiĂšme livre du colis sans regarder. Quelle est la probabilitĂ© que ce soit une bande-dessinĂ©e ? La probabilitĂ© est de 3 . 4 Page 5 sur 6 CollĂšge François Manac'h DOCUMENT REPONSE A RENDRE AVEC VOTRE COPIE ANNEXE NOM 
.......................................... PrĂ©nom 
.................................... Prix en euros 38 36 Tarif B 34 32 30 28 26 Tarif C 24 22 20 Tarif A 18 16 14 12 10 8 6 4 2 0 20 40 60 80 100 120 140 160 180 200 220 240 260 280 300 320 340 Nombre d'Ă©lĂšves Page 6 sur 6 CollĂšge François Manac'h Unlogiciel pour gĂ©rer sa bibliothĂšque d’Ecole – Outils numĂ©riques pour TOUS. Monsieur Pierre-Louis REY nous propose BcdXpressEcole, qui est un logiciel de gestion de BibliothĂšque (BCD) pour les Ă©coles maternelles et Ă©lĂ©mentaires. Il nous informe que : “L’ordinateur utilisĂ© pour faire fonctionner ce logiciel devra ĂȘtre Site hĂ©bergĂ© sur un Cloud public fournit par Ikoula.
UneĂ©cole dĂ©cide de tester un logiciel pour gĂ©rer sa bibliothĂšque. Elle tĂ©lĂ©charge ce logiciel sur Internet. AprĂšs une pĂ©riode d’essai de 1 mois, l’école dĂ©cide d’acheter le logiciel. Il y a trois tarifs : Tarif A : 19 euros quelque soit le nombre d'Ă©lĂšves inscrits ; Tarif B :
Travailler en bibliothĂšque, c’est la job de Marie. Elle vient de finir ses Ă©tudes et vous prĂ©sente ce mĂ©tier qui souffre de beaucoup d’idĂ©es reçues. PubliĂ© le 17 fĂ©vrier 2015 La bibliothĂšque. Sans doute ĂȘtes-vous dĂ©jĂ  passé‹e devant sans la remarquer, ou peut-ĂȘtre la frĂ©quentez-vous pour vos Ă©tudes, sans imaginer tout ce qu’elle contient
 En ce qui me concerne, comme beaucoup d’enfants j’ai beaucoup frĂ©quentĂ© la bibliothĂšque de la ville oĂč habitent mes parents, puis je l’ai boudĂ©e Ă  l’adolescence et n’y ai plus mis les pieds entre 13 et 20 ans. J’étais loin de m’imaginer que je deviendrai bibliothĂ©caire
 Être passionnĂ©e de livres et travailler en bibliothĂšque J’étais une passionnĂ©e de lecture, et plus gĂ©nĂ©ralement de culture, mais elle me semblait trop petite et rĂ©gie par des personnes donnant peu envie de venir
 Je frĂ©quentais cependant le CDI de mon collĂšge qui Ă©tait trĂšs cool, mĂȘme si gardĂ© par un dragon. Cependant, au lycĂ©e, alors que je me cherchais une vocation impliquant un travail avec la littĂ©rature, je me suis dĂ©couvert une passion Ă©trange pour les bibliothĂšques dont je ne m’explique pas les origines et
 qui ne m’a plus quittĂ©e ! À lire aussi J’ai testĂ© pour vous
 ĂȘtre un rat de bibliothĂšque Travailler en bibliothĂšque loin des stĂ©rĂ©otypes J’ai fait une licence de Lettres modernes effectuĂ©e pour les deux premiĂšres annĂ©es en prĂ©pa et pour la troisiĂšme Ă  l’étranger en Érasmus. Mes deux stages en bibliothĂšque À l’issue de la deuxiĂšme annĂ©e, j’ai postulĂ© pour un stage d’observation dans cette fameuse bibliothĂšque ringarde, chez mes parents ! Elles montaient des expositions, faisaient des visites de crĂšches, de maisons de retraite, participaient Ă  des clubs, etc. Ils m’ont accueillie trĂšs chaleureusement, et j’ai dĂ©couvert un personnel composĂ© de sept personnes charmantes, exclusivement fĂ©minin et trĂšs dynamique malgrĂ© le peu de moyens qu’octroyait la mairie un budget chaque annĂ©e plus tĂ©nu elles montaient des expositions, faisaient des visites de crĂšches, de maisons de retraite, participaient Ă  des clubs, etc. Un autre stage suivit Ă  l’issue de ma licence dans une bibliothĂšque de taille moyenne, qui venait d’ĂȘtre refaite et servait de vitrine pour les Ă©lus locaux — lesquels n’avaient cependant pas jugĂ© utile de recruter en agrandissant l’établissement. Le personnel, composĂ© de treize bibliothĂ©caires, croulait donc sous le travail, d’autant qu’il y avait beaucoup d’absentĂ©isme, et des absences plus lĂ©gitimes » longues maladies, etc. ; ils m’ont donc vue arriver comme le messie Bonjour, je suis lĂ  pour apprendre, pouvez-vous me donner du travail que j’effectuerai gratuitement ? » et ont fait en sorte de me montrer d’autres aspects des bibliothĂšques, plus administratifs, portant sur le circuit du document. Direction la spĂ©cialisation ! J’ai ensuite dĂ©cidĂ© de sortir des Ă©tudes gĂ©nĂ©rales que je reprendrai un jour avec bonheur ! pour me spĂ©cialiser vers les bibliothĂšques. Pendant mon master 1 d’information-communication option bibliothĂšques, j’ai acquis un bagage bibliothĂ©conomique comprenez Ă©conomie des bibliothĂšques, soit leur univers et informatique, et j’ai fait un stage dans une grande bibliothĂšque municipale autour de la poĂ©sie. Pour finir, j’ai dĂ©sirĂ© approfondir les aspects informatiques indispensables ! et ai effectuĂ© un master 2 d’informatique documentaire ma spĂ©cialitĂ© est devenue la recherche systĂ©matisĂ©e d’information, qu’on appelle la veille. Cela m’a permis de dĂ©crocher un stage dans une bibliothĂšque universitaire de langues. Premier job en bibliothĂšque et fin d’études ParallĂšlement Ă  ces Ă©tudes, j’ai travaillĂ© comme vacataire dans une petite bibliothĂšque universitaire et dans la grande bibliothĂšque municipale oĂč j’avais fait mon stage de master 1. J’ai fini mon master 2 en septembre, et ai actuellement un petit CDD Ă  temps partiel en bibliothĂšque universitaire en plus d’un job de vacataire dans une bibliothĂšque municipale. Je prĂ©pare les concours en parallĂšle. Je vais passer ceux de bibliothĂ©caire et conservateur d’État, mais aussi bibliothĂ©caire et conservateur territorial avec une prĂ©fĂ©rence pour les deux premiers. À lire aussi J’ai testĂ© pour vous
 ĂȘtre libraire Le parcours professionnel pour travailler en bibliothĂšque On risque de me contredire, mais en ce qui me concerne je ne suis pas sĂ»re qu’il existe LA formation parfaite pour devenir bibliothĂ©caire. Devenir bibliothĂ©caire quelle formation ? Certes, les DUT mĂ©tiers du livre sont la voie la plus empruntĂ©e et la plus proche du monde des bibliothĂšques ; les Ă©tudes de Lettres donnent plus de culture littĂ©raire ; les Ă©tudes en documentation prĂ©parent mieux aux enjeux techniques ; l’ENSSIB L’École nationale supĂ©rieure des sciences de l’information et des bibliothĂšques est la voie royale
 Je constate que souvent, chaque formation trouve les autres inadaptĂ©es corporatisme, corporatisme !. Je pense qu’elles ont toutes leurs avantages et leurs dĂ©fauts, et qu’elles doivent surtout ĂȘtre suivies en connaissance de cause est-ce que je souhaite aborder des aspects numĂ©riques ? Est-ce que je souhaite occuper un poste Ă  responsabilitĂ©s ? Est-ce que je prĂ©fĂšre les bibliothĂšques municipales, universitaires, les centres de documentation ? Finalement, je crois que tout cela tient moins Ă  la formation qu’à ce qu’on en fait, et aux stages effectuĂ©s. La fonction publique et le mĂ©tier de bibliothĂ©caire Pour vous expliquer aussi rapidement que possible le fonctionnement, il faut vous parler encore plus rapidement de la fonction publique. En effet, la plupart des bibliothĂšques dĂ©pendent de l’État Ă  plusieurs niveaux les bibliothĂšques municipales sont gĂ©rĂ©es par les collectivitĂ©s et font donc partie de la fonction publique territoriale les bibliothĂšques universitaires et les grands Ă©tablissements BibliothĂšque nationale de France, etc. dĂ©pendent du ministĂšre de l’Enseignement supĂ©rieur et de la Recherche et font donc partie de la fonction publique d’État. Cela correspond Ă  des rĂ©alitĂ©s diffĂ©rentes, des publics diffĂ©rents, des politiques diffĂ©rentes. Souvent, les municipaux mĂ©prisent les universitaires en disant qu’ils achĂštent des livres barbants destinĂ©s aux profs ; en retour, les universitaires considĂšrent que les municipaux sont dĂ©magogues et achĂštent surtout les mĂ©moires de Loana, quand ce ne sont pas celles de ValĂ©rie Trierweiler
 Ce sont pourtant deux mondes parallĂšles qui ont en commun l’amour de la culture et du document. Car le livre n’est pas l’unique support acquis vous y trouverez aussi des revues, CD, DVD, CD-Roms
 De nombreux autres services que le prĂȘt sont proposĂ©s vous pouvez souvent aller sur Internet grĂące Ă  des postes dĂ©diĂ©s, accĂ©der aux abonnements numĂ©riques de l’établissement, louer des salles, des pianos, jouer Ă  des jeux vidĂ©o, obtenir l’aide exclusive d’un bibliothĂ©caire pendant un temps dĂ©fini pour faire des recherches, partager et Ă©changer des graines ça s’appelle une grainothĂšque !, etc. Bien plus que des livres en bibliothĂšque Le terme bibliothĂšque » est d’ailleurs maintenant un peu obsolĂšte lorsqu’on peut emprunter autre chose que des livres, on parler de mĂ©diathĂšque » pour les autres mĂ©dias. Aimer les livres, la musique, le cinĂ©ma, n’est d’ailleurs pas du tout un prĂ©requis pour y travailler, le plus important est d’avoir foi en la culture et d’aimer avoir affaire au public. Cela aide cependant d’avoir une passion elle rend son travail gĂ©nial. Cela peut aussi desservir de ne pas en avoir, mĂȘme si le principal perdant sera l’usager celui qui frĂ©quente la bibliothĂšque. Par exemple, travaillant sur la poĂ©sie dans une grande bibliothĂšque, je me suis rendue compte que si le fond Ă©tait trĂšs fourni et intĂ©ressant, et qu’il y avait plus de monde qui en empruntait qu’on ne le pensait, le personnel s’y connaissait peu dans le domaine et ne cherchait pas Ă  le mettre en valeur. En revanche, il y avait des passionnĂ©s de bande dessinĂ©e ou de policier, et comme ce sont les documents les plus demandĂ©s, certains estimaient qu’il valait mieux les mettre en valeur, parce que tout le monde s’en fout de la poĂ©sie » sic. Eh oui, la loi du chiffre soit du nombre d’emprunts rĂšgne aussi parfois en bibliothĂšque
 À lire aussi Je suis ludothĂ©caire, un mĂ©tier-passion mĂ©connu et prĂ©caire Travailler en bibliothĂšque en quoi ça consiste exactement ? L’image des bibliothĂšques n’est pas toujours reluisante. Si le libraire est estimĂ© car il incarne le professionnel du livre, le ou la bibliothĂ©caire est au contraire dans l’imaginaire collectif une femme un peu trop mĂ»re, avec des lunettes, acariĂątre, qui prĂ©fĂ©rerait que ses » livres ne soient pas abĂźmĂ©s, quitte Ă  ne pas ĂȘtre empruntĂ©s
 Il y a du vrai dans cela. Beaucoup de personnes travaillent en bibliothĂšque aprĂšs une reconversion, une crise de la quarantaine ou un reclassement — c’est-Ă -dire qu’ils Ă©taient fonctionnaires dans un service qui a Ă©tĂ© fermĂ©, et qu’il a fallu les mettre quelque part. Qu’est-ce que vous aimez faire dans la vie ? » demande le DRH. Eh bien, il se trouve que j’aime bien les livres et
 » PARFAIT ! J’ai une place pour vous Ă  la bibliothĂšque ! ». Travailler en bibliothĂšque c’est aussi accueillir le public Mais finalement beaucoup font bien leur travail, car une grande partie s’effectue Ă  l’accueil avec les usagers, qui posent surtout des questions ne concernant absolument pas la culture. Du genre J’arrive pas Ă  faire une photocopie », Je n’arrive pas Ă  emprunter Ă  la machine », Est-ce que vous avez des films Ă©rotiques ? », Je ne trouve pas ce livre », Pourquoi est-ce que l’ordinateur ne marche plus ? », OĂč sont les toilettes ? », J’ai un problĂšme avec mon inscription ». Le tout est d’ĂȘtre poli‱e, patient‱e, attentif‱ve, de savoir orienter vers la bonne personne lorsqu’on ne peut pas rĂ©pondre Ă  la question ou rĂ©soudre le problĂšme, et ne pas se laisser dĂ©monter
 Comment puis-je vous aider mĂ©dĂšme ? On se fait en effet parfois prendre Ă  partie et certain‱es ne manquent pas de faire remarquer que nous, les fonctionnaires, nous ne faisons rien de nos journĂ©es, qu’ĂȘtre bibliothĂ©caire c’est sympathique comme mĂ©tier on passe notre temps Ă  lire et Ă  se raconter nos RTT. Une fois, je me suis fait traiter de raciste par un usager qui s’est offusquĂ© que je lui demande – poliment – d’essuyer son document qui avait Ă©tĂ© trempĂ© par la pluie il s’en Ă©tait servi comme parapluie. Les missions et le personnel en bibliothĂšque Il y a trois sortes de travaux en bibliothĂšque les agents catĂ©gorie C dans la fonction publique font surtout de l’accueil et de l’équipement comme plastifier les documents les adjoints catĂ©gorie B achĂštent et entrent dans la base de donnĂ©es les documents les bibliothĂ©caires et conservateurs catĂ©gorie A montent les projets, gĂšrent la politique documentaire comme l’orientation des achats, dirigent l’établissement et les ressources humaines. Chaque corps est accessible grĂące Ă  des concours trĂšs courus et difficiles Ă  obtenir mais qui n’ont pas les mĂȘmes objectifs les A ont un travail plus administratif et managĂ©rial, les B travaillent sur le document et son parcours de la commande au rangement en rayon, les C sont plus en contact avec le public. Une partie des bibliothĂ©caires n’est pas fonctionnaire et est donc contractuelle dans tous les cas de figure, si la place en bibliothĂšque a trĂšs peu de chance d’ĂȘtre supprimĂ©e, le salaire n’est pas trĂšs haut. En bibliothĂšque universitaire, les primes de certains cachent Ă  peine qu’ils ne touchent pas le SMIC et enchaĂźnent les CDD ultra-prĂ©caires. Le monde des bibliothĂšques est pourtant trĂšs dynamique, composĂ© de nombreuses expĂ©riences et initiatives. Les Anglo-Saxons sont dans ce domaine bien plus avancĂ©s que nous, mais la synergie du milieu fait beaucoup Ă©voluer les pratiques travailler en bibliothĂšque c’est beaucoup plus que ranger des documents poussiĂ©reux, c’est aider une personne Ă  accĂ©der Ă  un service, une information. Travailler en bibliothĂšque un mĂ©tier humain Il y a aussi en bibliothĂšques des bagarres, des agressions, des dĂ©sĂ©quilibrĂ©s mentaux ; de plus en plus de gens viennent pour dormir dans les fauteuils. Dans ces moments-lĂ , il faut se rappeler cette petite anecdote salutaire je crois que c’était Claude Pompidou qui, comme on lui faisait remarquer que des SDF venaient Ă  la bibliothĂšque du Centre Pompidou BPI pour aller sur Internet, avait rĂ©pondu Et alors ? ». Merci Mme Pompidou, le droit Ă  la culture s’applique Ă  tous, et travailler en bibliothĂšque met Ă  l’épreuve et conforte cette conviction. On est donc directement confrontĂ© Ă  la rĂ©alitĂ© de la sociĂ©tĂ©, touchant l’humain au plus prĂšs. On est donc directement confrontĂ© Ă  la rĂ©alitĂ© de la sociĂ©tĂ©, touchant l’humain au plus prĂšs. La plupart des usagers sont polis et enthousiastes et on fait parfois d’extraordinaires rencontres une personne qui a les mĂȘmes goĂ»ts que vous et avec qui vous discutez pendant une demi-heure, un aveugle tellement content de vous cĂŽtoyer qu’il vous raconte pendant une heure son ancien mĂ©tier de pilote, un petit L1 complĂštement perdu qu’on rassure et oriente dans la jungle de la fac en octobre
 Par mon travail actuel et celui que j’effectuerai sur mon poste aprĂšs avoir rĂ©ussi un concours, j’espĂšre devenir actrice de ces Ă©volutions constantes et faire partager aux autres mon amour de la culture et ma conviction qu’elle peut changer le monde ! À lire aussi Fou rire Ă  la bibliothĂšque universitaire avec cette camĂ©ra cachĂ©e hilarante
HibouthĂšqueest un outil de gestion documentaire en ligne trĂšs pratique pour gĂ©rer le fonds documentaire d’une BibliothĂšque Centre Documentaire (BCD). Voici 4 raisons de l’utiliser.
Edit du 15/03/2018 Je fais remonter cet article car je participe au rallye-liens organisĂ© par La maternelle de ToT sur Des espaces pour apprendre autrement » ! Depuis la rĂ©daction de ce 1er article, j’en ai en effet Ă©crit plusieurs autres pour dĂ©tailler mon fonctionnement. Vous trouverez en fin d’article les liens vers ces diffĂ©rents articles !Bonjour tout le monde, aujourd’hui, pas de ressources mais une longue rĂ©flexion pĂ©dagogique que j’ai entamĂ©e cette annĂ©e avec mon arrivĂ©e en maternelle ! Cette annĂ©e, comme vous l’avez peut-ĂȘtre lu dans d’autres articles, je suis en maternelle, avec une classe de TPS-PS-MS ! L’occasion pour moi de me plonger dans ce monde un peu Ă  part de l’enseignement, oĂč le jeu a une place trĂšs importante, oĂč les enfants apprennent Ă  se sociabiliser au milieu de leurs camarades, dĂ©couvrent les rĂšgles de la vie en collectivitĂ©, construisent leurs premiers savoirs scolaires, base importante de leur scolaritĂ©. Jusqu’à prĂ©sent, j’ai fonctionnĂ© comme dans beaucoup de classes maternelles, sur le principe des ateliers un atelier dirigĂ© par la maitresse, un atelier semi-dirigĂ© avec l’ATSEM, les autres groupes Ă©tant en autonomie. J’avais dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  me pencher sur ce qu’on appelle souvent les ateliers autonomes ou ateliers type Montessori, au cours desquels les enfants choisissent eux-mĂȘme une activitĂ© Ă  rĂ©aliser. J’avais Ă©galement fait le choix de supprimer la plupart des traditionnelles fiches » de ma pratique pour laisser la place Ă  la manipulation et aux apprentissages Ă  travers le jeu. Et puis, je suis tombĂ©e sur un ouvrage de Retz intitulĂ© AmĂ©nager les espaces pour mieux apprendre – A l’école de la bienveillance ». Autant vous le dire, c’est assez renversant en terme de pratique, ça nous amĂšne Ă  revoir complĂštement notre conception de la classe, Ă  accepter de perdre le contrĂŽle » sur ce que font les enfants Ă  chaque instant, pour prendre du recul et du temps pour observer les enfants. Je vous rassure ou pas tout de suite, je suis loin d’avoir tout mis en place et d’avoir quelque chose de trĂšs calĂ© qui tourne ! Cependant, je me suis dit que le meilleur moyen d’y arriver c’était de me lancer et d’expĂ©rimenter, sans bouĂ©e ni brassards, en rĂ©ajustant petit Ă  petit ! Ça a un peu dĂ©boussolĂ© mon ATSEM qui a tout de mĂȘme 40 ans de maternelle derriĂšre elle, mais en petite perle qu’elle est, elle m’accompagne dans l’aventure, sans rĂąler et avec le sourire ! Nos Ă©changes sur ce qui marche, sur ce qui ne marche pas m’aident beaucoup Ă  rĂ©ajuster chaque jour et chaque semaine ! Petit Ă  petit, des choses se mettent en place et commencent Ă  marcher. Et les enfants dans tout ça me direz-vous ? Eh bien, c’est eux qui semblent le moins perturbĂ©s, ils s’adaptent trĂšs bien, sont curieux de ces changements et remarquent les moindres nouveautĂ©s et s’y investissent rapidement ! Alors aprĂšs tout ce blabla, je ne vous ai pas encore dit grand chose. Dans cet ouvrage, on nous propose d’oublier le fonctionnement en ateliers et de concevoir la classe en terme d’espaces. La rĂ©flexion est mĂȘme proposĂ©e au niveau d’une Ă©cole entiĂšre maternelle pour revoir complĂštement l’amĂ©nagement des locaux, des classes. Cela va trĂšs loin mais je trouve que c’est passionnant ! Me concernant, j’ai tous les niveaux de la maternelle Ă  part les GS, mais qui pourraient se joindre Ă  nous sur ces moments-lĂ . J’ai Ă©galement la chance d’avoir une trĂšs grande classe. Le dispositif proposĂ©, pour reprendre les termes de l’ouvrage, implique de Favoriser les pĂŽles d’attractivitĂ© » qui crĂ©ent un environnement propice aux dĂ©couvertes Laisser l’enfant circuler librement au sein de ces espaces amĂ©nagĂ©s oĂč tout est mis en Ɠuvre pour rĂ©pondre Ă  ses besoins Le laisser s’exercer, dans chaque espace, selon le temps qui lui est nĂ©cessaire c’est un peu ce qu’on retrouve dans le principe des ateliers Montessori, oĂč certains enfants peuvent passer beaucoup de temps sur la mĂȘme activitĂ©, parce que ça les rassure de rĂ©ussir, parce qu’ils aiment bien
 Voici les espaces proposĂ©s L’espace jeu d’imitation L’espace jeux de construction L’espace motricitĂ© fine L’espace marionnettes L’espace graphisme L’espace sensoriel L’espace moteur L’espace maths L’espace sciences L’espace bibliothĂšque L’espace repos/intĂ©rioritĂ© L’espace Ă©coute L’espace regroupement L’espace lettres/Ă©criture En gras, ce sont les espaces que j’ai essayĂ© de mettre en place dans ma classe. Pour l’instant, la plupart de ces espaces sont en dĂ©couverte/manipulation libre. Le temps de mettre en place ces espaces, nous avons encore un peu fonctionnĂ© en ateliers avec mon ATSEM et nous avons observĂ© leur façon de fonctionner. C’est une sorte de pĂ©riode hybride . Aujourd’hui, nous commençons Ă  investir ces espaces avec les enfants. Alors que le premier jour, tous les enfants Ă©taient dans les espaces jeux de construction et jeux d’imitation, nous les avons vus petit Ă  petit se rĂ©partir dans les diffĂ©rents espaces, par petits groupes de 2 ou 3. Premier effet une classe beaucoup plus calme, quasiment plus aucune dispute sur les poupĂ©es ou les jeux, une vĂ©ritable implication dans les activitĂ©s menĂ©es. A prĂ©sent, je vais essayer de dĂ©tailler un peu plus mes tĂątonnements, mes espaces. Je vous l’ai dit, je me suis lancĂ©e dans l’expĂ©rience sans attendre d’en maitriser les tenants et les aboutissants, sinon, je pense que je ne me serais jamais lancĂ©e ! Je vous propose donc dans cet article de simplement participer Ă  ma rĂ©flexion, je suis bien loin de proposer un modĂšle L’espace regroupement Celui-lĂ , c’est le coin regroupement que nous connaissons toutes et tous le matin on s’y installe pour quitter nos chaussures, mettre nos chaussons, mettre notre Ă©tiquette de prĂ©sence. Mon ATSEM fait passer aux toilettes ceux qui sont prĂȘts. Je prends ce petit temps en commun pour prĂ©senter une nouveautĂ© dans un des espaces, pour dire aux enfants sur quels espaces nous serons avec mon ATSEM et ensuite, c’est parti, chacun va s’installer dans l’espace qu’il souhaite. J’utilise cet espace Ă©galement pour les petits rituels que j’ai gardĂ©s la date, les chansons/comptines rituelles marquant les diffĂ©rents temps de la journĂ©e, les lectures offertes
 L’espace repos/bibliothĂšque/Ă©coute C’est l’espace qui sert de dortoir l’aprĂšs-midi. Le matin, j’y installe un coin Ă©coute avec un poste et des casques. Afin de le rendre autonome, j’ai collĂ© des gommettes sur les touches du poste pour permettre aux enfant de lancer la lecture, l’arrĂȘter ou changer d’histoire. Je suis abonnĂ©e Ă  la revue Histoires pour les petits » de chez Milan qui propose tous les mois 3 petites histoires enregistrĂ©es sur CD. C’est ce que j’utilise pour l’instant. Les grands de la classe de CE2-CM1-CM2 devraient Ă©galement nous enregistrer quelques albums de la classe que nous pourrions ajouter Ă  cet espace. Petit Ă  petit, les enfants apprendront Ă  choisir l’histoire qu’ils veulent Ă©couter et donc, Ă  changer le CD en en prenant soin !!! ^^. Des matelas bien Ă©pais sont installĂ©s avec la petite bibliothĂšque sur roulette au milieu. Les enfants peuvent y regarder les livres, seuls ou Ă  plusieurs. Cet espace sert Ă©galement de zone d’intĂ©rioritĂ© », les plus petits ont parfois besoin de s’isoler du groupe, quand leurs parents leur manquent, de faire un cĂąlin Ă  leur doudou. L’espace jeux d’imitation J’y ai installĂ© un coin maison » avec le matĂ©riel de la cuisine casseroles, assiettes, couverts, verres, divers ustensiles, une table et des chaises, les poupons leurs poussettes, baignoire, vĂȘtements. L’espace jeux de construction On peut y trouver des Kaplas, des Clipos, des Duplos, des LĂ©gos, etc. Au dĂ©but, j’avais tout laissĂ© ma classe est une mine d’or de ressources et je me suis rendue compte qu’il y en avait trop. Du coup au lieu d’utiliser les LĂ©gos pour faire une vraie construction, on retrouvait tout mĂ©langĂ© sur le sol et rien de construit. J’ai donc fait du vide et enlevĂ© Ă©normĂ©ment de choses pour ne laisser que les Kaplas, les LĂ©gos et les Clipos. L’espace graphisme Sur un de mes murs, chaque semaine, j’installe une grande fresque vierge. A cĂŽtĂ©, sur de petites tables, je mets du matĂ©riel Ă  disposition une semaine, je leur ai proposĂ© des feutres, des craies grasses et des crayons de couleur, la semaine suivante, des papiers de couleurs, des gommettes, des ciseaux et de la colle, des tampons et leurs tapis encreurs. En fin de semaine, la fresque est bien remplie, tout le monde y a apportĂ© sa petite contribution. Nous les gardons prĂ©cieusement pour garder une trace des Ă©volutions ! Pour l’instant je pense rester sur un thĂšme » par semaine. C’est Ă©galement dans cet espace que l’on travaillera le geste graphique de maniĂšre individuelle avec les ouvrages de chez Retz. L’espace sensoriel Comme son nom l’indique, on va travailler nos cinq sens dans cet espace. Dans cet espace, pour l’instant, j’ai installĂ© un bac Ă  semoule avec des bouteilles, des passoires, des entonnoirs, des cuillĂšres
 Il y a Ă©galement des disques sensoriels sur lesquels on peut marcher pieds nus ou en chaussettes. Plus tard, la semoule sera remplacĂ©e par des pĂątes, de l’eau, des marrons
 L’espace motricitĂ© fine Les enfants y retrouvent pas mal d’ateliers Montessori transvaser des graines, des cotillons avec des pinces Ă  sucre, des pinces Ă  Ă©piler, des petites cuillĂšres, visser des bouchons sur les bons flacons, faire des colliers de perles, la pĂąte Ă  modeler
 L’espace maths On y retrouve du matĂ©riel pour faire des puzzles, des pavages, des jeux de sociĂ©tĂ© seuls ou Ă  plusieurs
 ——————————————– Se pose ensuite la question des apprentissages menĂ©s dans ces espaces. La place du jeu libre est incontournable. D’aprĂšs l’ouvrage la notion de jeu libre est une des conditions essentielles pour que les enfants soient paisiblement occupĂ©s et qu’ils puissent interagir. La sĂ©rĂ©nitĂ© de l’adulte en dĂ©pend il peut se consacrer Ă  un individu ou Ă  un tout petit groupe parce qu’il sait que les autres espaces ne requiĂšrent pas son attention. » C’est vrai que souvent, dans un fonctionnement en ateliers, la place du jeu libre arrive une fois la tĂąche institutionnalisĂ©e rĂ©alisĂ©e. » On se dit souvent que lorsqu’ils jouent, ils ne travaillent pas, ils n’apprennent rien, cependant les auteurs soulignent que les activitĂ©s ludiques permettent de communiquer, s’entrainer, rĂ©investir, crĂ©er, imaginer, partager . Et il est bon de rappeler qu’il est utopique de penser qu’un enseignant peut contrĂŽler les apprentissages de tous les Ă©lĂšves pendant trois heures d’affilĂ©e ! Cependant, il est nĂ©cessaire de coopĂ©rer pour apprendre ». En effet, l’enfant n’apprend pas seul Ă  jouer, Ă  parler, Ă  entrer dans l’écrit. La relation Ă  l’adulte est indispensable pour expliciter les apprentissages, construire des notions, permettre Ă  l’enfant d’atteindre sa zone proximale de dĂ©veloppement »  En fonctionnant en espaces, l’enseignant va alors prĂ©parer des scĂ©narii pour apprendre, permettant Ă  ces espaces de devenir des espaces d’apprentissage. Un scĂ©nario va suivre les Ă©tapes de la construction du savoir chez le jeune enfant manipulation libre, observation, exploration, rĂ©flexion pour rĂ©soudre des problĂšmes, s’exercer pour formaliser le savoir et le mĂ©moriser. En fonction du rythme de chaque enfant, il est Ă©vident que ces Ă©tapes ne seront pas franchies en mĂȘme temps par tous les enfants. Pour chaque pĂ©riode, il s’agit de dĂ©finir les espaces Ă  disposition des enfants et les espaces sur lesquels seront prĂ©sents l’enseignant et l’ATSEM. Dans les espaces oĂč l’adulte est prĂ©sent, une grille pour cocher la prĂ©sence des enfants et noter ce que l’enfant a fait. Cela permet de repĂ©rer les enfants qui ne sont jamais venus sur cet espace et de les solliciter afin qu’ils participent. L’ouvrage propose des exemples de grilles d’observation, de nombreux exemples de scĂ©narii Ă  mettre en place dans diffĂ©rents espaces et selon le niveau de la classe. Le DVD fourni Ă  l’intĂ©rieur propose des vidĂ©os prises dans une classe pour mieux se rendre compte des propos de l’ouvrage. Vous pouvez consulter la liste des vidĂ©os sur le site de Retz. Il s’agit donc sur une pĂ©riode de prĂ©voir les espaces et leurs contenus, les scĂ©narii Ă  mettre en place par les adultes dans ces diffĂ©rents espaces, en fonction de ce que l’on veut faire apprendre aux enfants. Au niveau prĂ©paration, le travail est allĂ©gĂ© puisque le plus important reste la prĂ©paration des scĂ©narii pour la pĂ©riode. Des collĂšgues de l’école de Malves en Minervois prĂ©voient une carte mentale pour une pĂ©riode complĂšte, regroupant toutes les activitĂ©s menĂ©es et renvoyant aux diffĂ©rents scĂ©narii. Les progrĂšs des enfants, leurs rĂ©ussites peuvent facilement ĂȘtre rĂ©pertoriĂ©s sous forme de brevets ou dans un cahier de rĂ©ussites. LĂ  encore, l’ouvrage propose de nombreux exemples. Au niveau de l’emploi du temps, je fonctionne en terme d’espaces le matin, sur un temps d’environ 1h15-1h30 avant la rĂ©crĂ©ation du matin et encore 30 minutes en fin de matinĂ©e quand j’ai le temps ^^. Je garde des temps collectifs pour les sĂ©ances de motricitĂ©, de musique, de phonologie
 Si cela vous intĂ©resse vous aussi, je vous propose quelques liens pour creuser le sujet L’acadĂ©mie de Strasbourg propose un dossier complet sur l’amĂ©nagement des espaces Ă  l’école maternelle. Ma collĂšgue blogueuse ToT m’a permis de dĂ©couvrir l’expĂ©rimentation menĂ©e dans la maternelle de Varennes Ă  Argonne dans la Meuse Cette expĂ©rimentation est dĂ©taillĂ©e dans l’expĂ©rithĂšque ! Vous pouvez consulter un extrait de l’ouvrage de Retz sur leur site. Voici Ă©galement des ouvrages que je me suis achetĂ©s pour m’aider dans l’élaboration des scĂ©narii ScĂšnes de langage PS et MS aux Éditions AccĂšs. Sciences Ă  vivre Maternelle aux Ă©ditions AccĂšs. Guide pour enseigner le vocabulaire Ă  l’école maternelle. Vers les maths PS Vers les maths MS Cycle 1 – Le carnet des espaces AmĂ©nager les espaces pour mieux apprendre – Organisation hebdomadaire Espace artistique – Affichages et organisation Espace graphique – Organisation Espace Ă©coute – Organisation Cycle 1 – Programmations, emploi du temps, gestion des espaces Vous aimerez peut-ĂȘtre amĂ©nager les espacescycle 1gestion de classematernelleorganisationpĂ©dagogieRetz Parmiles projets du maire de Roucourt, une extension pour l’école-bibliothĂšque-cantine-pĂŽle enfance . Infos, derniĂšres minutes avec La Voix du Nord Voici un document d’orientation prĂ©parĂ© en 1991 par l’APSDS La bibliothĂšque scolaire mission et objectifs PrĂ©sentation Que le ministĂšre de l’Éducation Ă©nonce une politique relative au dĂ©veloppement de la bibliothĂšque scolaire». Rapport Bouchard, p. 122 La parution du Rapport du comitĂ© d’étude relatif au dĂ©veloppement des bibliothĂšques scolaires appelĂ© depuis le Rapport Bouchard date dĂ©jĂ  de plus de deux ans. Nous constatons avec plaisir que ce rapport a eu des effets bĂ©nĂ©fiques dans le milieu; il faut par contre noter que le ministĂšre de l’Éducation tarde Ă  appliquer les recommandations de ce rapport et qu’il n’a pas encore exprimĂ© sa volontĂ© politique en matiĂšre de bibliothĂšque scolaire. Aussi Ă©tonnant que cela puisse paraĂźtre, aucun document officiel du ministĂšre de l’Éducation ne prĂ©cise la mission et les objectifs de la bibliothĂšque scolaire. On trouve ici et lĂ  dans diffĂ©rents documents voir par exemple Les ressources documentaires, MinistĂšre de l’Éducation, Gouvernement du QuĂ©bec, 1987 des Ă©lĂ©ments du rĂŽle d’une bibliothĂšque scolaire. Comme nous croyons qu’il est urgent que les autoritĂ©s prennent position sur la place de la bibliothĂšque dans l’école primaire et secondaire, l’Association du personnel des services documentaires scolaires APSDS a formĂ© un groupe de travail sur les orientations de la bibliothĂšque. Nous vous en prĂ©sentons aujourd’hui un premier document de rĂ©flexion. Soumis aux membres de l’Association mais aussi prĂ©sentĂ© au grand public, ce document de rĂ©flexion devrait permettre aux autoritĂ©s de s’interroger sur l’importance de la bibliothĂšque dans la formation des Ă©lĂšves. On le dit et on le rĂ©pĂšte, l’école doit ĂȘtre un lieu de formation fondamentale et de culture. Dans ce domaine, la bibliothĂšque scolaire peut ĂȘtre le point de convergence de tous les apprentissages et habiletĂ©s qui servent toute la vie. Le silence a vraiment trop durĂ© sur l’apport pĂ©dagogique et culturel de la bibliothĂšque scolaire, il est temps d’en prĂ©ciser les orientations, d’en fixer les balises et d’en Ă©tablir les normes afin qu’elle rĂ©ponde Ă  une mission prĂ©cise et Ă  des objectifs rĂ©alistes. Jean-Yves ThĂ©berge PrĂ©sident de l’APSDS Table des MatiĂšres Introduction La mission de la bibliothĂšque scolaire – ĂȘtre un environnement Ă©ducatif et culturel qui favorise le dĂ©veloppement de la personne – offrir des ressources documentaires qui contribuent aux apprentissages et Ă  l’enseignement selon l’ordre d’enseignement concernĂ© Buts et objectifs gĂ©nĂ©raux de la bibliothĂšque scolaire 1. Participer au dĂ©veloppement global et Ă  la formation fondamentale de l’élĂšve Exploiter les ressources documentaires pour le dĂ©veloppement global de l’élĂšve Utiliser les ressources documentaires dans la formation fondamentale de l’élĂšve Utiliser les ressources documentaires pour intĂ©grer les connaissances de l’élĂšve – Actions et ressources nĂ©cessaires Ă  la rĂ©alisation des objectifs 2. Être un lien culturel et Ă©ducatif face au patrimoine d’ici et d’ailleurs, d’hier, d’aujourd’hui et de demain DĂ©couvrir les rĂ©alitĂ©s du monde actuel S’ouvrir Ă  son milieu en utilisant la bibliothĂšque scolaire et municipale DĂ©velopper le goĂ»t et l’habitude de lire DĂ©couvrir et connaĂźtre son patrimoine culturel DĂ©velopper sa culture gĂ©nĂ©rale Utiliser la bibliothĂšque et ses ressources pour des activitĂ©s de loisirs et de dĂ©tente – Actions et ressources nĂ©cessaires Ă  la rĂ©alisation des objectifs 3. Être une ressource pour l’enseignement en relation avec les programmes d’études Utiliser les ressources documentaires en relation avec les diffĂ©rents programmes Approfondir l’étude de centres d’intĂ©rĂȘt en fonction du cheminement scolaire de l’élĂšve Utiliser les ressources documentaires pour faire des liens entre les diffĂ©rentes matiĂšres et disciplines Ă  l’étude – Actions et ressources nĂ©cessaires Ă  la rĂ©alisation des objectifs 4. Être un moyen d’apprentissage et de dĂ©veloppement des habiletĂ©s d’information Apprendre Ă  utiliser les systĂšmes d’accĂšs Ă  l’information AcquĂ©rir des mĂ©thodes de travail intellectuel Utiliser les ressources de la bibliothĂšque pour rĂ©pondre Ă  ses besoins d’information Utiliser et exploiter les diffĂ©rents mĂ©dias DĂ©velopper l’autonomie dans la recherche, l’exploitation et la diffusion de l’information DĂ©velopper sa capacitĂ© d’analyse et son esprit critique face Ă  l’information – Actions et ressources nĂ©cessaires Ă  la rĂ©alisation des objectifs Introduction Nous vous prĂ©sentons dans les pages qui suivent un document de rĂ©flexion, premiĂšre Ă©tape d’un processus de dĂ©finition des tĂąches et des compĂ©tences du personnel responsable de la bibliothĂšque scolaire. Ce document est le fruit d’une dĂ©marche initiĂ©e par le conseil d’administration de l’Association du personnel des services documentaires scolaires en vue de mettre en commun les visions de ses membres sur la mission et les buts de la bibliothĂšque scolaire, constituĂ©e en sous-comitĂ©, discutĂ©e et approuvĂ©e lors de la rĂ©union d’octobre 1991. Nous passons maintenant Ă  la seconde Ă©tape du processus en soumettant ce document Ă  votre rĂ©flexion et en vous invitant Ă  y rĂ©agir. Nous avons adoptĂ© une dĂ©marche systĂ©matique partant de la mission attribuĂ©e Ă  la bibliothĂšque scolaire pour en expliciter les buts et en dĂ©river les objectifs gĂ©nĂ©raux, rĂ©digĂ©s en fonction des apprentissages et de l’enseignement. Pour chaque objectif gĂ©nĂ©ral, nous avons Ă©galement mis en Ă©vidence les actions et ressources nĂ©cessaires Ă  sa rĂ©alisation, autant au niveau de l’école qu’à celui de la commission scolaire. Cette façon de procĂ©der invite pour le moment Ă  une lecture horizontale du document. Dans la troisiĂšme Ă©tape du processus, nous prĂ©voyons regrouper les actions et les ressources selon un schĂ©ma fonctionnel, afin de mettre en Ă©vidence et de dĂ©finir les tĂąches et les compĂ©tences du personnel responsable de la bibliothĂšque scolaire. Nous voyons ce document comme une base de rĂ©flexion et de discussion pour les Ă©quipes Ă©ducatives des ordres d’enseignement prĂ©scolaire, primaire et secondaire lesquelles pourront l’utiliser pour dĂ©finir leurs propres prioritĂ©s, l’adapter Ă  leur contexte spĂ©cifique et ainsi, se l’approprier. Il pourra servir Ă©galement Ă  sensibiliser les enseignants et les administrateurs au travail qui se fait Ă  la bibliothĂšque et Ă  son potentiel en matiĂšre d’apprentissage et d’enseignement. Enfin nous tenons Ă  souligner que nous considĂ©rons la bibliothĂšque scolaire comme un ensemble constituĂ© de cinq dimensions interreliĂ©es, Ă  savoir 1 des ressources humaines adĂ©quates; 2 un fonds multimĂ©dia Ă  jour et correspondant aux besoins du milieu; 3 des locaux suffisamment spacieux et correctement Ă©quipĂ©s; 4 des outils d’exploitation, tels que fichiers et catalogues imprimĂ©s et, de plus en plus, informatisĂ©s; 5 des services permettant d’animer le fonds et de l’intĂ©grer aux besoins des Ă©lĂšves et des enseignants. Nous vous souhaitons une bonne lecture de ce document et vous rĂ©itĂ©rons notre invitation Ă  nous faire part de vos commentaires et de vos suggestions. Le groupe de travail, novembre 1991 Madame Jacqueline Beaulac BibliothĂ©caire, responsable de la Centrale de la Commission scolaire Sainte-Croix Madame Paulette Bernhard Professeure agrĂ©gĂ©e, École de bibliothĂ©conomie et des sciences de l’information, UniversitĂ© de MontrĂ©al Monsieur RĂ©al Gaudet SpĂ©cialiste en moyens et techniques d’enseignement, Commission scolaire de GrandprĂ© Nous remercions chaleureusement madame Diane Cournoyer, de la Commission scolaire de GrandprĂ©, pour la saisie du texte et la mise en page. 1. PARTICIPER AU DÉVELOPPEMENT GLOBAL ET À LA FORMATION FONDAMENTALE DE L'ÉLÈVE OBJECTIFS DE LA BIBLIOTHÈQUE SCOLAIREACTIONS ET RESSOURCES NÉCESSAIRES À LA RÉALISATION DES OBJECTIFS DE LA BIBLIOTHÈQUE SCOLAIRE Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'exploiter les ressources documentaires pour son dĂ©veloppement personnel Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant d'identifier les moyens pĂ©dagogiques visant Ă  stimuler le dĂ©veloppement personnel de l'Ă©lĂšve en tenant compte des diffĂ©rents styles d'apprentissagesRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - d'Ă©laborer et d'appliquer une politique d'acquisition - de rendre disponibles les ressources documentaires variĂ©es susceptibles d'ĂȘtre utilisĂ©es par l'Ă©lĂšve et l'enseignant - d'organiser les ressources documentaires pour qu'elles soient exploitables - d'amĂ©nager des locaux adĂ©quats comprenant diffĂ©rentes aires de travail pour les besoins du personnel et des utilisateurs - de faire le traitement matĂ©riel et intellectuel des ressources documentaires - d'Ă©valuer les outils d'exploitation et les services Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de coordonner l'organisation des ressources - d'Ă©laborer un plan de dĂ©veloppement - d'Ă©laborer un guide de gestion - de mettre sur pied un service centralisĂ© de traitement et de services Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'utiliser les ressources documentaires dans sa formation fondamentale Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant d'intĂ©grer les ressources documentaires dans les apprentissages de baseRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de rendre disponible les ressources documentaires correspondant aux apprentissages de base - de signaler les ressources documentaires utiles aux diffĂ©rents apprentissages de base - de travailler en collaboration avec le personnel enseignant pour dĂ©velopper des activitĂ©s d'apprentissage appropriĂ©es - de permettre l'accĂšs Ă  diverses banques de donnĂ©es Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de coordonner l'Ă©laboration et la diffusion des notices bibliographiques - de favoriser la collaboration avec le personnel enseignant par l'organisation de journĂ©es pĂ©dagogiques - de faciliter l'Ă©change et la mise en commun d'expertises variĂ©es - de permettre l'accĂšs Ă  des ressources Relatives aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'utiliser les ressources documentaires pour intĂ©grer ses connaissances Relatives Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant d'utiliser les ressources documentaires pour permettre Ă  l'Ă©lĂšve de faire des liens entre ses diverses Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - d'organiser les diffĂ©rents accĂšs aux ressources documentaires classification, signalisation, catalogues, fichiers, bases de donnĂ©es, etc. Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de dĂ©velopper les outils nĂ©cessaires et appropriĂ©s pour l'intĂ©gration des connaissances - de prĂ©voir et d'Ă©laborer un plan d'informatisation 2. ÊTRE UN LIEN CULTUREL ET ÉDUCATIF FACE AU PATRIMOINE D'ICI ET D'AILLEURS, D'HIER, D'AUJOURD'HUI ET DE DEMAIN OBJECTIFS DE LA BIBLIOTHÈQUE SCOLAIREACTIONS ET RESSOURCES NÉCESSAIRES À LA RÉALISATION DES OBJECTIFS DE LA BIBLIOTHÈQUE SCOLAIRE Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve de dĂ©couvrir les rĂ©alitĂ©s du monde actuel grĂące Ă  la documentation sous toutes ses formes Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignement d'avoir recours Ă  des informations actuelles sur des supports diversifiĂ©s imprimĂ©, vidĂ©o, informatisĂ©Relatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de disposer d'informations actuelles - de dĂ©velopper une collection multimĂ©dia - de dĂ©velopper des dossiers documentaires - de rendre disponibles les Ă©quipements nĂ©cessaires Ă  l'utilisation des diffĂ©rents supports Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de faire la gestion et l'entretien des Ă©quipements Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve de s'ouvrir Ă  son milieu en utilisant la bibliothĂšque scolaire et municipale et leurs ressources documentaires Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant de planifier des activitĂ©s d'apprentissages permettant l'ouverture au milieu recherches documentaires, rencontres, visitesRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de collaborer avec d'autres institutions Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - d'Ă©laborer un rĂ©pertoire des ressources locales personnes, ressources, bibliothĂšques, centres de documentation, archives, etc. - de dĂ©velopper des catalogues collectifs Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve de dĂ©velopper le goĂ»t et l'habitude de lire Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant d'organiser des activitĂ©s d'apprentissage qui donnent le goĂ»t de lire d'accomplir des activitĂ©s d'apprentissage qui incitent Ă  la lecture de diffĂ©rents types de documents romans, contes, lĂ©gendes, poĂ©sie, théùtre, documentaires, etc. de rĂ©aliser des activitĂ©s d'apprentissage qui entretiennent l'habitude de lire diffĂ©rents types de documents de prĂ©senter des livres de lire des livres d'histoires d'organiser des dĂ©bats critiquesRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de faire des enquĂȘtes identifiant les goĂ»ts et les besoins de l'Ă©lĂšve et de l'enseignant en matiĂšre de lecture - d'offrir des documents en fonction des goĂ»ts, des besoins et des centres d'intĂ©rĂȘt de l'Ă©lĂšve et de l'enseignant Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de faciliter la conduite d'enquĂȘtes et la diffusion des rĂ©sultats - d'organiser des prĂ©sentations de nouveautĂ©s Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve de dĂ©couvrir et de connaĂźtre son patrimoine culturel Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant d'intĂ©grer la connaissance du patrimoine culturel dans les activitĂ©s d'apprentissageRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de dĂ©velopper un fonds documentaire relatif au patrimoine culturel d'ici et d'ailleurs, d'hier, d'aujourd'hui et de demain Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de favoriser le dĂ©veloppement des fonds documentaires selon des critĂšres de qualitĂ© et de quantitĂ© Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve de dĂ©velopper sa culture gĂ©nĂ©rale Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant d'inciter l'Ă©lĂšve Ă  approfondir et Ă  Ă©largir ses connaissancesRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de s'assurer que le fonds documentaire corresponde Ă  l'ensemble des connaissances, - de dĂ©velopper une bonne collection d'ouvrages de rĂ©fĂ©rence - de proposer Ă  l'Ă©lĂšve et Ă  l'enseignant des activitĂ©s de dĂ©couverte et d'approfondissement Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'utiliser la bibliothĂšque et ses ressources pour des activitĂ©s de loisirs et de dĂ©tente Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant de favoriser des activitĂ©s de loisir et de dĂ©tente en milieu scolaire de stimuler l'Ă©lĂšve par l'exempleRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de faciliter l'accĂšs le plus souvent possible Ă  la bibliothĂšque et aux ressources documentaires 3. ÊTRE UNE RESSOURCE POUR L'ENSEIGNEMENT EN RELATION AVEC LES PROGRAMMES D'ÉTUDES OBJECTIFS DE LA BIBLIOTHÈQUE SCOLAIREACTIONS ET RESSOURCES NÉCESSAIRES À LA RÉALISATION DES OBJECTIFS DE LA BIBLIOTHÈQUE SCOLAIRE Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'utiliser les ressources documentaires en relation avec les diffĂ©rents programmes d'Ă©tudes Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant d'intĂ©grer l'utilisation des ressources documentaires Ă  l'application des diffĂ©rents programmes d'Ă©tudes d'enrichir les activitĂ©s d'enseignement relatives aux diffĂ©rents programmes d'Ă©tudes en recourant Ă  des ressources documentaires variĂ©esRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de participer au projet Ă©ducatif de l'Ă©cole - de rendre disponibles des ressources documentaires qui rĂ©pondent aux objectifs des diffĂ©rents programmes d'Ă©tudes - de rendre disponible la collection des programmes d'Ă©tudes et des guides pĂ©dagogiques - de participer aux rĂ©unions pĂ©dagogiques relatives aux programmes d'Ă©tudes Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - d'encourager les initiatives qui favorisent l'intĂ©gration des ressources documentaires aux programmes d'Ă©tudes Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'approfondir l'Ă©tude de centres d'intĂ©rĂȘt en fonction de son cheminement scolaire Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant d'inciter l'Ă©lĂšve Ă  approfondir l'Ă©tude de centres d'intĂ©rĂȘt en fonction de son cheminement scolaireRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - d'identifier en collaboration avec l'enseignant les centres d'intĂ©rĂȘt de l'Ă©lĂšve - d'offrir des rĂ©fĂ©rences sur des sujets prĂ©cis relatifs aux centres d'intĂ©rĂȘt - de dĂ©velopper des ensembles multimĂ©dias rĂ©pondant aux centres d'intĂ©rĂȘt Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de collaborer avec les conseillers pĂ©dagogiques de matiĂšres - de crĂ©er et maintenir Ă  jour une banque d'informations selon les centres d'intĂ©rĂȘt - de diffuser l'information sur les diffĂ©rentes ressources disponibles Ă  la Commission scolaire Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'utiliser les ressources documentaires pour faire des liens entre les diffĂ©rentes matiĂšres et disciplines Ă  l'Ă©tude Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant de planifier des activitĂ©s d'apprentissage Ă  caractĂšre multidisciplinaire permettant Ă  l'Ă©lĂšve de faire des liens entre les diffĂ©rentes matiĂšresRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de collaborer avec l'enseignant pour planifier des activitĂ©s d'apprentissage multidisciplinaire - d'identifier et de signaler Ă  l'enseignant les possibilitĂ©s d'exploitation multidisciplinaire du fonds documentaire Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de crĂ©er et de maintenir Ă  jour une banque d'activitĂ©s multidisciplinaires 4. ÊTRE UN MOYEN D'APPRENTISSAGE ET DE DÉVELOPPEMENT DES HABILETÉS D'INFORMATION OBJECTIFS DE LA BIBLIOTHÈQUE SCOLAIREACTIONS ET RESSOURCES NÉCESSAIRES À LA RÉALISATION DES OBJECTIFS DE LA BIBLIOTHÈQUE SCOLAIRE Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'apprendre Ă  utiliser les systĂšmes d'accĂšs Ă  l'information Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant de dĂ©velopper des activitĂ©s d'apprentissage et d'utilisation de la bibliothĂšqueRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de collaborer avec l'enseignant pour dĂ©velopper des activitĂ©s d'exploitation de la bibliothĂšque Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de coordonner le dĂ©veloppement d'activitĂ©s d'exploitation de la bibliothĂšque Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'acquĂ©rir des mĂ©thodes de travail intellectuel Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant de rĂ©aliser des activitĂ©s d'apprentissage permettant Ă  l'Ă©lĂšve d'acquĂ©rir une mĂ©thode de travail intellectuelRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de collaborer avec l'enseignant pour Ă©laborer des activitĂ©s d'entraĂźnement pour l'acquisition d'une mĂ©thode de travail Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'utiliser les ressources de la bibliothĂšque pour rĂ©pondre Ă  ses besoins d'information Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant d'inciter l'Ă©lĂšve Ă  utiliser les ressources documentaires pour rĂ©pondre Ă  ses besoins d'informationRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - d'Ă©laborer des guides d'utilisation Ă  l'intention de l'Ă©lĂšve - de mettre en Ă©vidence par diffĂ©rents moyens les sources d'information sur un ou des sujets donnĂ©s Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de coordonner l'Ă©laboration des guides d'utilisation de la bibliothĂšque Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve d'utiliser et d'exploiter les diffĂ©rents mĂ©dias disponibles Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant de rĂ©aliser des activitĂ©s d'apprentissage permettant Ă  l'Ă©lĂšve d'utiliser et d'exploiter les diffĂ©rents mĂ©diasRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de collaborer avec l'enseignant pour Ă©laborer des activitĂ©s d'apprentissage relatif Ă  l'utilisation des diffĂ©rents mĂ©dias - de signaler Ă  l'enseignant la diversitĂ© des supports d'information disponibles sur un sujet donnĂ© Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve de dĂ©velopper son autonomie dans la recherche, l'exploitation et la diffusion de l'information Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant de concevoir des activitĂ©s d'apprentissage permettant Ă  l'Ă©lĂšve de devenir autonome d'utiliser des bases de donnĂ©es informatisĂ©esRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de dĂ©velopper un service de rĂ©fĂ©rence permettant l'individualisation des apprentissages de l'Ă©lĂšve - de collaborer avec l'enseignant pour concevoir des activitĂ©s d'apprentissage individualisĂ© - de prĂ©voir une utilisation flexible de la bibliothĂšque en rapport avec l'individualisation des apprentissages de l'Ă©lĂšve Relatives Ă  la Commission scolaire Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - d'encourager les initiatives d'individualisation des apprentissages Relatifs aux apprentissages Permettre Ă  l'Ă©lĂšve de dĂ©velopper sa capacitĂ© d'analyse et son esprit critique face Ă  l'information Relatifs Ă  l'enseignement Permettre Ă  l'enseignant d'organiser des activitĂ©s d'apprentissage qui permettent Ă  l'Ă©lĂšve de dĂ©velopper son esprit critique face Ă  l'informationRelatives Ă  l'Ă©cole Le personnel responsable devra ĂȘtre en mesure - de collaborer avec l'enseignant pour concevoir et organiser diverses activitĂ©s d'apprentissage permettant Ă  l'Ă©lĂšve de dĂ©velopper son esprit critique face Ă  l'information Pour consulter ce document en version PDF, cliquez ici.
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RĂ©ussir sa jeunesse DANS un pays europĂ©en, on a demandĂ© aux gens ce qu’ils jugeaient le plus important la beautĂ©, la richesse ou la jeunesse. C’est la jeunesse qui a remportĂ© la majoritĂ© des suffrages. De fait, l’adolescence et les annĂ©es qui suivent sont considĂ©rĂ©es par des personnes de tout Ăąge comme une pĂ©riode privilĂ©giĂ©e de la vie. Et chacun dĂ©sire que les jeunes rĂ©ussissent la transition entre l’enfance et l’ñge adulte. La Bible peut-​elle jouer un rĂŽle sous ce rapport ? Oui, sans l’ombre d’une hĂ©sitation. Examinons deux domaines dans lesquels la Parole de Dieu s’avĂšre particuliĂšrement utile durant la jeunesse, peut-ĂȘtre plus qu’à tout autre moment de la vie. S’entendre avec les autres En Allemagne, les rĂ©sultats d’une Ă©tude intensive des opinions, valeurs et comportements de plus de 5 000 jeunes ont Ă©tĂ© publiĂ©s dans un rapport intitulĂ© Jugend 2000. Ils rĂ©vĂšlent que lorsque les jeunes se divertissent — que ce soit en Ă©coutant de la musique, en pratiquant un sport, ou simplement en flĂąnant — ils sont presque toujours en groupe. Vraisemblablement plus que les autres, les jeunes aiment se retrouver entre eux. Il en rĂ©sulte que l’une des clĂ©s pour rĂ©ussir sa jeunesse est de bien s’entendre avec les autres. Toutefois, cela ne coule pas toujours de source. En effet, les relations humaines sont un domaine dans lequel les jeunes reconnaissent avoir souvent des difficultĂ©s. C’est lĂ  que la Bible peut leur ĂȘtre utile. La Parole de Dieu contient des conseils de base qui permettent aux jeunes d’établir des relations Ă©quilibrĂ©es. Quels sont-​ils ? L’un des principes les plus importants en matiĂšre de relations humaines est appelĂ© la RĂšgle d’or “ Faites pour les autres tout ce que vous voulez qu’ils fassent pour vous. ” Traitez les autres avec respect, dignitĂ© et gentillesse, et ils vous rendront la pareille. L’amabilitĂ© peut dĂ©tendre une atmosphĂšre. Si vous vous forgez la rĂ©putation de traiter les autres avec considĂ©ration, vous gagnerez probablement leur sympathie et leur approbation. Cela ne vous rend-​il pas heureux d’ĂȘtre acceptĂ© par votre entourage ? — Matthieu 712, Bible en français courant. La Bible recommande d’ aimer son prochain comme soi-​mĂȘme ’. Il est nĂ©cessaire d’avoir de l’amour pour soi-​mĂȘme, c’est-Ă -dire de prendre soin de sa personne et d’avoir une dose raisonnable d’estime de soi, ni trop, ni trop peu. En quoi cela est-​il bĂ©nĂ©fique ? Eh bien, quand on a une mauvaise image de soi, on risque d’ĂȘtre excessivement critique Ă  l’égard des autres, au dĂ©triment de bonnes relations. Par contre, une juste apprĂ©ciation de sa valeur constitue une bonne base sur laquelle bĂątir des amitiĂ©s solides. — Matthieu 2239. Lorsqu’une amitiĂ© se dĂ©veloppe, elle doit ĂȘtre consolidĂ©e par des efforts mutuels. Consacrer du temps Ă  une amitiĂ© devrait vous rendre heureux, car “ il y a plus de bonheur Ă  donner qu’à recevoir ”. Une façon de donner consiste Ă  pardonner, ce qui implique de passer sur les petites erreurs des autres et de ne pas attendre d’eux la perfection. La Bible nous dit “ Que votre nature raisonnable soit connue de tous les hommes. ” Ou encore “ Pour autant que cela dĂ©pend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. ” Comment rĂ©agissez-​vous quand un ami attire votre attention sur l’une de vos faiblesses ? Voyez ce conseil pratique que donne la Bible “ Ne te hĂąte pas dans ton esprit de t’offenser ”, car “ les reproches d’un ami montrent son affection ”. Par ailleurs, n’est-​il pas vrai que vos amis influencent vos pensĂ©es, votre langage et votre comportement ? C’est pourquoi la Bible donne cet avertissement “ Les mauvaises compagnies ruinent les habitudes utiles. ” Par contre, “ qui marche avec les sages deviendra sage ”. — Actes 2035 ; Philippiens 45 ; Romains 1217, 18 ; EcclĂ©siaste 79 ; Proverbes 1320 ; 276, Parole de vie ; 1 Corinthiens 1533. Marco se fait le porte-parole de nombreux jeunes quand il dit “ Les principes bibliques sont trĂšs utiles pour bien s’entendre avec les autres. Je connais des personnes qui ne vivent que pour elles-​mĂȘmes et pour ce qu’elles peuvent retirer de la vie. La Bible nous enseigne Ă  penser aux autres avant de penser Ă  soi. Autant que je puisse en juger, c’est la meilleure façon d’envisager les relations humaines. ” Ce que des jeunes comme lui apprennent dans la Bible les aide durant leur jeunesse, mais leur servira aussi dans l’avenir. L’avenir est d’ailleurs un autre sujet Ă  propos duquel la Bible est particuliĂšrement utile aux jeunes. La crainte de l’avenir La plupart des jeunes ont soif de connaissance ; ils dĂ©sirent savoir ce qui se passe et quelle en est la raison. La Bible, c’est sa caractĂ©ristique, rĂ©vĂšle la cause des conditions mondiales et ce que nous pouvons attendre de l’avenir. C’est exactement ce que les jeunes dĂ©sirent savoir. Qu’est-​ce qui nous fait dire cela ? Si beaucoup de gens croient que les jeunes ne vivent que pour le prĂ©sent, certaines Ă©tudes dressent d’eux un portrait lĂ©gĂšrement diffĂ©rent. Elles montrent que les jeunes observent souvent ce qui se passe autour d’eux et qu’ils se font ensuite leur propre idĂ©e sur ce que sera l’avenir. Ainsi, 3 jeunes sur 4 penseraient “ souvent ” ou “ trĂšs souvent ” Ă  l’avenir. Et mĂȘme si les jeunes sont en gĂ©nĂ©ral optimistes, la plupart d’entre eux Ă©prouvent une certaine apprĂ©hension vis-Ă -vis du futur. Qu’est-​ce qui gĂ©nĂšre cette inquiĂ©tude ? Bon nombre de ceux qui composeront la sociĂ©tĂ© adulte de demain rencontrent dĂ©jĂ  des problĂšmes avec la criminalitĂ©, la violence et la drogue. Ils se prĂ©occupent en outre de trouver un emploi stable dans une sociĂ©tĂ© fortement concurrentielle qui les oblige Ă  obtenir des notes Ă©levĂ©es Ă  l’école et Ă  ĂȘtre les meilleurs dans le domaine professionnel. Un adolescent de 17 ans s’est ainsi lamentĂ© “ On vit dans une sociĂ©tĂ© d’égoĂŻstes, sans pitiĂ©. Chacun cherche Ă  tirer la couverture Ă  lui. Il faut toujours prouver ce qu’on vaut, et ça me dĂ©prime. ” Un autre jeune, ĂągĂ© de 22 ans, dĂ©clare “ Les plus douĂ©s s’en sortent et vivent confortablement. Mais les plus malchanceux, qui pour une raison ou pour une autre n’arrivent pas Ă  suivre le rythme, restent au bas de l’échelle. ” D’oĂč vient cet esprit de compĂ©tition ? La vie sera-​t-​elle toujours ainsi ? Une explication rĂ©aliste Lorsqu’ils jettent sur la sociĂ©tĂ© un regard consternĂ© ou anxieux, consciemment ou inconsciemment les jeunes rejoignent la pensĂ©e biblique. La Parole de Dieu montre que l’égocentrisme du monde actuel est un signe des temps. Dans une lettre adressĂ©e Ă  un jeune homme nommĂ© TimothĂ©e, l’apĂŽtre Paul a parlĂ© de notre Ă©poque en ces termes “ Des temps critiques, difficiles Ă  supporter, seront lĂ . ” Pourquoi cette pĂ©riode serait-​elle critique et difficile Ă  supporter ? Parce que, selon Paul, les hommes seraient “ amis d’eux-​mĂȘmes, amis de l’argent, arrogants, orgueilleux, [...] ingrats, sans fidĂ©litĂ©, [...] cruels ”. N’est-​ce pas lĂ  une description exacte de la façon dont beaucoup de gens se comportent aujourd’hui ? — 2 TimothĂ©e 31-3. La Bible situe ces temps critiques “ dans les derniers jours ”, juste avant que la sociĂ©tĂ© humaine tout entiĂšre ne connaisse un tournant radical. Ce changement affectera tout le monde, jeunes et vieux. De quoi s’agira-​t-​il ? TrĂšs bientĂŽt, un gouvernement cĂ©leste prendra la direction des affaires humaines, et partout ses sujets jouiront de “ l’abondance de paix. Les justes possĂ©deront la terre, et sur elle ils rĂ©sideront pour toujours ”. Tout sentiment d’inquiĂ©tude appartiendra au passĂ©. — Psaume 3711, 29. Seule la Bible nous permet d’ĂȘtre sĂ»rs de ce que sera l’avenir. Quand un jeune sait Ă  quoi il doit s’attendre dans les annĂ©es Ă  venir, il peut s’y prĂ©parer, il se sent plus en sĂ©curitĂ© et il a le sentiment de mieux maĂźtriser sa vie. Ce sentiment rĂ©duit le stress et l’inquiĂ©tude. Ainsi, la Bible satisfait le besoin qu’éprouvent particuliĂšrement les jeunes de comprendre la sociĂ©tĂ© et de savoir ce que demain leur rĂ©serve. Une jeunesse rĂ©ussie Quel est le critĂšre d’une jeunesse rĂ©ussie ? Une instruction de haut niveau, la prospĂ©ritĂ© matĂ©rielle et un large cercle d’amis ? C’est sans doute ce que pensent beaucoup de gens. L’adolescence et les annĂ©es qui suivent devraient servir de tremplin Ă  la vie d’adulte. Autrement dit, une jeunesse rĂ©ussie laisserait prĂ©sager ce que quelqu’un deviendra plus tard. Comme nous l’avons vu, la Bible peut aider tout un chacun Ă  rĂ©ussir sa jeunesse. De nombreux jeunes en ont dĂ©jĂ  fait l’expĂ©rience. Ils lisent chaque jour la Parole de Dieu et appliquent ce qu’ils apprennent voir “ Conseil d’un jeune serviteur de JĂ©hovah ”, page 6. La Bible est vraiment un livre adaptĂ© aux jeunes d’aujourd’hui, car elle les aide Ă  ĂȘtre pleinement qualifiĂ©s, parfaitement Ă©quipĂ©s pour toute Ɠuvre bonne ’. — 2 TimothĂ©e 316, 17. [Entrefilet, page 5] L’une des clĂ©s pour rĂ©ussir sa jeunesse est de bien s’entendre avec les autres. [Entrefilet, page 6] Plus que les autres peut-ĂȘtre, les jeunes dĂ©sirent savoir ce qui se passe et quelle en est la raison. [EncadrĂ©, pages 6, 7] Conseil d’un jeune serviteur de JĂ©hovah Alexander est ĂągĂ© de 19 ans. ÉlevĂ© dans une famille de TĂ©moins de JĂ©hovah, il Ă©prouve une joie profonde Ă  pratiquer sa religion de tout son cƓur. Mais cela n’a pas toujours Ă©tĂ© le cas, comme il l’explique lui-​mĂȘme “ Pendant plus de sept ans j’ai fait partie d’une congrĂ©gation sans ĂȘtre baptisĂ©. Durant tout ce temps j’ai participĂ© aux activitĂ©s spirituelles avec peu d’enthousiasme, juste par routine. Je pense que je n’osais tout simplement pas m’analyser objectivement. ” Puis Alexander a changĂ© de comportement. “ Mes parents et mes amis dans la congrĂ©gation ne cessaient de m’encourager Ă  lire la Bible chaque jour, pour apprendre Ă  connaĂźtre personnellement JĂ©hovah. À la fin, je me suis dĂ©cidĂ© Ă  faire l’essai. J’ai donc rĂ©duit le temps que je passais devant la tĂ©lĂ© et je me suis efforcĂ© de lire la Bible chaque matin. Au bout du compte, j’ai fini par comprendre de quoi elle parle et en quoi elle pouvait m’aider personnellement. Et surtout, j’ai compris que JĂ©hovah dĂ©sirait que j’apprenne Ă  le connaĂźtre. À partir du moment oĂč j’ai pris cela Ă  cƓur, mes relations avec lui sont devenues plus profondes, et les amitiĂ©s que j’entretenais dans la congrĂ©gation se sont enrichies. La Bible a vraiment changĂ© ma vie. Je recommande Ă  tous les jeunes serviteurs de JĂ©hovah de la lire chaque jour. ” Dans le monde, des millions de jeunes frĂ©quentent les TĂ©moins de JĂ©hovah. Êtes-​vous l’un d’entre eux ? Aimeriez-​vous tirer profit de la lecture rĂ©guliĂšre de la Bible ? Alors pourquoi ne pas suivre l’exemple d’Alexander ? RĂ©duisez le temps que vous accordez Ă  des activitĂ©s secondaires et faites de la lecture de la Bible une habitude quotidienne. Vous en retirerez Ă  coup sĂ»r des bienfaits.
CamillaParker Bowles a effectuĂ© une visite auprĂšs des Ă©lĂšves d'une Ă©cole primaire galloise, le 6 juillet 2022. L'occasion pour la duchesse de Cornouailles de porter son attention sur une AccueilClub SantĂ© SocialActualitĂ© santĂ© socialToute l'actu SantĂ© SocialActu expert santĂ© socialComment monter un partenariat entre la bibliothĂšque et l’école BibliothĂšques PubliĂ© le 07/01/2020 ‱ dans Actu expert santĂ© social, ActualitĂ© Culture, Documents utiles, France © Sergey Novikov via Adobe Stock Reconnue d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, l’association Lecture Jeunesse publie avec le soutien du ministĂšre de la culture un guide mĂ©thodologique destinĂ© Ă  aider les Ă©coles et les communes Ă  dĂ©passer la traditionnelle visite scolaire en bibliothĂšque pour aller vers un vĂ©ritable parcours d’éducation artistique et culturelle. Ma Gazette SĂ©lectionnez vos thĂšmes et crĂ©ez votre newsletter personnalisĂ©e L’ouvrage de Sonia de Leusse-Le Guillo, Lecture jeunesse guide pratique – BibliothĂšques et publics scolaires, repose sur des expĂ©riences vĂ©cues de partenariats avec les Ă©tablissements scolaires. Avec une question de fond pourquoi la lecture doit-elle faire partie de l’éducation artistique et culturelle EAC ?De lĂ  dĂ©coulent des objectifs et des actions, Ă  partager entre les deux partenaires bibliothĂšque, Ă©cole, avec des apports de l’un et de l’autre. Si, dans l’absolu, ce rappel peut sembler une Ă©vidence, l’auteure y accorde une place non nĂ©gligeable en dĂ©but d’ouvrage, car ces Ă©lĂ©ments sont indispensables pour dĂ©passer le stade de la visite scolaire, alibi – hĂ©las encore rĂ©pandue – pour construire un parcours » selon les bonnes pratiques mĂ©thodologiques de l’éducation artistique ... Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Club SantĂ© Social VOUS N'ĂȘTES PAS ABONNĂ© ? Testez notre Offre DĂ©couverte Club SantĂ© Social pendant 30 jours J’en profite RĂ©fĂ©rences Lecture jeunesse guide pratique – BibliothĂšques et publics scolaires Restez informĂ© de l'actualitĂ© des politiques culturelles, inscrivez-vous Ă  la Newsletter Culture de la Gazette Nos services PrĂ©pa concours ÉvĂšnements Formations Partie2 : Achat d'un logiciel de gestion de bibliothĂšque L'Ă©cole dĂ©cide de tester un logiciel pour gĂ©rer sa bibliothĂšque. Elle tĂ©lĂ©charge ce logiciel sur Internet. l. Le fichier a une taille de 3,5 Contexte Les BCD sont au cƓur de la refondation de l’école. Elles sont citĂ©es Ă  deux reprises Mieux penser les espaces pĂ©dagogiques et Ă©ducatifs prĂȘter une attention particuliĂšre Ă  l’équipement et Ă  l’amĂ©nagement des salles ainsi qu’aux bibliothĂšques des Ă©coles et aux centres de documentation et d’information des Ă©tablissements, qui sont des lieux privilĂ©giĂ©s oĂč l’élĂšve peut faire l’apprentissage du plaisir d’apprendre et de l’autonomie et qui doivent ĂȘtre ouverts toute la journĂ©e. Ouvrir l’école sur l’extĂ©rieur au cƓur de la citĂ©, elle doit ĂȘtre un service public au service du public. Les moyens mis en place par les collectivitĂ©s salles de rĂ©union, Ă©quipements informatiques, centres documentaires, Ă©quipements sportifs doivent pouvoir bĂ©nĂ©ficier au plus grand nombre. NĂ©e en 1984 d’une initiative conjointe des ministĂšres de l’Éducation nationale et de la Culture, la bibliothĂšque-centre de documentation BCD vise Ă  amĂ©liorer le fonctionnement et l’efficacitĂ© des Ă©coles ; dĂ©velopper la maĂźtrise de la langue ; assurer la promotion du livre. Les BCD ont connu des Ă©volutions diverses mais, comme le prĂ©cise Jean Foucambert, chercheur et fondateur de l’Association française pour la lecture, elles reprĂ©sentent un enjeu dans la vie non seulement de l’école, mais aussi de la citĂ©. La BCD se doit d’ĂȘtre un lieu accueillant et de permettre une valorisation des ressources. L’amĂ©nagement de cet espace doit allier confort, esthĂ©tique et fonctionnalitĂ© grĂące Ă  un mobilier adaptĂ© aux publics » qui vont la frĂ©quenter, surtout s’il est prĂ©vu son ouverture vers l’extĂ©rieur parents, quartier, etc.. Le projet pĂ©dagogique et Ă©ducatif va donc conditionner son positionnement, sa surface et son Ă©quipement et, Ă©ventuellement, une mutualisation avec la salle TICE. La circulaire de rentrĂ©e de l’annĂ©e 2011, dans son annexe 7 – Encourager la dynamique pĂ©dagogique et l’innovation, prĂ©conisait, dans le cadre d’expĂ©rimentations, les Ă©tablissements peuvent rĂ©flĂ©chir Ă  la mise en Ɠuvre de Êșcentres de connaissances et de cultureÊș 3C privilĂ©giant Ă  la fois le numĂ©rique et le livre, dans une approche oĂč la maĂźtrise de la langue est un appui indispensable aux autres apprentissages ». TDbswN6.
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